En 1996, à seulement 14 ans, Samuel Sené décroche son baccalauréat. Il devient le plus jeune bachelier de France. Depuis, il a "dirigé des orchestres à 16 ans", puis a obtenu une agrégation à 19 ans. Sur le plateau de "La Quotidienne", il avoue s'être questionné sur sa posture en tant que "plus jeune bachelier de France". Samuel Sené explique également comment il a vendu son profil à des recruteurs.
En ce premier jour de rentrée scolaire, l'équipe de "La Quotidienne" reçoit en plateau son tout premier invité de la saison. Samuel Sené décroche son baccalauréat à 14 ans seulement ! Il devient ainsi le plus jeune bachelier de France de 1996. Comment a-t-il réussi à décrocher le précieux sésame ? Pourquoi a-t-il choisi d’intégrer l’École normale supérieure en mathématiques ? Comment a-t-il réussi à diriger un orchestre à 16 ans et à décrocher une agrégation à 19 ans ? Quels sont ses conseils pour faire progresser les jeunes ? Il répond à toutes ces questions au cours de l’émission.
Comment organiser le retour à l'école ? C'est la question qui vous trotte surement dans la tête. Guillaume Buan en dit plus dans son "Antisèche".
On prend ensuite une pause musicale à "L’heure de la récré" pour découvrir l’initiative de 200 collégiens du pays basque. Ils ont réalisé un bodytap à l’effigie des Jeux olympiques.
En fin d’émission, on retrouve le "Cours particulier" de Marie Ollivier. Elle explique les missions de la Fondation Gol de Letra au Brésil, qui œuvre notamment pour promouvoir l'éducation des enfants à travers le sport.
Le bac de philosophie s'ouvre ce mardi 18 juin. Étape importante dans la scolarité d'un lycéen, cette épreuve clôt aussi l'année de terminale. Pourquoi cette discipline est-elle si importante ? Pourquoi les élèves redoutent-ils cette matière ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit Vincent Renault, président de l'association des professeurs de philosophie de l'enseignement public (APPEP), Lev Fraenckel, créateur du compte @SerialThinker et Élisabeth Bargès, titulaire d'un master de l'histoire de la philosophie.
Deux siècles de combat pour la cause des femmes résumés en un seul ouvrage, c'est le pari réussi de l'historienne Françoise Thébaud. Elle parle de son livre "Les féminismes, une histoire mondiale" en deuxième partie.
En fin d'émission, Guillaume Ouattara fait la "Lumière sur" les stages d'observation pour les élèves de seconde, qui débutent ce lundi.
C'est l'épreuve qui effraie de nombreux lycéens chaque année. À 8 heures ce matin, les candidats des filières générales et technologiques ont découvert les sujets de philosophie. Aujourd'hui, dans "La Quotidienne", on passe, nous aussi, l'épreuve de philo en compagnie de notre invité Ivan Taveau. Il a écrit un livre qui mêle philo et manga, intitulé "La philosophie selon Demon Slayer". Il est l'invité d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
Le 18 juin 1944, le Général de Gaulle lançait un appel historique aux Français pour libérer la France de l'occupation allemande. Brandon Waret sort son "Antisèche" pour revenir sur cet événement.
Dans son "Heure de la récré", Brandon nous parle d'un robot qui bat le record du monde de Rubik’s Cube.
En fin d'émission, on retrouve Amélie Paris pour ses "Années collège". Notre professeure-documentaliste évoque le brevet des collèges qui se tient les lundi 1ᵉʳ et mardi 2 juillet 2024.
À l'approche des examens, les élèves et les familles peuvent ressentir du stress. Sur le plateau du "Grand JT de l'Éducation", Fanny Jacq, médecin-psychiatre, décrypte les conséquences du stress sur le corps et sur les performances scolaires.
Si les examens ont débuté en mars, le mois de juin reste source de stress pour les élèves. Entre les nombreuses révisions et la préparation des oraux, comment peut-on leur apprendre à gérer le stress et la pression ? Fanny Jacq, médecin-psychiatre et Étienne Porche, co-fondateur des Sherpas, sont les invités de Virginie Guilhaume pour en parler.
Le musée de la Marine à Paris organise un concours d'illustration sur le thème "Quel océan pour 2030 ?". Il est ouvert aux jeunes talents. Axelle Beaussant, responsable communication à la "Fondation de la mer", en dit plus en deuxième partie.
