C'est la journée nationale du refus de l'échec scolaire ! À cette occasion, notre invité nous fait découvrir un établissement qui permet aux élèves décrocheurs de raccrocher ! Il s'agit de l'école de la deuxième chance pour apprendre un métier. Pour en parler, Emmanuel Davidenkoff reçoit Jean Serror, directeur des écoles de la deuxième chance du Val-de-Marne. Y'aura-t-il deux fois moins d'humains sur Terre en 2100? C'est ce que révèle une étude menée par un économiste de la banque HSBC . Pourtant, l'ONU annonce le contraire. Emma Guessel sort son "Antisèche" pour lever le voile ! On fera une petite pause à "l'heure de la récré" avec Emma pour parler des excuses les plus drôles entendues à l'école. En Éthiopie, vous verrez qu'il existe aussi des écoles de la deuxième chance. Explications de Marie Ollivier pour "son cours particulier".
Si votre enfant a décroché du système scolaire, sachez qu'il existe des écoles de la deuxième chance. De nombreux élèves retrouvent confiance en eux ! Jean Serror, directeur des écoles de la deuxième chance du Val-de-Marne, décrit le fonctionnement et la pédagogie de ces établissements. L'intérêt : individualiser les programmes.
Moins de redoublements, davantage d'élèves en difficultés, des filières choisies par défaut pour certains étudiants, c'est le constat que soulève Carole Grandjean, Ministre déléguée chargée de l'enseignement professionnel. "De fait, nous avons une orientation qui ne permet plus de réussir de la même manière ! Le lycée professionnel doit être source de savoirs fondamentaux, et doit permettre de récupérer un certain nombre d'inégalités. Prendre le temps aussi avec certains de répondre à leurs difficultés, c'est l'un des enjeux de cette réforme" détaille Carole Grandjean. Elle revient notamment sur les grandes lignes de la réforme et sur la volonté du gouvernement de "rapprocher l'école de l'entreprise".
Comment concilier une meilleure insertion des élèves dans le monde professionnel tout en améliorant la poursuite des études...C'est ce que souhaite Emmanuel Macron pour réformer la voie professionnelle. Comment faire concrètement ? Quelles sont les grandes lignes de la future réforme ? Pour en discuter, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Carole Grandjean, Ministre déléguée chargée de l'enseignement professionnel. Pap Ndiaye au chevet du collège, "l'homme malade du système" selon lui, la Shoah trop abordée à l'école pour 34 % des jeunes, les postes d'enseignants à Monaco très prisés...Loïc Landrau fait le tour de "l'actu en bref" Comment aborder les sujets difficiles avec son enfant pour instaurer un lien de confiance ? Pour y répondre, le docteur Catherine Dolto sera sur notre plateau en seconde partie d'émission. Le livre scolaire a aussi une histoire. Détails avec Loïc Landrau pour sa chronique "Et avant?"
En France, 40% des créateurs d'entreprises ont moins de 30 ans ! Pourquoi ces jeunes ont-ils envie de se lancer dans l'aventure ? Pour en discuter, Marjorie Paillon reçoit en plateau Guillaume Moubeche, CEO et co-fondateur de "Lempire" et auteur de "The $150M secret" et Alexandre Pachulski, fondateur de l'établissement "l'autre école", co-fondateur de "Talentsoft" et auteur de "Startup Story". C'est une icône de la protection animale ! Elle a consacré sa vie à l'étude des chimpanzés. "Focus" et portrait de l'éthologue et anthropologue britannique Jane Goodall signé Édouard Denuau. Amélia Matar a une "idée derrière la tech". Zoom sur un reportage mené au sein d'une classe à Portland, aux États-Unis !
Pour préparer les enfants au monde de demain, l’établissement intitulé « L’autre école », fondé en 2018, forme les écoliers de 2 à 11 ans. Objectif ? Les aider à se découvrir, connaître leurs forces et leurs faiblesses afin de révéler leur véritable potentiel explique Alexandre Pachulski, Ph.D. premier investisseur de « L’autre école », co-fondateur de lala société éditrice de logicielle "Talentsoft" et auteur de "Startup Story".
