À l'approche des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, il est essentiel de mobiliser la jeune génération sur la pratique sportive, explique la députée MoDem Géraldine Bannier. Face à la jeune génération devenue "sédentaire" au fil des années, elle estime que le sport est "une question de prévention" pour la santé. Elle considère qu'il "est impératif" de pratiquer une activité physique "au quotidien". Géraldine Bannier évoque également la rénovation des complexes sportifs pour donner envie aux jeunes de faire du sport.
Les Jeux olympiques et paralympiques démarrent très bientôt à Paris. C'est un événement planétaire que vos enfants ne vivront, peut-être, qu'une seule fois dans leur vie. Il est donc important de leur expliquer leur utilité, mais aussi de parler d'inclusion et de dépassement de soi, à l'occasion des Jeux paralympiques de Paris 2024. Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Géraldine Bannier, députée Modem et Maxime Scotti, professeur agrégé d'EPS en éducation prioritaire.
Comment concilier sport et études supérieures ? Céline Graët, responsable du département des sports au pôle Léonard de Vinci, et David Rémond, coordinateur sports du pôle Léonard de Vinci, en parlent en deuxième partie.
En fin d'émission, on retrouve Malika Ménard et son invité, le chef cuisinier Akrame Benallal. Il évoque ses "Souvenirs d'écolier".
Sa vie bascule le 7 février 2000. Michaël Jérémiasz est victime d'un accident de ski, à 18 ans. Sur le plateau du "Mag", à l'occasion de la Semaine olympique et paralympique, le champion paralympique de tennis fauteuil considère que la "loi de 2005 sur le handicap n'est pas appliquée". Pour faire respecter la loi et "revendiquer les mêmes droits" que les personnes valides, il estime qu'il "faut des leaders d'opinion" pour "s'unifier".
Comment expliquer le succès de la fast fashion auprès des jeunes ? Selon Yann Rivoallan, président de la Fédération française du prêt-à-porter féminin, l'intelligence artificielle tient un rôle majeur dans la réussite de cette industrie. Avec "8000 nouveaux produits par jour, l'intelligence artificielle récupère toutes les données, partout dans le monde, pour réinventer les 8000 nouveaux produits quotidiens de Shein", explique-t-il. Les algorithmes sont également responsables du succès de la fast fashion, une industrie très polluante et sans limites.
Aujourd'hui, dans "Le Mag", on se penche sur le parcours d'un athlète de haut niveau, à l'occasion de la Semaine olympique et paralympique. Michaël Jeremiasz, champion paralympique de tennis fauteuil, est désormais consultant pour de grands médias. Comment a-t-il réussi sa reconversion ? Pourquoi faut-il médiatiser les Jeux paralympiques qui se tiendront du 28 août au 8 septembre à Paris ? Ces Jeux vont-ils marquer un tournant concernant l'inclusion ? Pour mettre en lumière ce sujet, Michaël Jeremiasz nous parlera également de son prochain projet de documentaire : "Let me Run". Il est l'invité de Patrice Boisfer pour en parler.
Dans sa "Loupe", Marine Plantec en dit plus sur la 23ᵉ édition de l'Open visual de tennis fauteuil, qui s'est déroulée en Ille-et-Vilaine.
Shein, Temu, Zara... Ces marques, plébiscitées par la jeune génération, font partie de la fast fashion et nuisent gravement à l'environnement. L'achat de ces vêtements de mauvaise qualité, rapidement jetés, augmente notamment la production de déchets vestimentaires. Leur fabrication implique également l'utilisation de produits toxiques, une surconsommation d'eau et un recours à une main d'œuvre très peu chère. Une proposition de loi a été adoptée pour lutter contre cette industrie. Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Yann Rivoallan, président de la Fédération française du prêt-à-porter féminin et Huguette Tiegna, députée Renaissance.
C'est un Salon qui encourage la liberté scolaire et l'innovation pédagogique depuis 2019. Le Salon "Libsco", organisé par la Fondation pour l'école, ouvre ses portes le 6 avril 2024 à Paris. Anne-Françoise de Saint-Albin, responsable du pôle développement et communication de la Fondation pour l'école, en parle en deuxième partie.
En fin d'émission, dans sa chronique "Vu à l'étranger", Loïc Landrau nous emmène en Italie pour évoquer le quotidien des enfants issus des mafias.
