Aujourd'hui, l'équipe du "Mag" s'intéresse aux missions de l'association "Premiers de cordée". Elle propose gratuitement des animations sportives auprès des enfants malades ou en situation de handicap. À l'hôpital, ses bénévoles mettent à disposition des équipements adaptés pour permettre aux enfants de pratiquer une activité physique. Quels sont les retours d'expérience ? L'inclusion en France est-elle la priorité du gouvernement ? Nathalie Péchalat, présidente des "Premiers de cordée", et Julie Garcia, chargée de mission au sein de l’association, sont les invitées de Patrice Boisfer pour en parler.
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen met en lumière les initiatives de l'association "Oasis de talents", qui œuvre pour une école inclusive.
Manque d’attractivité du salaire, problème de recrutement… Les accompagnants d’élèves en situation de handicap ont fait grève début octobre pour réclamer un salaire digne et un statut stable. "Quand j’ai commencé en 2011, j’avais 12 heures par élèves. Maintenant, j’en ai plus que 6. Avant, l’accompagnement était individualisé. Aujourd’hui, c’est mutualisé. On doit s’occuper de plusieurs enfants pendant le même cours", explique Nathalie Bassière, AESH à Nîmes (Gard). Alors que la scolarisation des enfants en situation de handicap ne cesse d’augmenter, "il faut des moyens humains pour les accompagner", rappelle Nadine Maudet, vice-présidente de l’UNAPEI (Union nationale des associations de parents d'enfants inadaptés).
Ils sont accompagnants d'élèves en situation de handicap (AESH) ou proches aidants... En cette Journée nationale des aidants, le 6 octobre, le "Grand JT de l'Éducation" se penche sur le statut et le rôle de ces personnes qui œuvrent chaque jour au bien-être d'enfants malades ou en situation de handicap. Que vivent ces aidants au quotidien ? Qu'en est-il de leur statut et de leur reconnaissance ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit Nadine Maudet, vice-présidente de l’UNAPEI (Union nationale des associations de parents d'enfants inadaptés) et Nathalie Bassière, AESH à Nîmes (Gard).
Pourquoi ne pas réfléchir et changer sa manière d'enseigner ? C'est en tout cas la réflexion et le travail réalisé par Juline Anquetin-Rault. Enseignante au CFA Simone-Veil à Rouen (Seine-Maritime), elle a écrit "La prof qui murmure à l'oreille des ados". Elle en parle en deuxième partie.
Retrouvez, en fin d'émission, l'"Agenda" de Loïc Landrau. Il vous propose des activités culturelles à faire en famille.
Le sujet du handicap et de l’inclusion scolaire est "très important", explique Laurence Bourdet-Mathis, adjointe au maire de Levallois (Hauts-de-Seine). La ville a ouvert une classe pour enfants autistes à l’école élémentaire Buffon et deux ULIS (unités localisées pour l’inclusion scolaire) dans les écoles Jules Ferry et Françoise Dolto. Elle pointe du doigt le manque de moyens dédié au handicap et la faible rémunération des AESH (Accompagnant des élèves en situation de handicap).
"We have a dream", c'est le titre du nouveau documentaire du réalisateur Pascal Plisson. Il suit le parcours de six enfants en situation de handicap, qui réalisent leurs rêves. Il est l'invité d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
À l'occasion de l'anniversaire de la réunification de l'Allemagne, Brandon Waret sort son "Antisèche" pour relater cet événement historique, très étudié dans les salles de classe.
Dans son "Heure de la récré", Brandon a trouvé une idée de sortie à faire en famille. Il vous emmène découvrir une exposition consacrée à Louis XVI, Marie-Antoinette et la Révolution aux Archives nationales.
En fin d'émission, on retrouve Amélie Paris, professeure-documentaliste, pour ses "Années collège". Elle évoque le moment du premier baiser à l'occasion de la Journée nationale du "Petit ami".
