En 2021, sur 65 000 diplômés, environ 30 000 professionnels étaient inscrits à l'Ordre des architectes en France. Assistant à maîtrise d'ouvrage, spécialiste dans l'aménagement du territoire, journaliste spécialisé dans l'architecture… Il existe une variété de métiers méconnus dans le secteur. Selon Caroline Lecourtois, directrice générale de l'École nationale supérieure d'architecture (ENSA) de Paris-la-Villette, il faut différencier profession d'architecte et métiers de l'architecture. Elle explique que l'ENSA participe au projet "Compétences et métiers d'avenir de la filière architecture", pour mettre en avant la diversité de métiers du secteur.
Depuis 2019, le nombre de nouveaux architectes s’inscrivant à l’Ordre augmente et compte aujourd'hui 30 000 professionnels. Vers quelles études se diriger pour devenir architecte ? Quels sont les débouchés ? Quel est le rôle du numérique dans ce secteur ? Caroline Lecourtois, directrice générale de l'École nationale supérieure d'architecture (ENSA), Paris-La-Villette, Solène Le Rai, étudiante dans cette école, et Nikhil Calas, architecte et enseignant, sont les invités de Patrice Boisfer pour en parler.
Saviez-vous que la filière fait face à une pénurie de main d'œuvre ? Irina Capron sort sa "Loupe" pour tout expliquer.
Dans son "Info en +", Irina évoque la technique du pisé, une méthode de construction écologique.
Jugés élitistes par certains, les métiers de l'architecture "ne sont pas accessibles à tous", et n'offrent pas la possibilité de cumuler études et job étudiant, explique Solène Le Rai, étudiante à l'ENSA Paris-La-Villette. Selon elle, "certaines branches sont très précaires". Pour Nikhil Calas, architecte et enseignant, cette filière nécessite un bagage culturel important.
Gérant de centre, moniteur équestre, palefreniers, soigneurs… Les métiers de l'équitation sont nombreux. Selon Steve Latruffe, gérant du centre équestre "Les crins de Gaïa", le secteur est confronté à une véritable pénurie de main d’œuvre. Il insiste sur l'importance de recruter des profils expérimentés dans ce secteur exigeant.
Proposer aux jeunes des formations diplômantes pour s’orienter vers les métiers agricoles, c’est ce que propose la "Ferme école graines d’avenir". Son objectif ? Former les élèves à la production, la transformation et vente de fruits et de légumes. Pour Bruno Aimard, co-fondateur de la "ferme école graines d’avenir", il est important de permettre aux jeunes de révéler leurs talents et de les "ramener vers des métiers parfois méconnus".
L'enseignement agricole recherche de nouveaux talents ! La "ferme école graines d'avenir" propose de former les élèves à la production, la transformation et la vente de fruits et de légumes. Bruno Aimard, co-fondateur de cet établissement, est l'invité d'Emmanuel Davidenkoff, pour en parler.
Emma Guessel sort son "Antisèche" pour évoquer le documentaire "Dancing Pina", consacré à la chorégraphe Pina Bausch.
À "L'heure de la récré", Emma vous fait découvrir le "World nature photography awards", un concours international qui récompense les plus belles photographies sur le thème de la nature.
En fin d'émission, dans sa chronique "Plateau repas", Sandra Ferreira, diététicienne-nutritionniste, donne quelques conseils pour adopter une alimentation sans viande.
Aujourd'hui, dans "Mission orientation", gros plan sur l'équitation. Si cette discipline est une véritable passion pour certains, elle peut aussi devenir un métier. Comment intégrer la filière équine ? Quelles sont les formations disponibles ? Quels sont les débouchés ? Faut-il privilégier l'alternance pour intégrer le secteur ?
Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Olivier Simon, adjoint au DTN à la Fédération française d'équitation et Steve Latruffe, gérant du centre équestre "Les crins de Gaïa".
Mathilde Wessels fait le point sur les différents métiers de la filière équine dans sa "Loupe".
Dans son "Info en +", notre chroniqueuse nous emmène en Normandie pour découvrir le village équestre de Conches-en-Ouche (Eure).
Intervenir sur les politiques publiques, devenir candidat, être élu… Le Collège citoyen de France forme "les responsables publics de demain", grâce à un cursus court, gratuit et compatible avec une vie professionnelle. Marc Berrebi, co-fondateur du Collège, explique que l'établissement offre les outils nécessaires pour permettre aux jeunes de s’engager politiquement.
Former les étudiants à devenir des responsables publics de demain, c’est la mission du Collège citoyen de France. Cette nouvelle école propose un cursus gratuit de 4 mois, compatible avec la vie professionnelle, pour développer un projet d’engagement citoyen. Une formation très utile selon Emmanuelle Larroque, CEO de Social Builder et étudiante au sein du Collège citoyen de France. D’après elle, cette école permet aux étudiants de mieux comprendre le monde politique. L'institution incite également ses élèves à échanger collectivement pour faire mûrir, ensemble, leurs projets citoyens.
Un programme immersif pour former les militants, activistes et entrepreneurs sociaux désireux d'incarner la génération politique de demain, c'est ce que propose l'Académie des futurs leaders. Le but ? Que les personnalités engagées s’impliquent davantage dans le milieu politique. Selon Alice Barbe, directrice générale de l'Académie des futurs leaders, la jeune génération arrive "à déplacer des montagnes de plus en plus jeune". Elle insiste sur le mouvement de "dépolitisation", contre lequel l'Académie tente de lutter.
Former les leaders politiques de demain, c'est la mission commune de l'Académie des futurs leaders et du Collège citoyen de France. Ces prépas citoyennes proposent d'accompagner les jeunes dans leurs projets d'engagement citoyen. Objectif commun ? Réinventer la politique. Quels sont les cours proposés ? Combien coûtent les formations ? Sont-elles réellement accessibles ? Pour en parler, Marjorie Paillon reçoit Alice Barbe, directrice générale de l'Académie des futurs leaders, Marc Berrebi, co-fondateur du Collège citoyen de France et Emmanuelle Larroque, CEO de Social Builder et étudiante au sein de cette même institution.
L'image des enfants doit être protégée sur la toile. C'est ce que rappelle le Centre pour l'éducation aux médias et à l'information (CLEMI) dans son "Focus".
Le Centre Pompidou-Metz met à l'honneur l'artiste peintre Suzanne Valadon. À cette occasion, Jeanne Dreyfus s'interroge sur la place des femmes dans le programme d'histoire de l'art enseigné au lycée. Explications à suivre dans son "Idée derrière la tech".
"Quand on est issu de milieu défavorisé, on a 93% de chance de plus d’être orienté en lycée pro. Par ailleurs, 75% des garçons d’origine subsaharienne sont scolarisés en lycée professionnel", explique Dylan Ayissi, porte-parole du collectif "Une voie pour tous". Selon lui, cette filière manque d’attractivité. Il évoque notamment la réforme du lycée professionnel, portée par le gouvernement. Ce dernier vient d’ailleurs de renoncer à l’idée d’augmenter de 50% les périodes de stages. Une mesure qui avait été vivement critiquée, notamment par le collectif "Une voie pour tous". La réforme de la voie professionnelle sera progressivement mise en place à partir de la rentrée 2023.