Aujourd'hui, c'est mission orientation ! Zoom sur les métiers de l'immobilier, en pleine essor ! Secteur dynamique, l'immobilier fait rêver de plus en plus d'étudiants. Les émissions de télé ont probablement dû booster la promotion de ce secteur. Mais y'a-t-il d'autres facteurs ? Comment expliquer l'engouement pour ce domaine? Quelles sont les formations plébiscitées par les jeunes et par les recruteurs? Comment le métier va-t-il évoluer ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Kim Manrique, étudiant en licence pro immobilier, et Samantha Briand, coach en orientation chez "Potentiel jeunes" et en skype Cristina Ciornii, assistante syndic Irina Capron sort sa "Loupe" pour vous expliquer les multiples métiers de ce secteur. Vous verrez, en fin d'émission, qu'un cursus pour devenir directeur immobilier, est prêt à ouvrir ! C'est "l'info en +" d'Irina Capron.
De nombreuses formations conduisent les étudiants vers les métiers de l'immobilier. BTS, alternance, Bac +5, ou poursuivre sa formation alors même que l'employé s'y trouve déjà ! Bref, la demande est bien présente. Pour intégrer le milieu, il faut tout de même un peu de pratique, conseille Samantha Briand, coach en orientation chez "Potentiel Jeunes". D'ailleurs, Kim Manrique, étudiant en Licence pro Immobilier, s'est lancé dans cette voie. Il détaille notamment les avantages d'une formation professionnalisante.
Débouchés nombreux, perception d'un secteur stable...Ces facteurs aident les étudiants à choisir la filière immobilier. Kim Manrique, étudiant en Licence pro Immobilier, s'est lancé dans cette voie. Pourtant, si les étudiants voient dans cette filière un vrai potentiel, "il y a beaucoup de précarité, beaucoup d'auto-entrepreneurs, de prospection à réaliser. Beaucoup d'agents sont rémunérés à la commission" insiste Samantha Briand, coach en orientation chez "Potentiel Jeunes". Pour intégrer la filière, il faut aimer le relationnel, la négociation et le droit.
Comment faire évoluer les mentalités au sujet de la voie professionnelle ? Comment faire pour qu'elle ne soit plus considérée comme une voie de garage ? Justement, en ce moment, le gouvernement planche sur la question et prévoit une réforme du bac professionnel. Pour en débattre, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Dylan Ayissi, fondateur du collectif "Une voie pour tous" et Pascal Vivier, secrétaire général du SNETAA, syndicat de l’enseignement professionnel. Confirmation des hausses de salaires pour les profs, proposition d'Éric Zemmour de "surveiller l'éducation nationale"... Loïc Landrau fait le tour de "l'actu en bref". "Mon herbier des gens", c'est le dernier ouvrage de Rémi Courgeon, auteur et illustrateur. En seconde partie d'émission, il viendra nous en parler. Direction la Grande-Bretagne avec notre chroniqueur Loïc Landrau. Il reviendra sur le parcours scolaire atypique de la Reine Elizabeth II, décédée jeudi 8 septembre, après 70 ans de règne, et sur celui de son fils, Charles III, qui lui succède.
"L'astronomie à l'école est un sujet difficile, mais cela aide à lutter contre l'obscurantisme. Malheureusement, dans beaucoup de pays dans le monde, y compris en France, il y a encore des gens qui pensent que la Terre est plate" regrette Gilles Dawidowicz, secrétaire général de la Société Astronomique de France (SAF). De nombreux élèves sont tout de même fascinés par l'espace. Les aventures du spationaute Thomas Pesquet ont d'ailleurs suscité beaucoup d'émerveillement et de vocations chez les enfants.
"La France, en terme de reproduction sociale, est l'un des pires pays de l'OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques). 93% des élèves, issus des milieux défavorisés, se retrouvent en lycée professionnel. Ils ont également 169% de chance de plus d'aller en CAP (Certificat d'aptitude professionnelle). Cela s'inscrit dans ce processus d'inégalités scolaires", dénonce Dylan Ayissi, fondateur du collectif "Une voie pour tous". La question de l'orientation doit s'inscrire beaucoup plus tôt pour tous les élèves, quelque soit leur parcours. Selon Dylan Ayissi, "il faudrait créer des filières qui correspondent aux envies des élèves".
Le grand public l'a découvert dans les comédies musicales au début des années 2000. D'abord doublure d'Ahmed Mouici dans "Les Dix Commandements", le chanteur Merwan Rim a ensuite intégré la troupe du "Roi Soleil", puis de "Mozart, l'Opéra Rock". Aujourd'hui, il revient avec un nouveau spectacle intitulé "Les comédies musicales", et une tournée dans toute la France qui débute en mars. Invité de "Souvenirs d'écolier", Merwan Rim évoque aussi ses projets artistiques à venir, son enfance à Sarcelles, dans le Val-d'Oise, sa scolarité et sa vision de l'école d'aujourd'hui et de demain.
