Démocratie, durabilité, solidarité ou encore coopération… L'économie sociale et solidaire défend toutes ces valeurs. Un sujet très important qui s'invite dans les établissements scolaires, lors de la Semaine de l'économie sociale et solidaire (ESS) à l'école, qui se tiendra du 25 au 30 mars partout en France. Depuis 2014, notre pays reconnaît d'ailleurs ce "mode d'entreprendre et de développement économique différent", explique Sylvie Emsellem, déléguée nationale de l’économie sociale partenaire de l’école de la République (ESPER). Pour faire de l’économie sociale et solidaire, il est important de suivre plusieurs principes : "Avoir une utilité sociale" ou "contribuer à la cohésion sociale", par exemple.
Associations d'éducation populaire, les Maisons des jeunes et de la culture (MJC) encouragent les jeunes à s'émanciper en développant la construction de leur citoyenneté. Début février 2024, les MJC ont lancé un nouveau projet, leur "Marque de fabrique jeunesse". Patrick Chenu, directeur général des Maisons des jeunes et de la culture (MJC) de France, explique pourquoi cette initiative est née.
Chez les 18-24 ans, 87% n'ont pas voté aux élections régionales et départementales, en 2021, selon une enquête Ipsos/Sopra Steria pour France Télévisions. Alors que les élections européennes se tiendront le 9 juin 2024, Abdoulaye Diarra, membre de la liste EELV aux européennes, appelle les jeunes à se rendre aux urnes pour cette élection déterminante. Il considère que "l'Europe est une puissance économique et politique particulièrement forte", et que ces élections sont "le bon échelon" pour "mener la bataille" de l'écologie. Il explique que la "crise climatique frappe le monde", et que l'Europe peut agir.
Le gouvernement les envisage comme un outil phare pour renforcer les pratiques culturelles chez les jeunes. Aujourd'hui, dans "Le Mag", on s'intéresse aux Maisons des jeunes et de la culture (MJC), qui regroupent quelque 1000 associations d'éducation populaires. Leur mot d'ordre ? Enseigner, diffuser et pratiquer. Pour en parler, Alix Nguyen reçoit en plateau Patrick Chenu, directeur général des Maisons des jeunes et de la culture (MJC) de France, en skype Coralie Reboulet, coordinatrice culturelle de la MJC de Técou (Tarn) et Aurélien Mugnier, animateur de réseau à l'union des MJC Drôme Ardèche.
Dans sa "Loupe", Agathe Delannoy évoque une école périscolaire, dédiée aux enfants de 4 à 12 ans.
À quel point les enjeux écologiques pèsent-ils dans le vote des jeunes aux élections européennes ? À quelques mois du scrutin, en juin prochain, l'équipe du "Grand JT de l'Éducation" se penche sur l'engagement des jeunes en faveur du climat. Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Abdoulaye Diarra, membre de la liste Europe Écologie-Les Verts (EELV) aux Européennes.
Faire découvrir "les Nymphéas" de Monet aux enfants, c'est tout un art ! Le musée de l'Orangerie à Paris propose, à l'Espace famille, une découverte sensorielle et créative. Céline Meler, chargée de médiation jeune public au musée de l'Orangerie, en dit plus en deuxième partie.
En fin d'émission, dans sa chronique "Vu à l'étranger", Guillaume Ouattara évoque l'ouverture d'une université anti-woke au Texas.
Sword, Juno, Gold, Omaha, Utah... Sur les plages de Normandie, il y a presque 80 ans, le 6 juin 1944, nos Alliés britanniques et américains débarquaient en France, et risquaient leur vie pour libérer la France de l'occupation allemande. Pour rendre hommage aux héros qui se sont battus pour la Liberté, la région Normandie a lancé le Prix Liberté. L'objectif ? Inviter les jeunes de 15 à 25 ans, en France et dans le monde entier, à désigner chaque année une personne ou une organisation engagée en faveur de la liberté. Trois anciens vétérans sont les parrains de ce prix, rappelle Bertrand Deniaud, vice-président de la région Normandie en charge des lycées et de l'éducation. Il estime également que ce prix permet de "transmettre" la mémoire.
