Hyperactif, dyslexique, autiste… Ces dernières années, de plus en plus d'enfants dits "hors-normes", sont diagnostiqués. Ils sont soumis à de nombreux bilans médicaux et psychologiques et sont ensuite reconnus TSA, TDAH, DYS... Comment éduquer au mieux ces jeunes ? Comment éviter les errances diagnostiques ? Comment l'école peut-elle s'adapter ? Le magazine "Sciences Humaines" a fait de ce sujet la "Une" de son mensuel. Sa rédactrice en chef, Héloïse Lhérété, est l'invitée d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler. C'est un 18 mai que Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais disparaissait. Emma Guessel sort son "Antisèche", pour évoquer le parcours de cet écrivain, dramaturge et homme d'affaires français, à l'origine de la première loi en faveur du droit d'auteur. À "L'heure de la récré", Emma nous fait découvrir des astuces simples trouvées sur TikTok. En fin d'émission, dans son "Plateau repas", Sandra Ferreira, nutritionniste et diététicienne, propose des recettes de petit-déjeuner vegan.
Les jeunes en situation de handicap mettent en moyenne 7 mois à trouver un emploi, contre 4 pour les jeunes valides, selon une étude IFOP menée en 2021. Dans ce contexte, l’Arpejeh facilite l'insertion professionnelle des jeunes handicapés. L'association, partenaire de l'Éducation nationale et présente dans 5 régions françaises, promeut une société plus juste et plus égalitaire. Yannick Kusy, porte-parole de d'Arpejeh, explique comment les jeunes sont accompagnés.
Le taux de chômage des personnes en situation de handicap en France est de 14%, soit deux fois plus que les personnes valides, selon le ministère des Solidarités, de l'Autonomie et des Personnes handicapées. Pour favoriser l’insertion professionnelle des jeunes de 15 à 30 ans en situation de handicap, la plateforme "Mon parcours handicap" propose de nombreuses initiatives… Irina Capron fait le point et détaille l’ensemble des actions menées.
Aujourd'hui, dans "L'école ensemble", l'équipe du "Mag" s'intéresse à l'insertion professionnelle des jeunes en situation de handicap. Comment parviennent-ils à trouver un emploi ? Est-ce un parcours du combattant ? Que font les associations et l'État pour les encourager ? Vers quelles structures faut-il se tourner ? Quelles sont les obligations des entreprises ? L'école a-t-elle un rôle à jouer pour favoriser l'insertion professionnelle ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Émile Loubet, étudiant en communication et Yannick Kusy, porte-parole de l'association Arpejeh.
Dans sa "Loupe", Irina Capron dresse un état des lieux du marché de l'emploi.
En fin d'émission, zoom sur "Verry'Appli", une application mobile dédiée aux personnes en situation de handicap psychique. Irina vous explique tout dans son "Info en +".
Mercredi, à l’occasion de la sixième Conférence nationale du handicap, le président de la République a annoncé une série de mesures pour améliorer l’inclusion pour les 12 millions de Français concernés et les 430 000 enfants en situation de handicap scolarisés. L’État a prévu de consacrer 1,5 milliard d’euros à ce plan. Il prévoit notamment le remboursement à 100% des fauteuils roulants, une meilleure accessibilité dans les lieux publics, la hausse de l’Allocation adulte handicapé (AAH). Des annonces qui ont déçu Danièle Langloys, présidente d’autisme France. Elle explique pourquoi ces mesures ne sont pas suffisantes pour améliorer l’inclusion.
Lors de la Conférence nationale du handicap, Emmanuel Macron a annoncé mercredi une série de mesures pour favoriser l’inclusion des 12 millions de Français et des 430 000 élèves scolarisés en situation de handicap. Il a d’ailleurs promis une meilleure formation et un meilleur accompagnement des élèves concernés. "Chaque établissement du 1er degré aura un enseignant référent à même d’épauler ces élèves en situation de handicap, avec une rémunération spécifique, en plus de la rémunération socle, à hauteur de 400 à 500 euros supplémentaires par mois. Les AESH pourront aussi avoir un temps plein dès la rentrée 2023", a déclaré Emmanuel Macron. Pour André Masin, président de l'association "AFG Autisme", il faut non seulement "former les AESH", mais aussi parvenir à les recruter. Selon lui, ces accompagnants d'élèves en situation de handicap devraient avoir le même statut que les éducateurs spécialisés.