"Parents, on vous prend pour des cons !", c'est le titre du dernier ouvrage du pédopsychiatre Patrick Ben Soussan. Dans son livre, il considère que les conseils en parentalité et les diverses formations ou podcasts sur le sujet, amplifient l'anxiété et la culpabilité des parents. Selon lui, l'une des meilleures méthodes à adopter est le slow parenting, à savoir le fait de ralentir le rythme et de "passer du temps avec ses enfants".
Seulement 17% des femmes travaillent dans les métiers et filières du numérique. Quant aux futures générations, les jeunes filles ne sont que 6% avoir choisi le numérique dans leurs études supérieures, selon les chiffres du gouvernement. Invitée de "L'École du futur", Peggy Vicomte, déléguée générale de la fondation Femmes@Numérique, considère que "l'invisibilisation des femmes", et le manque de parité dans le numérique, est un "problème culturel". Selon elle, il faut mettre en lumière les "role models" féminins pour inciter les jeunes filles à s'orienter vers ce secteur.
Et si l'avenir de l'innovation numérique dépendait de notre capacité à casser les stéréotypes ? Pourquoi les métiers du numérique peinent à attirer les jeunes filles ? Comment expliquer que seulement 17% des femmes travaillent dans cette filière ? Quelles sont les solutions pour les inciter à choisir ce secteur ? Pour en parler, Philippine Dolbeau reçoit Peggy Vicomte, déléguée générale de la fondation Femmes@Numérique.
Invité du "Grand JT", Mathieu Bosque, auteur du livre-enquête "A la recherche des profs perdus", a constaté, parmi les témoignages récoltés en salle des profs, que les enseignants ne semblaient plus convaincus par les propositions des partis de gauche. Il explique pourquoi.
Le 6 février prochain, la planète se mobilise contre les mutilations génitales. Selon l'UNICEF, plus de 230 millions de femmes et de filles dans le monde en ont été victimes. Comment en finir avec le fléau de l'excision, qui concerne aussi la France ? Comment l'ONG "Les orchidées rouges", accompagne-t-elle ces filles et ces femmes sur le chemin de la reconstruction ? Marie-Claire Koulibaly, directrice fondatrice de l'ONG "Les orchidées rouges", est l'invitée de Patrice Boisfer pour en parler.
"La plupart des conseils en parentalité ne résistent pas à l’épreuve du quotidien". Parti de ce constat, le pédopsychiatre Patrick Ben Soussan appellent les parents à prendre confiance en eux. Dans son dernier ouvrage "Parents, on vous prend pour des cons !", il revient sur toutes les théories et conseils en parentalité. De l'éducation positive, au coaching parental en passant par le time out", il n’épargne aucun thème. Il est l'invité d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
Où sont passés les professeurs ? À travers une enquête, "À la recherche des profs perdus", le journaliste Mathieu Bosque a rencontré ces enseignants qui s'interrogent sur le sens de leur profession, celles et ceux qui ont été recrutés en "job dating", ou encore les professeurs qui enseignent dans les quartiers populaires. Il est l'invité de Virginie Guilhaume pour en parler.
Mettre en avant les talents et les compétences des personnes en situation de handicap, c'est la mission de l'association "Les extraordinaires". Amandine Perraud, chargée de communication, en dit plus en deuxième partie.
Les suites de l'enquête concernant l'accident de car scolaire, une manifestation organisée après l'expulsion d'une élève, Élisabeth Borne en déplacement à Mayotte, 1/4 des enfants, issus de familles monoparentales, ne voit pas leur père, Louane représentera la France à l'Eurovision... Shirley Adélaïde fait le tour de l'actualité éducative du 31 janvier 2025.
Les jeunes ont-ils perdu le goût de l'effort ? Dans le livre "L'ère de la flemme", Olivier Babeau, président et fondateur de l'institut Sapiens, considère que "nous avons pris l'habitude d'un niveau de confort, de santé et de sécurité". Invité du "Grand JT", l'essayiste rappelle que le confort "affaiblit". Il explique pourquoi.
Aujourd'hui, dans "L'actu tech" de "L'École du futur", on s'intéresse à Lucie, l'intelligence artificielle française qui devait rivaliser avec ChatGPT. Trois jours après sa mise en ligne, Lucie a été débranchée. Pourquoi est-ce un véritable fiasco ? La France peut-elle réellement rivaliser avec les géants américains ou chinois ? Quelle est l'ambition de l'agent conversationnel chinois Deepseek ?
