Les candidats ont jusqu’au 9 mars pour entrer leurs vœux d’orientation sur Parcoursup. Ils doivent choisir leur formation parmi plus de 21 000 possibilités. Pour venir en aide aux "étudiants perdus", Camille Zirah, passionnée d’éducation, à lancé le site internet et le compte Instagram "My_orientation". Elle propose des conseils personnalisés, des témoignages et des articles consacrés aux différentes filières. Selon elle, "avec la multitude de choix présentés aux jeunes sur Parcoursup, ils ne savent plus ni qui ils sont, ni ce vers quoi ils veulent aller".
Jeudi 9 mars, Parcoursup fermera ses portes. Il ne reste que sept jours aux lycéens pour entrer leurs vœux d'orientation sur la plateforme. Comment garder la tête froide parmi les 21 000 formations proposées ? Comment faire de l'orientation une opportunité ? Pour en parler, Marjorie Paillon reçoit en plateau Nathalie Liberman, co-fondatrice de "Studizz" et Camille Zirah, fondatrice du site d'information et du compte Instagram "My_orientation". Elles vous donneront des conseils pour choisir la bonne filière. Prof de physique-chimie à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) le jour, star d'Instagram et de Tiktok la nuit, il lutte au quotidien contre l'homophobie : "Focus" et portrait de Timothée Curado, signé Xavier Terrade. Dans un monde en plein évolution, le rôle de la directrice des ressources humaines (DRH) va devenir de plus en plus crucial. Détails à suivre avec Isabelle Rouhan pour son "Idée derrière la tech".
92% des données échangées dans le monde occidental sont stockées aux États-Unis selon la société de conseil Oliver Wyman. Dans ce contexte, la capacité des États européens à réglementer et contrôler la technologie utilisée par leurs citoyens sur leurs territoires est au cœur des préoccupations. Comment former les talents de l'ingénierie numérique de demain ? La parité entre filles et garçons est-elle respectée dans ce secteur ? Pour en parler, Marjorie Paillon reçoit en plateau Sébastien Dhérines, directeur de l'école supérieure d'informatique "Hexagone" et Romain Burel, fondateur de l'école de cybersécurité "Oteria Cyber School". La théorie quantique n'a plus de secret pour lui : "Focus" et portrait du Prix Nobel de physique 2022, Alain Aspect, signé Xavier Terrade. Se dédoubler partout et tout le temps sur les réseaux grâce à des avatars, c'est ce que Marie Dollé appelle le "Selfpressionnisme". Détails à suivre de Jeanne Dreyfus dans son "Idée derrière la tech".
Favoriser l’accès aux Grandes écoles aux jeunes issus de milieu modeste, c’est la mission de la Fondation Culture et Diversité. Elle propose des mesures pour accompagner les étudiants. Anaïs Lonkeu, participante au programme "égalité des chances" en 2016-2017, explique comment elle a été accompagnée.
15 000 postes sont à pourvoir dans le domaine de la cybersécurité en France selon le cabinet Wavestone. Selon Romain Burel, fondateur de l'école de cybersécurité "Oteria Cyber School", la formation en alternance dès la deuxième année est la solution idéale pour répondre à la pénurie. Il insiste sur l'importance d'être confronté à des missions réelles et de travailler avec les outils spécifiques pour être opérationnel en sortie de cursus. Il ajoute d'ailleurs que la gratuité de la formation en alternance crée un engouement.
Aujourd’hui, zoom sur la Fondation Culture et Diversité. Pourquoi attire-t-elle tant de jeunes issus de milieu modeste ? Pour quels résultats ? Quid de l'égalité des chances ? Le système permet-il de réduire les inégalités entre élèves ? Faut-il privilégier un accompagnement personnalisé ? Pourquoi la culture est-elle un outil de cohésion sociale ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Lucile Deschamps, déléguée égalité des chances à la Fondation Culture et Diversité et Anaïs Lonkeu, participante au programme "égalité des chances" en 2016-2017. Que propose concrètement la Fondation Culture et Diversité ? Mathilde Wessels sort sa "Loupe" pour y répondre. Lumière sur le trophée d’Impro Culture et Diversité, un événement destiné aux élèves scolarisés en zone d'éducation prioritaire. Ce programme national d’éducation artistique leur permet de développer leur créativité et d'apprendre l'improvisation théâtrale. Mathilde Wessels explique tout dans son "Info en +".