En fin d'émission, dans sa chronique, Guillaume Buan fait la "Lumière sur" le débarquement du 6 juin 1944, à l'occasion des 80 ans de cet événement historique.
C'est l'une des nouveautés de cette rentrée scolaire : les épreuves de spécialité, prévues en mars, sont repoussées en juin 2024. Cette annonce, faite par le ministre de l'Éducation nationale, bouleverse le calendrier des lycéens. Est-ce une bonne nouvelle ? Quelles conséquences ces changements vont-ils avoir dans la vie des élèves et des professeurs ? Quelles sont les raisons de ce retour en arrière ? Adrien Misson, référent national lycée général et technologique à l’UNSA (Union nationale des syndicats autonomes) et Jean-Rémi Girard, président du SNALC (Syndicat national des lycées, collèges, écoles et du supérieur), sont les invités de Virginie Guilhaume pour en parler.
Valoriser les pratiques artistiques des plus jeunes, c'est la mission de l'école culturelle "Le bon ton". Claire Wyniecki, fondatrice de cette école, en parle en deuxième partie.
En fin d'émission, retrouvez Loïc Landrau. Dans sa chronique "Lumière sur", il fera le point sur les origines du ballon rond.
Les épreuves de spécialité n’auront plus lieu en mars, mais en juin prochain, a confirmé le ministre de l’Éducation nationale Gabriel Attal le 27 août dernier. "Les spécialités en mars permettaient d’avoir une fenêtre objective pour l’enseignement supérieur", analyse Adrien Misson, référent national lycée général et technologique à l’UNSA (Union nationale des syndicats autonomes). Les écoles post-bac se fondaient sur les notes obtenues lors de ces examens pour sélectionner les candidats dans leurs différentes filières. Une situation "qui ne va plus être possible maintenant", explique-t-il, puisque "seul le contrôle continu sera intégré dans la plateforme Parcoursup". Adrien Misson craint ainsi une "démobilisation des élèves pour les cours", et une pression supplémentaire sur leurs épaules.
"L'art nous apprend-il quelque chose ?", "Le bonheur est-il affaire de raison ?", "Vouloir la paix, est-ce vouloir la justice ?" Ce mercredi 14 juin, les candidats au bac passaient leur épreuve de philosophie. Un examen qui a beaucoup fait réagir les élèves sur les réseaux sociaux. Dans sa chronique "Quoi de neuf sur les réseaux ?", Guillaume Ouattara s'interroge sur la place de la philosophie dans les épreuves du baccalauréat. Le philosophe Raphaël Enthoven, s'est aussi posé la question et a même défié ChatGPT sur l'épreuve du bac de philo.
Vaut-il mieux être libre ou être heureux ? L’égalité est-elle mieux que la liberté ? L’ignorant peut-il être libre ? Toutes ces questions philosophiques peuvent potentiellement se retrouver au baccalauréat de philo. Alors, pour bien se préparer, des élèves du Val-d'Oise ont trouvé une solution astucieuse pour réviser ensemble. Emma Guessel vous en dit plus dans son "Heure de la récré".
C'est la saison des examens et des concours, mais attention à la triche, car vous risquez de nombreuses sanctions. Valérie Piau, avocate spécialiste du droit de l'éducation, est l'invitée d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
Dans son dernier numéro, la revue "Dada" consacre sa "Une" à Méduse, un personnage mythologique très étudié dans les programmes scolaires. Dans son "Antisèche", Emma Guessel lève le voile sur cette mystérieuse figure.
À "L'heure de la récré", Emma nous fait découvrir un projet innovant, conçu par des lycéens, pour transformer les méduses échouées en engrais.
En fin d'émission, rendez-vous avec Amélie Paris, professeure-documentaliste au collège Maurice Utrillo (Paris). Elle fait un point sur les réseaux d'éducation prioritaire renforcée dans sa chronique "Les années collège".
Lunettes et montres connectées, feuilles de brouillon, téléphones… Les étudiants regorgent d’ingéniosité pour tricher. Certains sont de véritables "James Bond version triche", assure Valérie Piau avocate spécialiste du droit de l'éducation. Pourtant, la sanction peut aller du blâme à l'interdiction de passer le bac pendant 5 ans. Elle explique comment la commission disciplinaire agit et quels moyens elle déploie pour lutter contre la triche.