C'est un réseau social qui s'adresse aux jeunes de la génération Z, ceux entre 13 et 25 ans. Depuis sa création en 2015 par trois étudiants français en écoles d'ingénieur, la plateforme Yubo s'est fait progressivement une place dans un secteur très concurrentiel. Comment ce réseau social s'est-il imposé ? Quelles sont les règles mises en place par l'application pour protéger ses jeunes utilisateurs ? Pourquoi Yubo plaît tant à la Gen Z ? Sacha Lazimi, CEO et co-fondateur de Yubo, est l'invité en plateau de Philippine Dolbeau pour en parler.
Apprendre à maîtriser au mieux les écrans en famille, c'est possible grâce au Centre pour l'éducation aux médias et à l'information (CLEMI). Il livre ses recommandations dans le "Focus" du jour.
Dans son "Idée derrière la tech", Jeanne Dreyfus en dit plus sur le premier festival de cinéma assisté par intelligence artificielle à Los Angeles, aux États-Unis.
"L'objectif, sur Yubo, c'est de socialiser et on ne peut pas le faire si on ne sent en sécurité", considère Sacha Lazimi, CEO et co-fondateur du réseau social Yubo. Pour que les jeunes utilisateurs puissent être protégés, le co-fondateur a déclaré, sur le plateau de "L'École du futur" que l'entreprise a "innové pour la protection" de ses utilisateurs. Le réseau social Yubo a d'ailleurs publié, avec l'Afnor, un guide de bonnes pratiques pour protéger les mineurs en ligne.
Depuis plus d'un an, l'intelligence artificielle bouleverse le monde de l'éducation et de l'enseignement supérieur. Lancé par OpenIA en 2022, le robot conversationnel ChatGPT est de plus en plus utilisé par les étudiants pour faciliter leur apprentissage. C'est ce que révèle étude récente de l'université de Caen. Quels sont les résultats mis en avant par les chercheurs ? Élisabeth Schneider, enseignante-chercheure à l'université de Caen, est l'invitée de Philippine Dolbeau pour en parler.
Elle a fondé la Maison des femmes à Saint-Denis, un lieu d'accueil et de prise en charge des femmes. Dans le "Focus" du jour, Jean Martinho dresse le portrait de la gynécologue Ghada Hatem.
Dans son "Idée derrière la tech", Alexandra Devillers se penche sur les résultats de Parcoursup.
Depuis maintenant quelques années, le terme fake news (ou infox, en français) est utilisé par les médias et sur les réseaux sociaux. D’après l’Observatoire du Journalisme Européen (EJO), le nombre de tweets ayant relayé ou commenté une fake news a augmenté de près de 30 %, entre 2018 et 2019. Que cache ce terme ? Alexandre Capron, auteur du livre "Fake news : le guide pour repérer la désinformation et éviter de tomber dans les pièges" et spécialiste de fact checking, considère qu'une fake news est "une information présentée de façon artificielle".
Lutter contre les fake news et apprendre à les repérer, c'est l'un des objectifs du livre d'Alexandre Capron, "Fake news : le guide pour repérer la désinformation et éviter de tomber dans les pièges". Journaliste, il est l'invité de Virginie Guilhaume pour en parler.
"Non au cyberharcèlement", c'est le titre du livret publié par Bayard Jeunesse, en partenariat avec Astrapi, et destiné aux 7-12 ans. Marion Joseph, rédactrice en chef d'Astrapi, en dit plus en deuxième partie.
En fin d'émission, on retrouve Malika Ménard et son invitée, la chanteuse canadienne Josiane. L'ancienne candidate de "The Voice Kids" évoque ses "Souvenirs d'écolier".
Les images d'actualité sont-elles toutes réelles ? Comment détecter une photographie conçue par l'intelligence artificielle ? Dans le livre "La photo en questions", Pierangélique Schouler et David Groison invitent les adolescents à prendre du recul avec l'image, et à aiguiser leur regard sur l'actualité. David Groison, éditorialiste et directeur éditorial au sein de Bayard Graphic, est l'invité d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
Dans son "Antisèche", Brandon Waret met en lumière la découverte de volcans sous-marins en Antarctique.
Pour l'"Heure de la récré", Brandon retrace le parcours de Mélanie Berger-Volle, une ancienne résistante de 102 ans, qui a été choisie pour porter la flamme olympique en juin prochain.
En fin d'émission, on retrouve Marie Ollivier pour son "Cours particulier". Elle se penche sur les jardins à l'école à l'occasion de la Semaine francophone de la Classe dehors 2024, qui se tiendra en mai.
