Face à l'éco-anxiété, c'est-à-dire l'angoisse ressentie devant la menace climatique, il existe une solution pour en sortir. Maxime Ollivier, activiste pour la justice sociale et climatique, propose l'éco-lucidité. Il en parle dans son ouvrage "Vivre avec l'éco-lucidité : je passe à l'acte". Il est l'invité d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
À l'occasion de la sortie du film d'animation "Léo, la fabuleuse histoire de Léonard de Vinci", Cécile Fournier sort son "Antisèche" pour retracer la vie du célèbre peintre et génie de la Renaissance.
Dans son "Heure de la récré", Cécile nous parle d'une tendance tout droit venue de Corée, celle du foulard nasal.
En fin d'émission, on retrouve le "Conseil de famille" de Candice Anzel. Notre coach en parentalité livre ses recommandations pour accompagner au mieux un enfant hypersensible.
Les élections européennes approchent à grands pas et elles s'annoncent très mouvementées, du 6 au 9 juin 2024. Les élus cherchent à mobiliser la jeunesse, qui peine à se rendre aux urnes. Pourquoi se désintéresse-t-elle de la politique ? Comment y remédier ? Une coopérative apolitique a trouvé une solution pour initier les élèves aux enjeux du débat politique. Pour en parler, Philippine Dolbeau reçoit en plateau Quentin Lebreton, co-président de "Déb'Acteur".
Apprendre à mieux maîtriser les écrans, c'est ce que suggère le Centre pour l'éducation aux médias et à l'information (CLEMI) dans son "Focus" du jour.
L'apparence en entretien d'embauche peut faire la différence. C'est ce que nous explique Dorith Naon dans son "Idée derrière la tech".
Se glisser dans la peau d'un député grâce à un jeu de rôle et débattre d'une proposition de loi devant une assemblée composée de partis politiques, c'est ce que propose Déb'acteur. Cette coopérative apolitique permet d'inciter les jeunes, dès 14 ans, à s'intéresser à la politique et à la démocratie participative. Pour Quentin Lebreton, son co-président, cette immersion permet de "créer de l'empathie politique".
Au lycée, à 17 ans seulement, il lance une plateforme d'entraide pour réduire les inégalités scolaires, en plein confinement. Depuis, ExtraStudent, considéré comme le premier réseau d'entraide entre lycéens et étudiants, rassemble plus de 250 000 utilisateurs. Comment a-t-il réussi à créer son entreprise ? Comment se déroule une levée de fonds ? Jules Simiand Brocherie, fondateur d'ExtraStudent, est l'invité de Philippine Dolbeau pour en parler.
Il fait voyager ses 217 000 abonnés sur YouTube en vulgarisant la géopolitique. Xavier Terrade retrace le parcours de Mister Geopolitix dans le "Focus" du jour.
Dans son "Idée derrière la tech", Isabelle Rouhan fait le point sur le métier d'ambassadeur de la souveraineté numérique.
En plein confinement, alors que les salles de classe sont fermées, Jules Simiand Brocherie, élève de terminale, a l'idée de créer un réseau social où lycéens et étudiants peuvent s'entraider et partager des conseils sur l'orientation. Depuis, ExtraStudent rassemble plus de 250 000 utilisateurs. Objectif ? "Réduire les inégalités scolaires", assure-t-il.
Un élève sur trois dans le monde est victime de violences de genre en milieu scolaire, selon les estimations de l'UNESCO. Sexuelles, physiques ou psychologiques, ces violences ont de graves répercussions sur la santé mentale des jeunes, et peuvent même conduire à l'échec scolaire. Diane Richard, porte-parole de l'ONG Plan international France et Auriane Dumesnil, co-fondatrice de "Pépite Sexiste", sont les invitées de Virginie Guilhaume pour en parler.
Depuis la mi-janvier, les élèves peuvent inscrire leurs vœux d'orientation sur Parcoursup. Pour les accompagner dans cette démarche, qui n'est pas toujours évidente, l'entreprise "Myfuture" propose ses conseils. Thomas Ferré, responsable des relations avec les établissements scolaires, en parle en deuxième partie.
En fin d'émission, Guillaume Buan sort son "Agenda" et vous propose une sélection d'activités culturelles à faire en famille.
