Aujourd'hui, dans "mission orientation", gros plan sur le secteur de la banque et de la finance. Cette filière est-elle accessible à toutes et tous ? Quelles compétences faut-il acquérir pour intégrer le milieu ? Faut-il être vraiment matheux ? Qu'en est-il de l'insertion professionnelle ? Comment bâtir son réseau ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Samantha Briand, coach en orientation chez "Potentiel jeunes", Pierre-Louis Gourdoux, professeur agrégé d'économie-gestion et en duplex Martin Duhamel, jeune diplômé d'un master 2 gestion de patrimoine. Comment se porte la filière banque/finance après la pandémie ? Irina Capron sort sa "Loupe" pour y répondre. Direction le Maine-et-Loire à Cholet où un nouveau bachelor s'ouvre à partir du Bac +.3 C'est "l'info en +" d'Irina Capron.
Les métiers de la banque et de la finance offrent de nombreuses perspectives. Si certains étudiants sont attirés par le salaire attractif proposé dans le secteur, pour Pierre-Louis Gourdoux, professeur agrégé d'économie-gestion, il est essentiel d'exercer un métier qui plaît pour éviter les risques de burn-out. Martin Duhamel, jeune diplômé d'un master 2 gestion de patrimoine, explique pourquoi il a choisi cette filière.
Filière ouverte à toutes et tous, le domaine de la banque et de la finance offre une diversité de métiers. S'il faut apprécier les mathématiques, pour Pierre-Louis Gourdoux, professeur agrégé d'économie-gestion, "il faut une certaine appétence pour les connaissances analytiques". Martin Duhamel livre son témoignage en tant que jeune diplômé d'un master 2 gestion de patrimoine.
Offrir toutes les chances aux jeunes filles issues de milieu populaire ou modeste, et les accompagner dans leur orientation grâce à l'aide d'une marraine, c'est la mission de l'association "Capital Filles", fondée en 2012. Objectif ? Déconstruire les clichés qui peuvent exister autour de certains métiers et briser le plafond de verre. Ce jeudi 12 janvier, l'association organise "le rendez-vous des possibles" à la Maison de la Radio et de la Musique. Parmi les grands thèmes abordés, le harcèlement de rue et l'égalité seront au cœur des discussions. Laurence Beldowski, directrice générale de Capital Filles, y revient en détail.
Découvrez la filière Staps (sciences et techniques des activités physiques et sportives) dans "mission orientation". C'est la voie royale pour devenir professeur d'éducation physique et sportive (EPS), coach ou encore éducateur sportif. Comment intégrer cette filière très sélective ? Au-delà de la pratique sportive, quelle est la place de la théorie ? Quelle est la part de féminisation de la filière ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit plateau Marie Duringer, étudiante en master Staps mention ingénierie et ergonomie de l’activité physique (IEAP) à Orsay Université Paris-Saclay, Samantha Briand, coach en orientation chez "Potentiel Jeunes" et en duplex Aurélien Pichon, professeur de Staps (sciences et techniques des activités physiques et sportives) à l'Université de Poitiers. Mathilde Wessels sort sa "Loupe" pour expliquer les spécificités de la filière Staps. Saviez-vous que l'un des joueurs de l'équipe de France est passé par la filière Staps ? C'est "l'info en +" de Mathilde Wessels.
Si la filière souffre de nombreux préjugés, elle permet, pour autant, de découvrir de nombreux sports et même d'obtenir le statut de "sportif de haut niveau". Marie Duringer, étudiante en master STAPS mention ingénierie et ergonomie de l’activité physique (IEAP) à Orsay Université Paris-Saclay, partage son expérience.
"120 000 candidatures au niveau national pour seulement 25 000 places en première année", insiste Aurélien Pichon, professeur de STAPS (sciences et techniques des activités physiques et sportives) à l'Université de Poitiers. Il explique comment s'opère cette sélection.
Aujourd’hui, pour débuter l’année 2023, zoom sur les espaces de dynamique d’insertion (EDI). Ce sont 26 structures qui accompagnent plus de 2500 jeunes en difficulté ou en situation de décrochage scolaire. Elles les aident à s'orienter vers la voie professionnelle. Comment y parviennent-elles ? Avec quels moyens ? Le décrochage scolaire est-il en train de décliner en France ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Guillaume Conraud, délégué général de l'association "Action prévention sport" (APS), et en duplex Randa Khaldoun, formatrice référente chez "Action prévention sport" et Sacha Pierre, jeune étudiant suivi par cette association. Depuis plus de 25 ans, "Action prévention sport" favorise l'insertion professionnelle des jeunes grâce au sport. Va-t-on vers la fin des espaces de dynamique d'insertion (EDI) ? Mathilde Wessels sort sa "Loupe" pour y répondre. La mairie d'Achères (Yvelines) a organisé récemment une soirée entre jeunes et entrepreneurs. Au lieu d'un speed-dating traditionnel, les jeunes ont pu échanger avec les entreprises autour d'une partie de jeu vidéo de football FIFA. C'est "l'info en +" de Mathilde Wessels.
Comment encourager les jeunes en difficulté, de 16 à 26 ans, et en décrochage scolaire à s'orienter vers la voie professionnelle ? C'est tout l'objectif des espaces dynamiques d'insertion (EDI), un dispositif régional. L'association "Action prévention sport"(APS) oeuvre depuis plus de 25 ans en ce sens. Elle propose d'accompagner les jeunes, par le sport, à trouver leur voie. Chaque année, elle accueille plus de 300 stagiaires de la région Île-de-France. Un suivi individualisé est proposé à chacun, comme l'explique Guillaume Conraud, délégué général "Action prévention sport". Sacha Pierre, jeune suivi par l'association APS, revient sur son expérience.
Aujourd'hui, dans "mission orientation", gros plan sur les volontaires du service civique. A qui s'adresse-t-il ? Pourquoi est-il si important pour notre société ? Le service civique permet-il de trouver sa voie professionnelle ? Faut-il le rendre obligatoire ? Pour en parler, Mathilde Wessels reçoit en duplex Béatrice Angrand, présidente de l'agence du service civique et Imène Khezzane, volontaire en service civique. En quoi consiste le service civique ? Une indemnité est-elle prévue ? Réponse d'Irina Capron dans sa "Loupe". Vous verrez, en fin d'émission, qu'effectuer le service civique attire aussi les recruteurs. C'est "l'info en +" d'Irina Capron.
Comment ces jeunes sont-ils recrutés ? Quelles sont les missions proposées ? Béatrice Angrand, présidente de l'agence du service civique, et Imène Khezzane, volontaire en service civique, répondent à toutes ces questions.
Ouvert à tous les jeunes de 16 à 25 ans, et jusqu'à 30 ans pour les jeunes en situation de handicap, le service civique est un engagement volontaire. Pour Béatrice Angrand, présidente de l'Agence de service civique, "la génération après-covid est très mobilisée sur le sens plus que sur la rentabilité. L'intérêt du service civique est qu'on peut combiner les deux aspects". Autre avantage : les recruteurs sont très friands des profils ayant effectué le service civique. 71% d'entre eux considèrent le service civique comme un atout.