"Les images générées par l'intelligence artificielle, ce sont des photos assez génériques, faites avec des mannequins et fabriquées à moindre coût", constate David Groison, éditorialiste et directeur éditorial au sein de Bayard Graphic. Pour détecter ces fausses images, qui circulent de plus en plus sur les réseaux sociaux, et qui peuvent tromper l'internaute, il a écrit un livre "La photo en questions". Sur le plateau de "La Quotidienne", il estime que détecter ces images s'avère "compliqué".
Une proposition de loi visant à réguler l'usage des écrans dans les crèches et chez les assistantes maternelles a été déposée le 8 avril dernier par les députés LR Annie Genevard et Antoine Vermorel-Marques. Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Annie Genevard, secrétaire générale au sein du parti "Les Républicains".
La maison Gallimard jeunesse s'est associée à des ateliers artistiques pour créer la collection OMY. Anne-Flore Durand, éditrice au sein de Gallimard jeunesse, en dit plus en deuxième partie.
Dans sa chronique "Vu à l'étranger", Guillaume Ouattara évoque la future génération sans tabac au Royaume-Uni.
Le 2 avril dernier, deux filles et un garçon, âgés de 14 à 15 ans, ont roué de coups Samara à la sortie de son collège, à Montpellier (Hérault). Les premiers éléments de l'enquête évoquent un "usage malveillant et étendu des réseaux sociaux", comme point d'origine de l'agression de Samara. La jeune fille aurait été victime de harcèlement scolaire "vis-à-vis de sa tenue vestimentaire, de son maquillage", explique l'un de ses avocats, Marc Gallix. "Il y a une hausse de la violence chez les filles", estime Virginie Lanlo, députée Renaissance. Pour enrayer ce fléau, elle considère qu'il faut "apprendre aux jeunes, dès le plus jeune âge, à gérer les réseaux sociaux". Il faut faire, selon elle, de la pédagogie et leur expliquer qu'il "ne faut pas se mettre en situation d'être harcelé".
Qui sont ces enseignants présents sur les réseaux sociaux et suivis par des milliers d'abonnés ? Pourquoi se sont-ils lancés sur les plateformes et surtout comment trouvent-ils leur inspiration ? Marko de la chaîne YouTube "Labo des réseaux", et créateur de contenu, est l'invité de Philippine Dolbeau pour en parler.
Comment utiliser les écrans de manière raisonnée ? Le Centre pour l'éducation aux médias et à l'information (CLEMI) livre ses conseils dans le "Focus" du jour.
Dans son "Idée derrière la tech", Milly Addaé en dit plus sur la réussite éducative des enfants.
En France, plus de 21 millions de personnes utilisent Tiktok chaque mois pour se divertir ou s'informer. En 2023, les 18-29 ans étaient 55% à se rendre régulièrement sur la plateforme. Ce réseau social est-il réellement une menace pour les jeunes ? Comment faire en sorte de protéger leurs données personnelles ? Pourquoi la jeune génération se tourne-t-elle vers cette plateforme ? Pour en parler, Philippine Dolbeau reçoit Fabrice Zerah, chef d'entreprise et auteur du livre "Tech ou toc ? Metavers, IA, ChatGPT, NFT : les nouvelles technologies au banc d'essai".
Bien maîtriser les outils numériques en famille et en toute sécurité, c'est l'une des missions du Centre pour l'éducation aux médias et à l'information (CLEMI). Il livre ses conseils dans le "Focus" du jour.
Dans son "Idée derrière la tech", Jeanne Dreyfus met en lumière le rôle de l'illustrateur sonore, un métier essentiel, mais méconnu dans l'industrie cinématographique.
Sur 2000 jeunes Français de 11 à 24 ans, près d'un jeune sur six, et près d'un sur trois utilisant quotidiennement TikTok, juge "possible que la Terre soit plate et non pas ronde". C'est le constat accablant d'une enquête récente réalisée par l'Ifop. Face à la prolifération de fake news sur la plateforme, Fabrice Zerah, chef d'entreprise et auteur du livre "Tech ou toc ? Metavers, IA, ChatGPT, NFT : les nouvelles technologies au banc d'essai" pense qu'"il y a un abrutissement de la jeunesse". Il estime même qu'il aurait fallu "interdire la plateforme depuis bien longtemps". Il compare notamment l'utilisation de TikTok en Chine et en France. Fabrice Zerah rappelle que les jeunes chinois "n'ont pas le droit de l'utiliser entre 22 heures et 6 heures".