Après l'inscription du droit à l'avortement dans la Constitution, les associations féministes militent pour faire inscrire l'IVG dans la Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne. Violaine Lucas, la présidente de l'association "Choisir la cause des femmes", estime qu'il faut profiter "de cette dynamique", portée en France par plusieurs personnalités politiques, pour que ce droit à l'avortement soit protégé en Europe.
"Sur mes cahiers d’écolier. Sur mon pupitre et les arbres. Sur le sable sur la neige. J’écris ton nom... Sur chaque bouffée d’aurore. Sur la mer, sur les bateaux. Sur la montagne démente, j’écris ton nom […] Liberté". Ce poème de Paul Éluard a beaucoup inspiré. En Normandie, le Prix Liberté invite les jeunes de 15 à 25 ans à promouvoir une organisation ou une personne engagée en faveur de la liberté. Pour en parler, Emmanuel Davidenkoff reçoit Bertrand Deniaud, vice-président de la région Normandie en charge des lycées et de l'éducation.
Vingt ans après les attentats du 11 mars 2004 à la gare d'Atocha à Madrid, en Espagne,
Cécile Fournier sort son "Antisèche". Elle fait le point sur ce fait d'actualité, étudié dans les programmes d'espagnol.
Pour son "Heure de la récré", Cécile nous parle du livre "Les losers magnifiques de l'Histoire".
En fin d'émission, on retrouve Marie Ollivier pour son "Cours particulier". Elle retrace le parcours de Joseph-Marie de Gérando, promoteur de l'enseignement mutuel.
"De l'avenir des femmes peut naître l'avenir de l'Europe", c'est ce que déclarait la militante féministe Gisèle Halimi. En ce 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, qu'en est-il de la place de celles-ci en Europe ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit Violaine Lucas, la présidente de l'association "Choisir la cause des femmes".
"À sexe égal", c'est le titre de la collection 100% féministe qui vient de paraître. Camille de Decker, fondatrice de la maison d'édition "Beta publisher", en dit plus en deuxième partie d'émission.
En fin d'émission, Loïc Landrau sort son "Agenda" pour faire le point sur les sorties culturelles à faire en famille.
Elle a créé Ec(h)o, une application pour apprendre à gérer son écoanxiété. Grâce à ce projet innovant, Apolline Humblot, 17 ans, est finaliste du Prix Margaret Junior 2024. Cette compétition, organisée par la Journée de la Femme digitale (JFD), récompense chaque année des femmes entrepreneures qui conçoivent des projets de société innovants. Sur le plateau de "l'École du futur", Apolline Humblot en dit plus sur son projet.
En ce 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, l'équipe de "l'École du futur" s'intéresse au Prix Margaret. Ce prix, organisé par la Journée de la Femme digitale (JFD), récompense des femmes entrepreneures pour leur projet d'innovation. La JFD a d'ailleurs lancé une deuxième édition des Margaret junior, destiné aux filles de 7 à 18 ans. Pour en parler, Philippine Dolbeau reçoit en plateau Apolline Humblot, finaliste du prix Margaret Junior 2024 et Delphine Remy-Boutang, fondatrice du prix Margaret et de la Journée de la femme digitale (JFD).
Mieux maîtriser les outils numériques, c'est possible. Le Centre pour l'éducation aux médias et à l'information (CLEMI) en dit plus dans son "Focus" du jour.
Dans son "Idée derrière la tech", Jeanne Dreyfus retrace l'histoire de l'éducation grâce à la parution d'une bande dessinée, intitulée 'L'Incroyable histoire de l'éducation" de Jean-Yves Seguy.
Depuis 2012, la Journée de la Femme digitale incite, à travers le Prix Margaret, les femmes à entreprendre et à innover dans la tech. Delphine Remy-Boutang, fondatrice du prix Margaret et de la Journée de la femme digitale (JFD), rappelle d'ailleurs que le prix tire son nom de Margaret Hamilton, codeuse de la NASA, qui a "fait que l'homme a marché sur la Lune". La fondatrice de la JFD insiste sur le fait que les femmes étaient et sont encore aux "manettes" de l'innovation et du numérique.