Le 26 avril, lors de la sixième Conférence nationale du handicap, Emmanuel Macron a annoncé une série de mesures pour favoriser l'inclusion pour les 12 millions de Français concernés. Qu'a-t-il annoncé ? Pourquoi certaines associations ont-t-elles boycotté cet événement ? Pour en débattre, Mickaël Dorian reçoit André Masin, président d’AFG Autisme et Danièle Langloys, présidente d’Autisme France.
Nouvelles mesures d'Emmanuel Macron sur le handicap, projet de loi sur le numérique, la psychothérapeute Isabelle Filliozat sous le feu des critiques, focus sur le S'cool bus, un transport scolaire à vélo... Brandon Waret fait le tour de "L'actu en bref".
Parler de sport aux enfants de 7 à 11 ans et leur donner envie d'en faire, c'est la vocation du bimestriel "À fond". Sa créatrice, Myriam Alizon, en parle en deuxième partie d'émission.
De plus en plus de créateurs s'emparent de la littérature et relancent les ventes de livres sur TikTok. Dans sa chronique "Quoi de neuf sur les réseaux ?", Brandon Waret évoque le phénomène des BookTokeurs.
En fin d'émission, Malika Ménard reçoit l'humoriste Rosa Bursztein. Elle raconte comment elle a fondé son podcast "Les mecs que je veux ken".
Tom, 11 ans, a une passion dévorante, celle de détecter les maisons abandonnées grâce aux cartes satellites. Il rêve de devenir chasseur de fantômes. Tom est aussi un enfant atteint de trouble du spectre autistique (TSA). Son père, Mickey Mahut, réalisateur, a voulu raconter son parcours dans un documentaire bouleversant intitulé "Le petit chasseur de fantômes". Dans sa quête, il nous emmène à Tel Aviv, en Israël, au sein d'un programme d'intégration des personnes autistes dans l'armée. Pour Mickey Mahut, "il faut mettre à profit les intérêts spécifiques" de Tom pour qu’il puisse, plus tard, trouver un emploi.
Problèmes de vue, brûlures, fatigue importante, fourmillements… Autant de symptômes qui accompagnent la sclérose en plaques (SEP) et qui altèrent la qualité de vie des malades. Affectant le système nerveux et la moelle épinière, cette maladie touche plus de 115 000 personnes en France. Armand Thoinet, aventurier et conférencier atteint d'une SEP, rappelle que cette pathologie est "invisible" et qu’elle entraîne de multiples symptômes. Arnaud Gautelier, fondateur et directeur de l'association "Notre sclérose", souligne d'ailleurs qu’il est difficile d’expliquer à son entourage ce qu’est concrètement la SEP.
Symptômes, soins médicaux et paramédicaux, questions taboues, grossesse, répercussions sur la vie sociale… L'application "Ma vie avec la sclérose en plaques", permet aux patients d’être mieux accompagnés et à leur famille de mieux comprendre la sclérose en plaques (SEP). Arnaud Gautelier, fondateur et directeur de l'association "Notre sclérose", explique comment il a eu l’idée de développer cette application. Conçue comme un roman graphique, cet outil apporte toutes les informations nécessaires pour lever le voile sur cette maladie neurodégénérative qui concerne plus de 115 000 personnes en France.
En 2023, 120 000 personnes sont atteintes de sclérose en plaques en France, selon le ministère de la Santé et de la Prévention. Cette maladie neurodégénérative est fréquente, mais mal connue. Pour quelles raisons ? Quels sont les symptômes ? Comment mieux prévenir cette pathologie ? Comment faire évoluer les traitements médicaux ? Vers qui peut-on se tourner ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Arnaud Gautelier, fondateur et directeur de l'association "Notre sclérose". Pour mieux appréhender, il a développé une application intitulée "Ma vie avec la sclérose en plaques". Armand Thoinet, aventurier, conférencier et atteint d'une SEP en parle également tout au long de l'émission.
Irina Capron sort sa "Loupe" pour faire le point sur la sclérose en plaques.
Zoom sur "La princesse qui se prenait les pieds dans tous les tapis", un livre pour expliquer la sclérose en plaques aux enfants. Irina Capron vous détaille tout dans son "Info en +".
En France, 700 000 personnes souffrent d’autisme dont 100 000 enfants selon l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM). Depuis 2014, les unités d’enseignement maternelle autisme (UEMA) accueillent des enfants avec troubles du spectre de l’autisme dès la maternelle. "Il s’agit d’un dispositif médico-social. Dans ces UEMA, les moyens existent et le personnel est formé pour permettre une prise en charge dédiée", explique André Masin, président de l'association "AFG autisme".