Aujourd’hui, zoom sur la Fondation Culture et Diversité. Pourquoi attire-t-elle tant de jeunes issus de milieu modeste ? Pour quels résultats ? Quid de l'égalité des chances ? Le système permet-il de réduire les inégalités entre élèves ? Faut-il privilégier un accompagnement personnalisé ? Pourquoi la culture est-elle un outil de cohésion sociale ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Lucile Deschamps, déléguée égalité des chances à la Fondation Culture et Diversité et Anaïs Lonkeu, participante au programme "égalité des chances" en 2016-2017. Que propose concrètement la Fondation Culture et Diversité ? Mathilde Wessels sort sa "Loupe" pour y répondre. Lumière sur le trophée d’Impro Culture et Diversité, un événement destiné aux élèves scolarisés en zone d'éducation prioritaire. Ce programme national d’éducation artistique leur permet de développer leur créativité et d'apprendre l'improvisation théâtrale. Mathilde Wessels explique tout dans son "Info en +".
La période de crise sanitaire et économique que nous traversons met en évidence nos défaillances en matière de souveraineté. Dans ce contexte, l'école supérieure d'informatique "Hexagone", créée en 2020, forme les experts de demain à l'utilisation de logiciels et de technologies d'entreprises françaises et européennes. Ingénierie numérique, intelligence artificielle, cybersécurité… ces cursus sont proposés à des jeunes mais aussi à des salariés. Selon Sébastien Dhérines, directeur de l'école "Hexagone", le but est de "créer un cercle vertueux sur le marché domestique et à l'export".
Favoriser l’accès aux jeunes de milieu modeste à l'art et à la culture, c’est la mission que s’est donnée la Fondation Culture et Diversité. Depuis sa création en 2006 à l’initiative du mécène et homme d’affaire Marc Ladreit de Lacharrière, la Fondation propose plusieurs mesures pour favoriser l’égalité des chances des jeunes issus de milieu modeste. Grâce au programme "égalité des chances", les étudiants sont accompagnés tout au long de l’année pour intégrer par exemple l’Ecole du Louvre ou les écoles d’architecture. Du tutorat est également mis en place pour ces élèves comme l’explique Lucile Deschamps, déléguée égalité des chances à la Fondation Culture et Diversité.
Le Salon de l'agriculture ouvre ses portes demain à Paris jusqu'au 5 mars. L'occasion pour le jeune public de découvrir les formations agricoles et notamment celles proposées par les Maisons familiales rurales (MFR). Elles forment chaque année plus de 93 000 jeunes et adultes et offrent la possibilité d'effectuer une alternance ou un apprentissage. Pour en parler, Emmanuel Davidenkoff reçoit en plateau Pierre Joncour, directeur de la Maison familiale rurale de Fougères (Ille-et-Vilaine). Focus sur le rôle des 7 700 infirmières scolaires en France. Le quotidien "L'actu" y consacre un dossier spécial. Cécilia Brillault sort son "Antisèche" pour tout expliquer. On fera une pause à "L'heure de la récré" avec Cécilia, direction les États-Unis pour rencontrer une professeure de physique-chimie formidable. Ses cours sont de vrais shows à l'américaine. On pousse les portes de la "Librairie" avec Célie Lutton. Elle vous propose quelques livres consacrés au thème de la paix.
Découvrir les métiers et les formations agricoles, c’est ce que proposent les Maisons familiales rurales (MFR). Elles forment chaque année plus de 93 000 jeunes et adultes. Leur particularité ? Proposer à l’élève de se professionnaliser grâce à l’alternance ou de l’apprentissage. Les élèves en alternance dépendent du ministère de l’Agriculture. Présentes partout en France, elles accueillent 150 élèves, souvent internes. Ils participent aussi à la vie de l’établissement. Pour Pierre Joncour, directeur de la Maison familiale rurale (MFR) de Fougères (Ille-et-Vilaine), "le jeune doit avoir envie de se former, de découvrir le monde du travail et de gagner en maturité".
