Aujourd'hui, dans "Le Mag", on se rend à Trappes, dans les Yvelines. La ville est très mobilisée pour la jeunesse. Elle vient de lancer les "Assises de l'éducation" à Trappes, pour améliorer la prise en charge éducative des enfants et des ados. Comment cet événement peut-il influencer l'avenir des écoles ? Quelle est la place de l'éducation artistique et culturelle dans les salles de classe ? Quels sont les moyens alloués au numérique à l'école ? Pour en parler, Alix Nguyen reçoit en plateau Ali Rabeh, maire (Génération.s) de Trappes depuis 2021.
Dans sa "Loupe", Agathe Delannoy retrace le parcours d'une architecte, Hélène Reinhard, qui a réhabilité un groupe scolaire à Trappes pour faciliter l'inclusion scolaire.
"À qui la faute, si la mixité sociale, dans les écoles publiques, recule fortement ?" C'est ce que dénonce Florentin Letissier, adjoint à la maire de Paris en charge de l’économie sociale, solidaire et circulaire, dans une tribune publiée dans "L'Obs", le 26 février dernier. Sur le plateau du "Mag", il estime que les élus sont responsables de ce manque de mixité sociale dans les salles de classe car "ils ont les outils en main pour permettre d'agir sur la composition sociale des écoles". Florentin Letissier fait notamment référence à la carte scolaire, qui est "normalement tracée de telle sorte que les élèves soient mélangés socialement". Il considère que l'État, qui finance largement l'enseignement privé, doit avoir "des exigences par rapport aux écoles privées en termes de mixité". Pour rappel, les écoles privées sous contrat reçoivent une aide financière de l'État depuis la loi Debré de 1959. En contrepartie, ces dernières doivent respecter les programmes scolaires, accepter des élèves indépendamment de leur origine ou de leurs convictions.
Du 25 au 30 mars, la Semaine de l'économie sociale et solidaire (ESS) à l'école se tiendra partout en France. Pourquoi ce sujet est-il si important ? Qu'est-ce que l'économie sociale et solidaire ? Pour en parler, Emmanuel Davidenkoff reçoit Sylvie Emsellem, déléguée nationale du collectif l'Esper (économie sociale partenaire de l'école de la république).
Après s'être prononcé sur les lois retraite et immigration, le Conseil constitutionnel se penche sur le référendum d'initiative partagée (RIP). Cécile Fournier fait le point dans son "Antisèche".
Dans son "Heure de la récré", Cécile se penche sur les forest schools, qui proposent une pédagogie alternative.
En fin d'émission, on retrouve Candice Anzel pour son "Conseil de famille". Notre coach en parentalité explique comment les parents peuvent favoriser l'estime de soi chez l'enfant.
Aujourd'hui, dans "Le Mag", on découvre les politiques éducatives menées à l'Haÿ-les-Roses. Dans cette commune du Val-de-Marne, la ville a décroché le titre de "Ville amie des enfants". De quoi s'agit-il ? Qu'est-ce que le programme de réussite éducative ? Pourquoi le maire de l'Haÿ-les-Roses estime-t-il que les écoles du réseau "Espérance banlieues" sont innovantes ? Qu'en est-il de la place du numérique et du sport à l'école ? Pour en parler, Alix Nguyen reçoit en plateau Vincent Jeanbrun, maire de L'Haÿ-les-Roses.
Dans sa "Loupe", Agathe Delannoy évoque un tournoi inédit d'e-sport organisé à l'Haÿ-les-Roses.
Expliquer le fonctionnement et les compétences du département ou encore de la mairie aux élèves, c'est ce que proposent les "Journées citoyennes", organisées dans le département de l'Yonne. L'objectif ? "Sensibiliser les collégiens" pour qu'ils "posent des questions sans tabou" et qu'ils comprennent le rôle des collectivités, détaille Grégory Dorte, vice-président de l'Yonne en charge de l'éducation.
Aujourd'hui, dans le "Mag", on part à la découverte de l'Yonne. Dans ce département, la rénovation des établissements scolaires est l'une des priorités des pouvoirs publics. Comment parviennent-ils à atteindre la sobriété énergétique ? Avec quels résultats ? Quels sont les autres projets éducatifs menés dans l'Yonne ? Quelle est la place du numérique dans les salles de classe ? Pour en parler, Alix Nguyen reçoit en plateau Grégory Dorte, vice-président de l'Yonne en charge de l'éducation et de la jeunesse.
Dans sa "Loupe", Marine Plantec évoque l'immersion des lycéens au tribunal.
Aujourd'hui, dans "Le Mag", on s'intéresse à la ville de Chatou, dans les Yvelines. Quelles sont les initiatives pédagogiques déployées ? Avec quels résultats ? Comment la ville a-t-elle œuvré pour augmenter le bien-être à l'école ? Qu'en est-il du numérique dans les salles de classe ? Pourquoi la sécurité des enfants est-elle une priorité pour la ville ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Inès de Marcillac, adjointe au maire de Chatou chargée de l'éducation.
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen lève le voile sur une légende du basketball français, très attachée à Chatou.
Dans les Yvelines, à Chatou, la municipalité met l'accent sur la sécurité des enfants. Selon Inès de Marcillac, adjointe au maire de Chatou chargée de l'éducation, pour "créer les meilleures conditions d'apprentissage", il faut mettre une "priorité sur la sécurité" des 2100 élèves scolarisés.
Favoriser l'inclusion, encourager la transition écologique et numérique, et inciter les jeunes à participer à la vie citoyenne… Ce sont les quatre axes forts du projet éducatif "Génération Dijon", destiné aux 0-25 ans, explique l'adjoint au maire de Dijon Franck Lehenoff. Sur le plateau du "Mag", il rappelle que les enfants sont régulièrement conviés à donner leur opinion pour améliorer l'école.
56 centimes pour les enfants les plus modestes, c'est le coût du repas à la cantine scolaire. Pour les familles plus aisées, le prix monte à 7,30 euros. "Le prix total du repas est à 13 euros, ce qui veut dire que, même pour les familles les plus aisées, la ville de Dijon prend en charge 50%", détaille Franck Lehenoff, adjoint au maire de Dijon. Il explique comment la ville a réussi à proposer une cantine de qualité avec des produits bio et accessibles à tous.
Un étudiant sur cinq ne mange toujours pas à sa faim, faute de moyens. C'est ce que révèle un sondage très inquiétant, mené en ligne par la Fédération des associations générales étudiantes. Selon Shane L'utile, tête de liste au Crous de Paris, la précarité étudiante ne date pas d'hier. Si elle existe depuis "plusieurs décennies", le Covid a mis en lumière ce phénomène et a même "aggravé la situation". Il estime que les pouvoirs publics ne s'emparent pas de ce sujet, puisque la précarité étudiante est "normalisée".
Aujourd'hui, dans "Le Mag", on découvre la ville de Dijon, en Bourgogne. Quels sont les projets éducatifs de la ville ? Pourquoi a-t-elle lancé une concertation citoyenne ? Quelle est la place du numérique et de l'écologie à l'école ? En quoi consiste le projet "Génération Dijon" ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Franck Lehenoff, adjoint au maire de Dijon.
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen en dit plus sur la COP de Bourgogne-Franche-Comté.