Maud, jeune fille de 15 ans, sourde et amputée, rêve de devenir danseuse. Elle est l’une des protagonistes du dernier documentaire "We have a dream" de Pascal Plisson, en salle depuis le 27 septembre. Le réalisateur a suivi le parcours de six jeunes en situation de handicap, à travers le monde. Il explique comment il a réussi à se plonger dans le quotidien de ces enfants et de leurs familles, au départ réticentes.
Alors que la rentrée est passée, de nombreux enfants en situation de handicap attendent toujours une école. L'Union nationale des associations de parents, de personnes handicapées mentales et de leurs amis (UNAPEI) tire, une nouvelle fois, la sonnette d'alarme. Elle vient de lancer une campagne #jaipasecole pour dénoncer ce fléau. Que fait le gouvernement pour éradiquer ce phénomène ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Sonia Aheheninnou et Élisabeth Lammers, vice-présidentes de l'UNAPEI
Dans sa "Loupe", Adrien Fontaneau fait le point sur le métier crucial d'accompagnants des élèves en situation de handicap (AESH).
23 % des élèves en situation de handicap n'auront aucun accès à l'école cette année, révèle une étude récente de l'UNAPEI (Union nationale des associations de parents, de personnes handicapées mentales et de leurs amis). Sonia Aheheninnou et Élisabeth Lammers, vice-présidentes de l'UNAPEI, rappellent les missions de l'association.
"Il est clairement évident aujourd’hui, les AESH sont l’un des leviers de l’école inclusive, mais pas le seul. Il faut en recruter davantage", constate Servane Hugues, députée Renaissance de l’Isère et co-rapporteur de la mission d’information sur l’instruction des élèves en situation de handicap. 4 000 postes supplémentaires, grille indiciaire revalorisée, obtention d’un CDI au bout de 3 ans… Elle revient sur les nouvelles mesures annoncées par le ministère de l’Éducation nationale en faveur des accompagnants d’élèves en situation de handicap (AESH) pour la rentrée 2023.
Le droit pour chaque enfant handicapé d'accéder à une scolarisation en milieu ordinaire, au plus près de son domicile, est acté par la loi sur le handicap. En réalité, cela s'avère bien plus compliqué dans les faits. Qu'en est-il concrètement ? Que fait l'État pour aider au mieux les familles concernées ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit Servane Hugues, députée de l'Isère, Hervé Bernard, directeur social et inclusion chez Handicap international et Cathy Girard, directrice d'école maternelle et professeure des écoles.
S'amuser en discutant du climat, des luttes féministes ou encore de culture, c'est ce que propose l'Éclap éditions. Axelle Gay en parle en deuxième partie.
En fin d'émission, Malika Ménard reçoit l'humoriste malvoyante Lilia Benchabane. Elle revient sur sa scolarité dans ses "Souvenirs d'écolier".
Elle est suivie par plus de 80 000 abonnés sur Instagram. Dans son dernier one-woman show, "Attention handicapée méchante", elle choisit l’autodérision et l’humour pour s’accepter. "En tant que personne en situation de handicap, j’aurais aimé qu’on me comprenne plus", confie Lilia Benchabane, à propos de l’école. Si l’humoriste malvoyante comprend les difficultés rencontrées par les professeurs au quotidien, elle regrette le manque d’écoute à l’égard des élèves. Elle évoque d’ailleurs la situation scolaire de son frère, diagnostiqué TDAH.
Les accompagnants des élèves en situation de handicap (AESH) sont descendus dans la rue ce mardi pour réclamer une reconnaissance de leur métier et de meilleures conditions de travail. Quand va-t-on (enfin) prendre en considération leurs requêtes ? Cécile Stassi, AESH et membre du FSU-SNUIPP (syndicat national unitaire des instituteurs, professeurs des écoles et PEGC), Chaker Brahmi et Nadia, tous deux AESH.
Retrouvez, en deuxième partie d'émission, Malika Ménard et son invitée, Zoé la Modeuze. La jeune maman revient sur son parcours, de clerc de notaire à influenceuse, suivie, aujourd'hui, pas plus de 168 000 abonnés sur Instagram.