Aujourd'hui, dans "Le Mag", on s'intéresse à la ville de Chatou, dans les Yvelines. Quelles sont les initiatives pédagogiques déployées ? Avec quels résultats ? Comment la ville a-t-elle œuvré pour augmenter le bien-être à l'école ? Qu'en est-il du numérique dans les salles de classe ? Pourquoi la sécurité des enfants est-elle une priorité pour la ville ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Inès de Marcillac, adjointe au maire de Chatou chargée de l'éducation.
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen lève le voile sur une légende du basketball français, très attachée à Chatou.
Dans les Yvelines, à Chatou, la municipalité met l'accent sur la sécurité des enfants. Selon Inès de Marcillac, adjointe au maire de Chatou chargée de l'éducation, pour "créer les meilleures conditions d'apprentissage", il faut mettre une "priorité sur la sécurité" des 2100 élèves scolarisés.
Favoriser l'inclusion, encourager la transition écologique et numérique, et inciter les jeunes à participer à la vie citoyenne… Ce sont les quatre axes forts du projet éducatif "Génération Dijon", destiné aux 0-25 ans, explique l'adjoint au maire de Dijon Franck Lehenoff. Sur le plateau du "Mag", il rappelle que les enfants sont régulièrement conviés à donner leur opinion pour améliorer l'école.
56 centimes pour les enfants les plus modestes, c'est le coût du repas à la cantine scolaire. Pour les familles plus aisées, le prix monte à 7,30 euros. "Le prix total du repas est à 13 euros, ce qui veut dire que, même pour les familles les plus aisées, la ville de Dijon prend en charge 50%", détaille Franck Lehenoff, adjoint au maire de Dijon. Il explique comment la ville a réussi à proposer une cantine de qualité avec des produits bio et accessibles à tous.
Un étudiant sur cinq ne mange toujours pas à sa faim, faute de moyens. C'est ce que révèle un sondage très inquiétant, mené en ligne par la Fédération des associations générales étudiantes. Selon Shane L'utile, tête de liste au Crous de Paris, la précarité étudiante ne date pas d'hier. Si elle existe depuis "plusieurs décennies", le Covid a mis en lumière ce phénomène et a même "aggravé la situation". Il estime que les pouvoirs publics ne s'emparent pas de ce sujet, puisque la précarité étudiante est "normalisée".
Aujourd'hui, dans "Le Mag", on découvre la ville de Dijon, en Bourgogne. Quels sont les projets éducatifs de la ville ? Pourquoi a-t-elle lancé une concertation citoyenne ? Quelle est la place du numérique et de l'écologie à l'école ? En quoi consiste le projet "Génération Dijon" ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Franck Lehenoff, adjoint au maire de Dijon.
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen en dit plus sur la COP de Bourgogne-Franche-Comté.
Un étudiant sur cinq déclare ne pas manger à sa faim, un sur dix bénéficiant de l'aide alimentaire a déjà dû dormir dans sa voiture. Les soins médicaux sont, quant à eux, inexistants. C'est le sondage inquiétant mené en ligne par la Fédération des associations générales étudiantes. Alors comment lutter contre la précarité étudiante qui s'installe depuis plusieurs années ? Comment expliquer ce phénomène ? Quelles solutions proposer à ces jeunes en difficulté ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Shane L'utile, tête de liste au Crous de Paris et en duplex Yanis Zerguit, membre du bureau national et porte-parole de l'Union nationale des étudiants de France (UNEF).
Faire de sa passion pour les arts plastiques son métier, c'est le beau parcours de Morgane de Candolle, professeure d'arts plastiques. Elle en parle en deuxième partie.
En fin d'émission, dans sa chronique "Quoi de neuf sur les réseaux ?", Loïc Landrau fait le point sur le mouvement #metoogarçons qui fait beaucoup parler.
"Si je me suis fait partir, dis-toi que je serai mieux là-haut au paradis"… Océane, 13 ans, a laissé une lettre d'adieu, à l'attention de sa mère, dans laquelle elle explique être victime de harcèlement scolaire. C'était le 13 février dernier. Fort heureusement, sa mère a découvert la lettre avant le drame. Depuis, elle a décidé de médiatiser l'affaire en publiant cette lettre pour dénoncer le harcèlement scolaire subi par sa fille. Antoine Métayer, ancien professeur de l'Éducation nationale, thérapeute spécialiste du harcèlement scolaire, s'interroge sur la détection de ce fléau à l'école. Il rappelle d'ailleurs que le programme de lutte contre le harcèlement à l'école (pHARe), qui était déjà actif dans le collège d'Ille-sur-Têt (Pyrénées-Orientales), où Océane étudiait, n'a pas été très efficace.
Aujourd'hui, dans "Le Mag", on se penche sur le harcèlement scolaire. Plus d'un enfant par classe a déjà été victime de harcèlement en France. Pour éradiquer ce fléau, le gouvernement a déjà annoncé la mise en place de mesures concrètes. Le programme de lutte contre le harcèlement à l’école, pHARe, généralisé dans les écoles et collèges depuis la rentrée 2022, a été étendu aux lycées depuis septembre 2023. Pour quels résultats ? En quoi consiste-t-il ? Quelles sont les nouvelles annonces prévues pour lutter contre ce fléau ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Antoine Métayer, ancien professeur de l'Éducation nationale, thérapeute spécialiste du harcèlement scolaire.
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen met en lumière le combat d'Hugo, qui a fondé une association pour lutter contre le harcèlement scolaire.
Exit le bitume dans les cours de récré, place aux espaces verts. À Tours, en Indre-et-Loire, la municipalité a lancé l'opération "Récré en herbe" pour "végétaliser, débitumer et aménager les cours d'écoles", détaille Franck Gagnaire, adjoint au maire de la ville de Tours. L'objectif est également de "lutter contre les ilots de chaleur", "promouvoir la biodiversité" mais également de faire classe dehors, souligne-t-il.
Aujourd'hui, dans "Le Mag", on part à Tours, situé dans le département d'Indre-et-Loire. Dans cette ville, concentrée sur sa transition énergétique, comment se déroule la rénovation du bâti scolaire ? Quels sont les projets éducatifs déployés ? Avec quels résultats ? Qu'en est-il du numérique à l'école ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Franck Gagnaire, adjoint au maire de la ville de Tours.
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen évoque l'initiative "Orchestre à l'école".
Oxana Melnychuk, ukrainienne réfugiée en France, est maman. À son arrivée en France, elle raconte comment sa fille a été prise en charge par l'école française. Un assistant pédagogique a d'ailleurs accompagné au mieux sa fille. Pour elle, la scolarisation a été un "bol d'air frais".