Direction la cantine scolaire pour s'intéresser aux repas de nos enfants. À l'occasion du Salon international de l'agriculture, qu'en est-il de l'équilibre alimentaire des élèves ? Faut-il changer les menus ? Pourquoi la cantine scolaire est-elle si mal-aimée ? Comment améliorer la qualité proposée ? Pour en discuter, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Florence Dupraz, directrice de l'association "Open Agrifood" et en duplex Marie-Pierre Membrives, maman engagée au sujet des cantines scolaires et Evelyne Debourg, meilleure cantinière de France. Ouverture d'une commission d'enquête sur Tiktok, nouvel engagement de Charlotte Caubel, secrétaire d'État chargée de l'Enfance sur le harcèlement scolaire, projet d'une plateforme culturelle numérique, César des Lycéens décerné à "la Nuit du 12", cri d'alarme des associations à propos du calendrier du bac... Loïc Landrau fait le tour de "L'actu en bref". Comment gérer le "non" des enfants sans s'énerver ? Pour y répondre, Clémence Prompsy, psychologue clinicienne et auteure, a sorti un livre intitulé "Je ne veux pas". Elle en parle en deuxième partie d'émission. Zoom sur l'école péripatéticienne, fondée par le philosophe Aristote. Détails à suivre avec Loïc Landrau dans sa chronique "Et avant?"
Aujourd'hui, zoom sur les crèches en plein air qui connaissent un succès fulgurant. Comment se définissent ces crèches en plein air ? Quelles activités proposent-elles aux enfants ? Quels sont les bénéfices de ce concept ? Comment les petits sont-ils encadrés ? Les éco-crèches ont également la cote. Pour quelles raisons ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Banja Rathnov Nellemann, galeriste danoise et en duplex Steven Vasselin, adjoint en charge de la petite enfance à la mairie de Lyon (Rhône). Concept venu tout droit des pays nordiques, de plus en plus de familles se laissent tenter en France. Pourquoi un tel engouement ? Irina Capron sort sa "Loupe" pour y répondre. Au Canada, la garderie nature rencontre un véritable succès. Explications à suivre d'Irina Capron pour son "Info en +".
"Le harcèlement est un fléau qui tue des enfants et des adolescents chaque année", déclare Colette Mélot, sénatrice de Seine-et-Marne. D’ailleurs, même si les pouvoirs publics se sont emparés de ce sujet dès 2010, en 2021, on a recensé une vingtaine de suicides de jeunes harcelés en France. Virginie Guilhaume reçoit en plateau Colette Mélot, auteure du rapport d’information "Harcèlement scolaire et cyberharcèlement : mobilisation générale pour mieux prévenir, détecter et traiter". Grèves contre la réforme des retraites, rassemblement contre la fermeture de classes, lettre ouverte adressée à Pap Ndiaye au sujet du harcèlement anti-LGBT, dépression chez les étudiants …. Andréa Lebourgeois fait le tour de "L’actu en bref". Un univers musical pour partager bonheur, enthousiasme et joie de vivre, c’est ce que propose "Paroles de Farfelus". En chanson, en podcast et en spectacle, Laure et Franck, artistes, auteurs, compositeurs et interprètes, transportent petits et grands dans leur univers et leurs aventures. Laure Desbre nous en parle en deuxième partie d’émission. En fin d’émission, retrouvez le finaliste de la Star Academy, Louis Albi, invité de Malika Ménard. Il se confie sur ses "Souvenirs d’écolier".
Dans les écoles d’ingénieurs, moins d’un étudiant sur trois est une femme selon le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. À l’occasion de la première édition des Assises nationales de la féminisation des métiers et filières numériques, initiée par Femmes@Numérique et l’ensemble de ses partenaires, Philippe Dewost, directeur général de l’école des ingénieurs en informatique (EPITA), décrète "l’état d’urgence sur les vocations féminines". Selon lui, il faut accompagner les femmes et leur permettre d’intégrer les carrières numériques dans lesquelles elles excellent.
Quatre étudiantes sur dix se sentent découragées à l’idée d’étudier les sciences, la technologie ou encore l’ingénierie, selon une étude de Science Factor en 2021. En cause ? Le manque de soutien de leur entourage et de leurs professeurs. Pour les encourager à intégrer les filières scientifiques, Femmes@Numérique, avec ses partenaires, organise le 16 février, la première édition des Assises nationales de la féminisation des métiers et des filières numériques. Peggy Vicomte, déléguée et porte-parole de la fondation, y revient en détail et insiste sur l’importance de placer l’égalité au cœur de l’éducation
Plus de 26 millions de trajets domicile-établissement scolaire sont réalisés chaque jour en France par les élèves, les enseignants et le personnel des écoles selon un sondage IFOP pour Eco CO2. Pourtant, choisir des modes de transport alternatifs présente de nombreux bienfaits pour l’environnement mais aussi pour la santé des élèves. L'écomobilité scolaire fait de plus en plus d'adeptes. Comment sensibiliser les familles à cette thématique ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Pauline Tartarin, cheffe du programme Moby, créé à l’initiative du ministère de la Transition écologique et Claudine Ciglia, adjointe au maire de Saint-Sébastien-sur-Loire déléguée à la jeunesse et à la petite enfance (Loire-Atlantique). Organiser un ramassage scolaire piéton écolo, c'est le principe du pédibus. Mathilde Wessels sort sa "Loupe" pour faire le point. Comment les élèves se rendent-ils à l’école aux quatre coins du monde ? Pour y répondre, Mathilde Wessels revient sur le documentaire "Sur le chemin de l'école" dans son "Info en +".