En deuxième partie d'émission, on explore le mouvement Hello Quitte X, initié par des chercheurs du CNRS (Centre national de la recherche scientifique (CNRS). Des dizaines de personnalités publiques ou d'institutions ont fait le choix de quitter le réseau social X, à la suite du rachat d'Elon Musk, fervent soutien de Donald Trump. Pour en parler, Philippine Dolbeau reçoit Lisa Debernard, experte tech.
Dans certaines régions du monde, l’accès à l’éducation passe logiquement après le problème de l’approvisionnement en eau. Une relation à l’eau qui est loin d'être "si simple", comme le raconte Malek Semar. Le président-fondateur de l’association "No Water No Us", rappelle que la mission de l'ONG "se concentre principalement sur l’accès à l'eau, son assainissement, sa gestion ainsi que les impacts du climat et les conséquences sur la biodiversité".
1/4 des lycéens déclare avoir eu des pensées suicidaires au cours des douze derniers mois, d’après Santé Publique France. La santé mentale, érigée "Grande cause nationale 2025", est une priorité pour de nombreux acteurs. C'est le cas de l'influenceuse Miel Abitbol, victime de harcèlement durant sa scolarité. Pour œuvrer au bien-être des jeunes, elle a co-fondé avec son père Guirchaume, "Lyynk", une application dédiée à la santé mentale. Elle en dit plus sur le plateau de "L'École du futur".
Pourquoi certaines écoles dans le monde n'ont toujours pas accès à l'eau ? Quelles solutions faut-il mettre en place pour permettre aux petits d'étudier dans un environnement éducatif sain ? Des acteurs se sont emparés de cette question. C'est le cas de l'ONG" No water no us". Pour sensibiliser et agir à la préservation de l'eau, des ambassadeurs et des alpinistes se sont lancés un défi grâce au projet "Climb for water". Objectif ? Développer des installations pour l'accès à l'eau dans les Andes et l'Himalaya notamment. Malek Semar, président fondateur de l'association "No water no us", est l'invité de Patrice Boisfer pour en parler.
Dans "Réinventer l’enfance", Ève Simonet aborde le sujet sensible des violences faites aux enfants et des traumatismes liés à la domination adulte. Un documentaire à la fois politique et intime qui appelle à repenser les dynamiques éducatives. Ève Simonet est l'invitée d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
Le week-end dernier, c'est Marine Delplace qui a remporté la Star Academy face à Ebony Cham. Cette dernière a été, tout au long de l'aventure, la cible d'une vague de haine raciste et sexiste sur les réseaux sociaux. Adrien Fonteneau fait le point dans "Le Grand JT de l'Éducation".
Les jeunes sont-ils rongés par la flemme ? Assiste-t-on à un changement de valeurs au sein de notre société ? La paresse serait-elle devenue une qualité plutôt d'un défaut ? Ces nombreuses questions traversent les ouvrages de nos invités. Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Olivier Babeau, président et fondateur de l'institut Sapiens et auteur du livre "L'ère de la flemme" et Adrien Chignard, psychologue du travail et auteur de "La petite goutte d'eau qui s'en voulait d'avoir fait déborder le vase".
"Je n'ai pas de frontière", c'est le titre du dernier livre de Cécile Elma-Roger. Elle en dit plus en deuxième partie d'émission.
Accident de bus scolaire en Eure-et-Loir et décès d'une lycéenne, débat autour du programme de l'EVARS à l'école, une étude sur les enfants et les écrans, la réaction du Medef concernant l'annulation des suppressions de postes, la grippe virulente chez les jeunes... Adrien Fonteneau fait le tour de l'actualité éducative du 30 janvier 2025.
"Notre discipline est profondément humaine", insiste le professeure Anne Sauvaget, porte-parole de la campagne #ChoisirPsychiatrie, invitée du Mag, à propos de la psychiatrie. Pour permettre aux jeunes talents de se tourner vers ce secteur, les professionnels organisent les premières Nuits de la psychiatrie, le 31 janvier 2025, dans plusieurs villes de France. Autre objectif ? Casser les idées reçues autour de cette filière.
"Toute ma scolarité, j'ai eu des avertissements de travail et de conduite parce que je faisais le pitre en classe, je faisais rire", avoue Bayou Sarr. Invité de "Souvenirs d'écolier", le comédien, suivi par plus de 289 000 abonnés sur TikTok, raconte pourquoi il a toujours eu besoin de faire rire ses camarades.
