Les ¾ des enfants fréquentent la cantine scolaire en France, selon un rapport du Haut Conseil de la famille, de l'enfance et de l'âge, paru en novembre dernier. Invitée du "Mag", Hélène Périvier, économiste à l’OFCE Sciences Po et présidente du Conseil de la famille, souligne qu'il y a de "grandes hétérogénéités entre le collège public et le privé". Elle évoque également la baisse de fréquentation des élèves à la cantine dans les REP et REP+.
Démission, censure ou encore dissolution... En ces temps politiques mouvementés, où en sont nos institutions ? Comment garantir le bon fonctionnement de celles-ci ? Faut-il revoir ou modifier la Constitution ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit Éric Anceau, historien de l'État et Fleur Jourdan, avocate spécialisée en droit public et éthique des affaires.
Faire participer les jeunes à la vie d'un refuge animalier, c'est le projet mis au point par la SPA.
Maxime Merle-Lacombe, animateur-éducateur à la SPA, en dit plus en deuxième partie d'émission.
C'est l'une des nouveautés lancées par la commune de Montereau-Fault-Yonne, en Seine-et-Marne, pour la rentrée 2024-2025. Pour réduire l'empreinte écologique et améliorer la qualité des repas, la commune a décidé de "refabriquer les repas" et de lancer une toute nouvelle cuisine centrale. Un projet qui a coûté "1 million d'euros de travaux", détaille Stéphane Dervillez, adjoint au maire de Montereau-Fault-Yonne. Invité du "Mag", il rappelle que la commune sert 2000 repas par jour aux élèves.
Aujourd'hui, dans "Le Mag", on se rend à Montereau-Fault-Yonne, située dans le département de la Seine-et-Marne. Dans cette commune de plus de 23 000 habitants, l'école est au cœur des préoccupations. Quelles sont les nouveautés pour 2025 ? Comment la ville accompagne-t-elle les jeunes dans leur orientation ? Quels sont les dispositifs existants en matière de numérique ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Stéphane Dervillez, adjoint au maire de Montereau-Fault-Yonne.
En Guyane, à Cayenne, "les écoles sont surchargées" en raison de "l'immigration incontrôlée", explique Fabiola Saint-Hilaire, maire-adjointe déléguée à l'éducation de la ville de Cayenne. Ce département français encore "enclavé" a pourtant réussi à innover en matière d'éducation. Le dispositif "Ma Guyane Nage" permet aux enfants d'apprendre à nager dans les écoles.
Aujourd'hui, dans "Le Mag", on se rend à Cayenne, en Guyane, pour découvrir les initiatives pédagogiques. Comment la ville parvient-elle à proposer des solutions éducatives face à l'isolement géographique et la diversité culturelle ? Comment répondre aux inégalités sociales entre les élèves ? Qu'en est-il de la place du numérique dans les salles de classe ? Que faire face au décrochage scolaire ? Fabiola Saint-Hilaire, maire-adjointe déléguée à l'éducation de la ville de Cayenne et Sadia Robo-Ayanne, conseillère municipale de la ville de Cayenne, sont les invitées en plateau d'Alix Nguyen.
Comment faciliter l'accès aux ressources numériques tout en protégeant les données personnelles des enseignants et des élèves ? C'est la mission du gestionnaire d'accès aux ressources, le GAR. Cette initiative, portée par le ministère de l'Éducation nationale, est devenue indispensable dans le secteur. Pour en parler, Philippine Dolbeau reçoit Florent Lepeytre, expert conformité au sein du GAR Ninja.
C'est le coût de fonctionnement annuel du Service national universel (SNU) s'il est généralisé, estime la Cour des comptes dans un rapport paru en septembre. Cinq ans après sa création, le SNU, service citoyen qui s'adresse aux 15-17 ans sur la base du volontariat, ne fait pas l'unanimité. Invité du "Grand JT de l'Éducation", Jean-Claude Raux, député écologiste de Loire-Atlantique, estime que le SNU n'a "jamais atteint ses objectifs". Il explique pourquoi.
Quel est l'avenir du Service national universel (SNU) ? Ce dispositif sera-t-il généralisé, abrogé ou remanié ? Jean-Claude Raux, député écologiste de Loire-Atlantique, Béatrice Piron, députée Horizons des Yvelines et Laurent Croizier, député MoDem du Doubs, sont les invités de Virginie Guilhaume pour en parler.
En deuxième partie d'émission, on se plonge dans l'histoire de l'écrivaine George Sand. Elisabeth Combres, autrice, nous en dit plus.
Améliorer l'école et les outils d'apprentissages… Ce sont les principaux objectifs des enseignants au quotidien. Ils sont aussi confrontés à de nombreuses problématiques. Comment faire avancer l'inclusion dans les salles de classe ? Comment offrir une qualité d'enseignement pour tous sans réduire le nombre de professeurs ? Pour en parler, Philippine Dolbeau reçoit Guillaume Prévost, délégué général du think tank "Vers Le Haut" et Anne Coffinier, experte en éducation et présidente de "Créer son école".
Plan de prévention du harcèlement à destination des écoles, des collèges et des lycées, le programme pHare est obligatoire pour toutes les écoles, tous les collèges et lycées depuis la rentrée 2023. À l'occasion de la Journée nationale de lutte contre le harcèlement, Virginie Lanlo, ancienne députée des Hauts-de-Seine, a estimé qu'il "y a encore du travail à faire" pour endiguer ce fléau. Selon elle, il faut mettre l'accent sur les formations des personnels "dans l'ensemble des académies". Elle estime également que "le programme pHare ne s'arrête pas aux murs de l'école, mais qu'il doit être "déployé avec les équipes des collectivités, des animateurs et des accueils de loisirs".
Et si le banc de l'école devenait un outil pédagogique et artistique ? C'est l'idée développée par la mairie d'Antibes Juan-les-Pins (Alpes-Maritimes), pour lutter contre le harcèlement scolaire dans les écoles. Cette initiative, intitulée "Un projet, un banc, un artiste", a été élaborée en partenariat avec l'Éducation nationale et le programme de lutte contre le harcèlement (pHare). Invité du "Mag", Yves Dahan, adjoint au maire d'Antibes Juan-les-Pins, revient sur la naissance de ce projet.