81% des parents considèrent que la mobilité active permet de prévenir à long terme les maladies cardio-vasculaires selon un sondage IFOP réalisé pour Eco CO2. Limiter le recours à la "voiture solo", privilégier les transports en commun ou encore le vélo et la marche… Nombreux sont les bienfaits de l’écomobilité scolaire pour les familles. Selon Pauline Tartarin, cheffe du programme Moby, créé à l’initiative du ministère de la Transition écologique, l’écomobilité a un impact positif sur l’apprentissage puisque les élèves sont plus attentifs en cours après une activité physique. Claudine Ciglia, adjointe au maire de Saint-Sébastien-sur-Loire (Loire-Atlantique), insiste sur l’apaisement et la joie que procurent ces moments de convivialité.
56% des étudiants ne mangent pas à leur faim selon une étude de COP1-Solidarités étudiantes. Jeudi, l’Assemblée nationale a rejeté à une voix près, une proposition de loi visant à assurer un repas à 1 euro à tous les étudiants, quelle que soit leur situation financière. Si la précarité étudiante n’est pas une nouveauté, la crise post-Covid n’a fait qu’empirer la situation. Pour Giuseppe Aviges, étudiant en droit, les arguments avancés par les députés Renaissance qui ont voté "non", sont révoltants.
Plus de 26 millions de trajets domicile-établissement scolaire sont réalisés chaque jour en France par les élèves, les enseignants et le personnel des écoles selon un sondage IFOP pour Eco CO2. Le programme Moby aide les collectivités et les établissements scolaire à améliorer l’écomobilité scolaire. Le but ? Limiter le recours à la voiture individualisée grâce à des modes de déplacement actifs ou partagés. Pauline Tartarin, cheffe du programme Moby créé à l’initiative du ministère de la transition écologique et Claudine Ciglia, adjointe au maire de Saint-Sébastien-sur-Loire (Loire-Atlantique) insistent sur l’importance de la concertation citoyenne. Selon elles, il est nécessaire de mettre en place des initiatives adaptées à chaque collectivité.
À une voix près, l'Assemblée nationale a voté contre le projet de loi qui proposait le repas à 1 euro pour tous les étudiants. Comment analyser cette décision ? Pourquoi les députés ont-ils refusé ce projet ? Comment lutter et mettre fin à la précarité étudiante ? Pour en débattre, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Guiseppe Aviges, étudiant en droit et en duplex Marion Dolisy Galzy, présidente et fondatrice de l'association "1 cabas pour 1 étudiant". Rapport de la Cour des comptes sur le concours de recrutement de professeurs des écoles (CRPE), besoins en contractuels plus nombreux, lycéens hospitalisés après avoir consommé de la drogue, un tiers des écoles privées d'eau potable dans le monde selon un rapport récent de l'UNESCO... Guillaume Ouattara fait le tour de "L'actu en bref". Aborder les maladies chroniques et en parler aux enfants, c'est l'objectif du livre illustré "Ma maman vit avec une maladie invisible mais moi je la vois !" Mathilde Baudy, son illustratrice, y revient en deuxième partie d'émission. Quelle relation les jeunes entretiennent-ils avec l'alcool ? Explications à suivre de Guillaume Ouattara dans sa chronique "Quoi de neuf sur les réseaux?" En fin d'émission, Louis Albi, finaliste de la Star Academy, est l'invité de Malika Ménard. Il se confiera sur ses "Souvenirs d'écolier".
Depuis la rentrée 2022, 4045 élèves sont scolarisés dans des établissements Diwan, des écoles associatives en langue bretonne, laïques et gratuites. Le but ? Accéder au bilinguisme français-breton par la méthode de l’immersion depuis la primaire, jusqu’au lycée. Yann Uguen, président du réseau Diwan pour la promotion de la langue bretonne, revient sur la création de ces écoles. Autofinancées, et sous contrat avec l’Education nationale, elles représentent une véritable richesse en matière d’offre scolaire mais aussi en termes d’animation pour les communes. À l’horizon 2026, le réseau prévoit d’accueillir 30 000 enfants contre 20 000 actuellement.
Sensibiliser l’ensemble des élèves français aux langues régionales… C’est l’objectif de Marie-Jeanne Verny, professeure des universités en langue et littérature occitanes. Selon elle, les œuvres littéraires en langues régionales, largement ignorées par les programmes scolaires, illustrent la diversité linguistique et culturelle française et méritent d’être mises en avant. Le collectif « Pour que vivent nos langues », dont elle fait partie, a lancé une pétition pour défendre l’enseignement de la littérature en langue régionale dans les programmes scolaires. À ce jour, les militants ont déjà récolté plus de 9000 signatures.