Selon une étude du collectif "Maths & Sciences", les enseignements scientifiques enregistrent une baisse de 19% des effectifs de filles, depuis 2019. Pour Auriane Dumesnil, co-fondatrice de "Pépite Sexiste", les stéréotypes qui persistent autour de ces filières ont un "vrai impact. Il y a très peu de femmes dans le monde du numérique et des sciences actuellement, c'est problématique".
Près d'une jeune femme sur trois a déjà eu peur d'être victime de violences de genre à l'école. C'est le constat du baromètre mené par Opinionway pour l'ONG Plan international France, paru fin janvier. 5% des jeunes femmes, de 13 à 18 ans, ont même "déclaré avoir raté l'école par peur de ces violences à l'école", souligne Diane Richard, porte-parole de l'ONG Plan international France. Un phénomène qui impacte directement leur scolarité, explique-t-elle.
Un élève sur trois dans le monde est victime de violences de genre en milieu scolaire, selon les estimations de l'UNESCO. Sexuelles, physiques ou psychologiques, ces violences ont de graves répercussions sur la santé mentale des jeunes, et peuvent même conduire à l'échec scolaire. Diane Richard, porte-parole de l'ONG Plan international France et Auriane Dumesnil, co-fondatrice de "Pépite Sexiste", sont les invitées de Virginie Guilhaume pour en parler.
Depuis la mi-janvier, les élèves peuvent inscrire leurs vœux d'orientation sur Parcoursup. Pour les accompagner dans cette démarche, qui n'est pas toujours évidente, l'entreprise "Myfuture" propose ses conseils. Thomas Ferré, responsable des relations avec les établissements scolaires, en parle en deuxième partie.
En fin d'émission, Guillaume Buan sort son "Agenda" et vous propose une sélection d'activités culturelles à faire en famille.
À quelques mois du coup d'envoi des Jeux olympiques en France, plus de 2000 étudiants devront quitter leur logement CROUS, réquisitionné pour les soignants, pompiers, forces de l'ordre et membres de la sécurité civile. En compensation, ils recevront une indemnité de "100 euros" et "deux places" pour assister à "des épreuves olympiques", a déclaré Sylvie Retailleau, ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche, fin octobre. "Je trouve cela honteux. Je ne comprends pas comment une idée pareille a pu germer", dénonce Ian Brossat. Pour lutter contre la précarité étudiante, le sénateur de Paris propose quelques solutions pour accompagner les jeunes.
Seulement 21% des femmes occupent des postes de cheffes de projets informatiques et responsables informatiques. C'est ce que révèle la nouvelle étude de l'Opiiec (Observatoire paritaire des métiers de l'informatique, ingénierie, des études et du conseil). Autre chiffre inquiétant : elles ne représentent que 17% des diplômés exerçant dans le secteur, selon une enquête du Gender Scan du cabinet Global Contact, publiée en 2022. Les femmes sont donc toujours sous-représentées dans le domaine du numérique. Pour inciter les filles à se lancer dans ces filières, de nombreux réseaux d'entrepreneures féminins se constituent, insiste Joséphine Boulinguez, directrice des opérations au sein de l'association "100 000 entrepreneurs". Elle rappelle d'ailleurs que les femmes dirigeantes "viennent de plus en plus parler de leurs parcours" dans les écoles pour susciter des vocations.
Aujourd'hui, dans "Le Mag", on s'intéresse au rôle et aux missions de l'Andev, l'association nationale des directeurs et des cadres de l'éducation des villes et des collectivités territoriales. Quelles sont les actions qu'elle mène sur le terrain ? Comment accompagne-t-elle les professionnels de l'éducation pour améliorer le système éducatif ? Quelle est la place de la co-éducation en France ? Les annonces du gouvernement ont-elles convaincu cette association ? Comment faire évoluer notre modèle éducatif pour réduire les inégalités ? Rozenn Merrien, présidente de l'Andev et Gabriel Fraga, vice-président de l'association, sont les invités de Patrice Boisfer pour en parler.
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen nous emmène en Bretagne pour découvrir l'association "Acteur de ton avenir", qui réunit des jeunes bretons engagés.