Aujourd'hui, dans "mission orientation", zoom sur la filière psychologie très demandée par les étudiants. Une bonne nouvelle puisque de nombreux postes sont à pouvoir, notamment au sein des établissements scolaires. Pourquoi y'a-t-il une pénurie d'infirmières scolaires ? Comment y remédier ? Quelles sont les solutions des psychologues pour lutter contre l'anxiété ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Jérémy Krief, étudiant en première année de psychologie et en duplex Emmanuelle Rigon, psychologue clinicienne et psychothérapeute. Quelles sont les études à effectuer pour intégrer la filière psychologie ? Irina Capron sort sa "Loupe" pour y répondre. En fin d'émission, vous verrez qu'une plateforme nationale dédiée aux masters vient d'ouvrir. Détails à suivre avec Irina Capron pour son "Info en +".
Contrairement aux idées reçues, la filière psychologie accueille les élèves de filières littéraires mais aussi scientifiques. Si les étudiants doivent avoir un intérêt marqué pour les sciences, il faut également aimer lire et écrire. "Il faut être assez généraliste", estime Emmanuelle Rigon, psychologue clinicienne et psychothérapeute. Jérémy Krief, étudiant en première année de psychologie, insiste, quant à lui, sur les cours de statistiques intégrés à la licence psychologie.
Pourquoi y'a-t-il une pénurie de psychologues scolaires au sein des écoles ? Pour Emmanuelle Rigon, psychologue clinicienne et psychothérapeute, il faut distinguer les psychologues en milieu libéral de ceux issus de l'Education nationale. "Effectivement, il n'y a pas assez de psychologues scolaires", dénonce-t-elle. Elle explique pourquoi ils ne sont pas assez nombreux.
Trouver l’entreprise idéale comme on trouve l’amour… C’est l'idée très originale lancée par le groupe Onepoint. À l’occasion de la Saint-Valentin, Onepoint a lancé une campagne de recrutement en misant sur l’ambiguïté entre emploi et relation amoureuse. L’objectif ? Recruter 1400 nouveaux collaborateurs. Le Love Bot, un outil d’intelligence artificielle, évalue la compatibilité entre le candidat et le futur employeur. . Selon Stéphane Meunier, directeur talent acquisition chez Onepoint, le recrutement est avant tout une histoire de rencontre.
75% des jeunes de 18 à 24 ans utilisent Internet pour s’informer selon une étude du Baromètre Kantar Public Onepoint de 2021. Sur les réseaux sociaux, les fakes news - ou fausses informations - circulent librement et surtout très rapidement. Dans ce contexte, l’association "Lumières sur l’info" intervient dans les écoles pour apprendre aux jeunes à faire le tri parmi toutes les actualités. Damien Fleurot, rédacteur en chef adjoint de TF1-LCI et vice-président de l’association "Lumières sur l’info", rappelle qu’il faut se poser les bonnes questions avant de repartager une information.
Radio, presse, télé… le journalisme est un métier extrêmement polyvalent. Quelle carrière peut-on espérer ? Le salaire d’un professionnel de l’info est-il fixe ? Quelle formation faut-il suivre ? Pour lutter contre la désinformation, les membres de l’association "Lumières sur l’info", interviennent régulièrement dans les salles de classe. Face aux élèves, Lise Pressac, journaliste indépendante, insiste sur l’importance d’aborder la précarité et les conditions de travail du métier.
En 2021, la production française d’horlogerie-joaillerie-bijouterie affichait un chiffre d’affaires de 3,9 milliards d’euros. Sertisseur, diamantaire, polisseur… Les métiers de la joaillerie sont nombreux. Quelles études faut-il faire ? Une carrière à l’internationale est-elle envisageable ? Quelles sont les débouchées ? Tuy Mai Tran, gemmologue et fondatrice de Tropical Thursday Paris et Flavie Paris, présidente de la marque FLAV Paris et enseignante à la Haute École de Joaillerie sont les invitées de Patrice Boisfer pour en parler. Quels sont les métiers de la joaillerie ? Mathilde Wessels sort sa "Loupe" pour y répondre. Zoom sur l’évènement "De mains en mains" organisé par Van Cleef & Arpels pour faire découvrir le métier de joailler. Détails à suivre dans "L’info en +" de Mathilde.