En Allemagne, en Suisse ou encore en Autriche, les élèves assistent à des cours de bonheur à l'école. Guillaume Buan en dit plus dans sa chronique "Vu à l'étranger".
Des centaines de milliers de jeunes Afghanes sont toujours privées de scolarité, depuis le retour au pouvoir des Talibans, en Afghanistan, le 15 août 2021. Pour leur permettre d'avoir accès à l'éducation, des écoles secrètes ont vu le jour dans le pays. Des écoles "pas si secrètes puisque la communauté peut être au courant", assure Hamida Aman, fondatrice de la Radio Begum. Sur "Le Mag", elle explique en quoi ces écoles ne peuvent pas se substituer aux établissements scolaires.
Depuis le 15 août 2021, l'Afghanistan est tenu par les talibans, ce qui a considérablement aggravé les droits des femmes. Le pays est d'ailleurs le seul au monde à priver ses filles d'école. Pour faire entendre leur voix, Radio Begum leur permet de s'exprimer. Ce média, gérée par des jeunes femmes et enseignantes, est à la fois une radio et une chaîne de télévision. Elle propose de nombreux programmes éducatifs. Comment ce média arrive-t-il à diffuser ses émissions dans un pays qui prive ses filles de scolarité ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Hamida Aman, fondatrice de la Radio Begum et Baptiste Chapuis, responsable des programmes et du plaidoyer international de l'Unicef.
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen évoque l'engagement de l'association "Les enfants d'Afghanistan et d'ailleurs".
Favoriser l'accès à l'éducation pour tous les enfants et "rétablir la joie", c'est l'objectif d'"Education cannot wait", explique Folly Bah Thibault, défenseure mondiale de ce programme. Ce fonds mondial des Nations Unies pour l'éducation en situation d’urgence et de crise prolongée, lancé en 2016, a mobilisé plus d'un milliard de dollars depuis sa création. Sur le plateau du "Mag", Folly Bah Thibault en dit plus.
Aujourd'hui, on se penche sur "Education Cannot Wait (ECW)", le fonds mondial des Nations Unies pour l'éducation en situation d'urgence et de crise prolongée. Quelles sont ces missions ? Comment aider au mieux les enfants concernés par la pauvreté ? Comment faire en sorte qu'ils accèdent dignement à l'éducation ? Comment remettre les filles sur le chemin de l'école ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Folly Bah Thibault, défenseure mondiale du programme "Education cannot wait".
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen met en avant l'ONG "Bibliothèques Sans Frontières".
Aujourd'hui, dans "Le Mag", on part à l'étranger avec une professeure des écoles en Ardèche. Andréa Stipo a décidé de faire un tour du monde pour rencontrer les enseignants et les élèves de tous les horizons. Pourquoi s'est-elle lancée dans cette aventure ? La France doit-elle s'inspirer de ces voisins ? Faut-il faire évoluer notre système éducatif ? Quelles sont les pédagogies d'avenir ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Andréa Stipo, professeure des écoles en Ardèche et fondatrice de l'association "Écoliers de Demain" et Lorène Prigent, directrice éducation au sein de la société de conseil à l'international Cayambe.
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen met en évidence un projet "Innovation et éducation" porté par Julien Péron.
118,5 millions de filles dans le monde, entre 6 et 18 ans, ne sont pas scolarisées. C'est le constat accablant de l'ONG Plan International France. Au Sahel, elles sont 4 millions à avoir abandonné l'école. Les raisons sont multiples, rappelle Thiffanie Rodriguez, consultante en genre et éducation à l'Institut international pour la planification et l'éducation (IIEP) de l'UNESCO. Mariages précoces, violences de genre en milieu scolaire, violences sexuelles ou physiques... Tous ces éléments "sont des entraves à la scolarisation et à la réussite des filles", explique-t-elle. Il ne faut pas non plus oublier les garçons qui peuvent être concernés par la déscolarisation.
Près de 15 millions de filles de moins de 18 ans sont mariées chaque année dans le monde, soit 37 000 par jour. Ces mariages forcés ont un impact direct sur leur scolarité. Beaucoup d'entre elles, vivant dans des pays pauvres, ne retourneront jamais à l'école. Quels sont les freins à l'égalité des genres dans l'éducation ? Quelles solutions apporter à ces jeunes filles ? Pour en parler, Philippine Dolbeau reçoit Thiffanie Rodriguez, consultante en genre et éducation à l'Institut international pour la planification et l'éducation (IIEP) de l'UNESCO.
Il parle de cybersécurité à ses 1 million d'abonnés sur YouTube. Dans son "Focus", Jean Martinho dresse le portrait de Michaël de Marliave alias Micode.
De nombreux comptes Instagram proposent des contenus mêlant architecture et intelligence artificielle. Jeanne Dreyfus en dit plus dans son "Idée derrière la tech".
Rendre l'histoire, la géopolitique et la culture accessible aux élèves, c'est ce que propose le lycée international français situé au Caire, qui se transforme en musée. Myriam Pannetrat, professeure au lycée international français Concordia au Caire, explique comment est né ce projet.
Aujourd'hui, on part à la découverte de l'Égypte pour se pencher sur une initiative éducative originale. Le lycée international français, au Caire, s'est transformé en musée géant. Comment est né ce projet intitulé "Harmonia" ? Quel est l'enseignement proposé ? Comment les élèves ont-ils accueilli ce dispositif ? Quelles sont les différences entre l'école française et l'école égyptienne ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Myriam Pannetrat, professeure au lycée international français Concordia au Caire.
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen met en lumière les sorties culturelles qui permettent aux élèves de s'ouvrir au monde.
Pour attirer plus d'étudiants indiens sur le sol français et renforcer les liens entre la France et l'Inde, Emmanuel Macron a annoncé vouloir accueillir 30.000 étudiants indiens d'ici 2030. Si notre pays "bénéficie d'une image très positive", indique Fatiha Kammoussi, attachée de coopération éducative à l'Institut français en Inde, des stéréotypes persistent.
Le Québec veut accueillir plus d'étudiants francophones au sein de ses universités. Il prévoit notamment de réduire les frais de scolarité pour les étudiants français et belges. Objectif ? Leur permettre de payer les mêmes droits d'entrée que les Québécois, soit 2880 dollars par an, au lieu de 9000 dollars. Michèle Glémaud, directrice générale du service d'admission à l'Université de Montréal au Québec, rappelle qu'il y a "une préoccupation de conserver et de faire rayonner la langue française".