Entre la pression scolaire, le fléau du harcèlement ou encore l'actualité, comment se portent les adolescents ? Comment les aider à aller mieux et à prendre soin de leur santé mentale ? Quels sont les outils existants et accessibles ? Miel Abitbol, co-fondatrice de l'application Lyynk et influenceuse et Guirchaume Abitbol, son père et co-fondateur de l'app, sont les invités de Philippine Dolbeau pour en parler.
En France, l'infertilité concerne actuellement 3,3 millions de personnes en France, soit 1 couple sur 41. Mais selon Samir Hamamah, médecin de la reproduction et président de la Fédération française d'étude de la reproduction (FFER), il faut "multiplier ce chiffre par deux, car il faut intégrer le ou la partenaire. Il y a donc plus de 6 millions de personnes actives qui sont infertiles". La chute de la natalité est donc, d'après lui, un "problème majeur de santé publique". Il estime même que le "nombre de personnes infertiles ne cesse d'augmenter". Pour lutter contre, le gouvernement a d'ailleurs prévu un "plan démographique 2050".
Pendant 5 ans, Sébastien Bravard, comédien, a été professeur des écoles. Une double vie qu'il raconte dans un seul-en-scène intitulé "Élémentaire" et dans lequel il partage ses questionnements, ses joies et ses doutes. Il est l'invité d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
Dans "Le Mag", ce jeudi, on se penche sur un événement inédit : les premières Nuits de la psychiatrie se déroulent le 31 janvier 2025 dans 7 villes de France. Cette initiative doit notamment permettre de faire découvrir cette filière, en manque de talents, aux futurs étudiants. Les Nuits de la psychiatrie vont également réunir psychiatres, internes et étudiants en médecine pour échanger autour des enjeux de la santé mentale. Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau le professeure Anne Sauvaget, porte-parole de la campagne #ChoisirPsychiatrie et Francesco Quaranta, étudiant en médecine.
Le programme de l'EVRAS (Éducation à la vie relationnelle, affective et sexuelle) (EVRAS) dévoilé, arrestation d'une élève sans papier, la révolte des étudiants en Serbie, top départ du festival d'Angoulême... Shirley Adélaïde fait le tour de l'actualité éducative du 29 janvier 2025.
Face au vieillissement de la population, Catherine Vautrin, la ministre du Travail, de la Santé, des Solidarités et des Familles souhaite lancer un "plan démographique 2050". Quels sont les enjeux ? Comment analyser cette chute de la natalité ? Samir Hamamah, médecin de la reproduction et président de la Fédération française d'étude de la reproduction (FFER), est l'invité de Virginie Guilhaume pour en parler.
L'exposition "Flight" au musée du Bourget révèle les secrets des aviateurs. Victorienne Magnen, chargée de collection au musée de l'air et de l'espace, en dit plus en deuxième partie.
Selon une étude Viavoice, publiée en 2024, les jeunes des quartiers populaires et des territoires ruraux parviennent moins à se projeter dans les études supérieures, que les élèves plus favorisés. Pour inciter les jeunes à croire en eux, Armel Mombouli, président et fondateur de l'association Vox populi, met l'accent sur le pouvoir des soft skills. Il en dit plus sur le plateau du "Mag".
Jugé "indispensable" pour Elisabeth Borne, ministre de l'Éducation nationale, le texte définitif du programme d'éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle, a été examiné par le Conseil supérieur de l'éducation (CSE), instance consultative, ce mercredi. Ce programme, obligatoire de la maternelle au lycée, devrait entrer en vigueur dès septembre 2025. Pour Clémentine Denieuil, professeure et intervenante en éducation à la sexualité, ce programme est une bonne nouvelle car "il prend enfin en compte la maternelle". Elle rappelle qu'il est indispensable de faire de la prévention autour de l'inceste dès le plus jeune âge.
Aujourd'hui, dans "Le Mag", on met en lumière "Vox populi", une association fondée en 1999 qui s'est donnée pour mission d'accompagner les jeunes des quartiers populaires, voire défavorisés. Quelles sont les actions mises en place sur le terrain ? Comment se porte notre jeunesse ? Peut-on espérer des efforts en faveur de l'inclusion et d'égalité des chances en 2025 ? Armel Mombouli, président et fondateur de Vox populi, est l'invité de Patrice Boisfer pour en parler.
Pendant près de trois mois, Claire Simon a posé ses caméras dans l'école Anton Makarenko d'Ivry-sur-Seine, en banlieue parisienne. En résulte un documentaire baptisé "Apprendre", présenté au Festival de Cannes en séance spéciale et en salles dès ce mercredi. La réalisatrice Claire Simon est l'invitée d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