En pleine Semaine olympique et paralympique, du 2 au 6 avril 2024, l'équipe de "L'École du futur" met en avant celles et ceux qui militent pour le développement du sport à l'école. Pourquoi est-ce important ? Comment inciter les jeunes à pratiquer une activité sportive ? Pour en parler, Philippine Dolbeau reçoit Diane de Navacelle de Coubertin, présidente de la commission culture et héritage de l'ISF (International Sport Federation) et Alex Portal, nageur et double médaillé paralympique.
Pour bien maîtriser les usages des outils numériques, le Centre pour l'éducation aux médias et à l'information (CLEMI) livre ses conseils dans le "Focus" du jour.
Comment sensibiliser nos enfants à la politique ? Milly Addaé vous donne quelques recommandations dans son "Idée derrière la tech".
À l'occasion de la 8ᵉ édition de la Semaine olympique et paralympique, du 2 au 6 avril 2024, l'équipe du "Mag" reçoit deux athlètes pour évoquer les agressions sexuelles dans le monde du sport. Catherine Moyon de Baecque, ancienne athlète de haut niveau, spécialisée dans le lancer de marteau, lutte contre les violences faites aux femmes.1000 signalements de violences sexuelles dans le sport ont été effectuées depuis l'ouverture de la cellule d'écoute du ministère des Sports en 2020, selon la commission du Comité national olympique. Comment inverser cette courbe ? Comment prévenir ces violences ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Catherine Moyon de Baecque, présidente de la Commission de lutte contre les violences sexuelles et les discriminations dans le sport et Delphine Réau, double médaillée olympique en tir.
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen met en avant la cellule de signalement "Signal-Sports" pour lutter contre les violences sexuelles.
Elle ne compte plus ses heures de travail et d'entraînement pour préparer les Jeux olympiques de Paris 2024. Après avoir participé aux JO de Pékin en 2008 et de Londres, en 2012, Ayodele Ikuesan, athlète olympique en sprint 4x100 m, a donné naissance à deux enfants. Sur le plateau du "Mag", à l'occasion de la 8ᵉ édition de la Semaine olympique et paralympique, elle évoque son quotidien et estime qu'il faut parler de la précarité de la vie des sportifs.
À quelques mois de l'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, on s'intéresse à la 8ᵉ édition de la Semaine Olympique et Paralympique, qui se déroule du 2 au 6 avril 2024. "Le Mag" reçoit aujourd'hui Ayodele Ikuesan, athlète française, spécialiste du sprint. Avec deux participations au relais 4 x 100 m des Jeux olympiques à Pékin en 2008 et Londres en 2012, puis un arrêt de sa carrière sportive, comment cette maman de 38 ans se prépare-t-elle aux JO de Paris 2024 ? Comment jongle-t-elle entre les entraînements et sa vie privée ? Quels sont les bénéfices sur son bien-être ? Compte-t-elle abandonner sa carrière politique dans le 18ᵉ arrondissement de Paris ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Ayodele Ikuesan.
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen se penche sur les "Golden Blocks", qui souhaitent promouvoir l'athlétisme chez les jeunes.
13% des femmes qui souffrent d'une maladie chronique, sont également touchées par la dépression en France. En ce qui concerne les règles, 31% d'entre elles vivent mal cette période, et 97% déclarent ressentir des symptômes. Ce sont les résultats d'une grande enquête menée par le Lab Heyme, en partenariat avec l'Institut Opinionway, sur la santé des jeunes femmes en France. Céline Berardo, directrice générale de Lab Heyme estime que les règles restent un "sujet tabou" en France. Selon elle, il existe une "forme de banalisation de la douleur". Pour briser le silence, elle recommande d'en parler.
Quatre jours, et quatre nuits de course pour parler et sensibiliser les familles au don d'organes, c'est l'objectif du dispositif "La Course du Cœur" qui a démarré le 20 mars dernier à Paris. "Tout au long du parcours, l'équipe de sensibilisation passe dans les écoles, et évoque les témoignages de personnes greffées", souligne Béatrice Bare, membre de l'équipe. Les enfants sont également invités à participer au dispositif, en proposant des dessins, qui seront ensuite exposés dans les hôpitaux pour "soutenir les enfants malades".