La période de crise sanitaire et économique que nous traversons met en évidence nos défaillances en matière de souveraineté. Dans ce contexte, l'école supérieure d'informatique "Hexagone", créée en 2020, forme les experts de demain à l'utilisation de logiciels et de technologies d'entreprises françaises et européennes. Ingénierie numérique, intelligence artificielle, cybersécurité… ces cursus sont proposés à des jeunes mais aussi à des salariés. Selon Sébastien Dhérines, directeur de l'école "Hexagone", le but est de "créer un cercle vertueux sur le marché domestique et à l'export".
Favoriser l’accès aux jeunes de milieu modeste à l'art et à la culture, c’est la mission que s’est donnée la Fondation Culture et Diversité. Depuis sa création en 2006 à l’initiative du mécène et homme d’affaire Marc Ladreit de Lacharrière, la Fondation propose plusieurs mesures pour favoriser l’égalité des chances des jeunes issus de milieu modeste. Grâce au programme "égalité des chances", les étudiants sont accompagnés tout au long de l’année pour intégrer par exemple l’Ecole du Louvre ou les écoles d’architecture. Du tutorat est également mis en place pour ces élèves comme l’explique Lucile Deschamps, déléguée égalité des chances à la Fondation Culture et Diversité.
Le Salon de l'agriculture ouvre ses portes demain à Paris jusqu'au 5 mars. L'occasion pour le jeune public de découvrir les formations agricoles et notamment celles proposées par les Maisons familiales rurales (MFR). Elles forment chaque année plus de 93 000 jeunes et adultes et offrent la possibilité d'effectuer une alternance ou un apprentissage. Pour en parler, Emmanuel Davidenkoff reçoit en plateau Pierre Joncour, directeur de la Maison familiale rurale de Fougères (Ille-et-Vilaine). Focus sur le rôle des 7 700 infirmières scolaires en France. Le quotidien "L'actu" y consacre un dossier spécial. Cécilia Brillault sort son "Antisèche" pour tout expliquer. On fera une pause à "L'heure de la récré" avec Cécilia, direction les États-Unis pour rencontrer une professeure de physique-chimie formidable. Ses cours sont de vrais shows à l'américaine. On pousse les portes de la "Librairie" avec Célie Lutton. Elle vous propose quelques livres consacrés au thème de la paix.
Découvrir les métiers et les formations agricoles, c’est ce que proposent les Maisons familiales rurales (MFR). Elles forment chaque année plus de 93 000 jeunes et adultes. Leur particularité ? Proposer à l’élève de se professionnaliser grâce à l’alternance ou de l’apprentissage. Les élèves en alternance dépendent du ministère de l’Agriculture. Présentes partout en France, elles accueillent 150 élèves, souvent internes. Ils participent aussi à la vie de l’établissement. Pour Pierre Joncour, directeur de la Maison familiale rurale (MFR) de Fougères (Ille-et-Vilaine), "le jeune doit avoir envie de se former, de découvrir le monde du travail et de gagner en maturité".
Aujourd'hui, dans "mission orientation", zoom sur la filière psychologie très demandée par les étudiants. Une bonne nouvelle puisque de nombreux postes sont à pouvoir, notamment au sein des établissements scolaires. Pourquoi y'a-t-il une pénurie d'infirmières scolaires ? Comment y remédier ? Quelles sont les solutions des psychologues pour lutter contre l'anxiété ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Jérémy Krief, étudiant en première année de psychologie et en duplex Emmanuelle Rigon, psychologue clinicienne et psychothérapeute. Quelles sont les études à effectuer pour intégrer la filière psychologie ? Irina Capron sort sa "Loupe" pour y répondre. En fin d'émission, vous verrez qu'une plateforme nationale dédiée aux masters vient d'ouvrir. Détails à suivre avec Irina Capron pour son "Info en +".
Contrairement aux idées reçues, la filière psychologie accueille les élèves de filières littéraires mais aussi scientifiques. Si les étudiants doivent avoir un intérêt marqué pour les sciences, il faut également aimer lire et écrire. "Il faut être assez généraliste", estime Emmanuelle Rigon, psychologue clinicienne et psychothérapeute. Jérémy Krief, étudiant en première année de psychologie, insiste, quant à lui, sur les cours de statistiques intégrés à la licence psychologie.