Dans les bars, dans les clubs ou chez soi, le risque de soumission chimique est un phénomène bien réel qu'il ne faut pas sous-estimer. Près de 2000 signalements ont été recensés par le centre d'addictovigilance de Paris (AP-HP) en 2022. Comment prévenir les risques de soumission chimique ? Comment bien informer les jeunes ? Leila Chaouachi, pharmacienne au centre d'addictovigilance de Paris, est l'invitée d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
L'Opéra de Paris consacre actuellement une grande exposition dédiée au danseur Rudolf Noureev jusqu'au printemps 2024. Brandon Waret en dit plus dans son "Antisèche".
Pour son "Heure de la récré", Brandon met en garde contre les effets de la cigarette à l'occasion de la publication d'une nouvelle étude scientifique.
En fin d'émission, on retrouve Amélie Paris pour ses "Années collège". Notre professeure-documentaliste dresse le portrait de Squeezie, star sur les réseaux sociaux.
Et si seulement les enfants avaient le pouvoir de changer le monde ? Jean Birnbaum, auteur et essayiste, en est convaincu. Il a écrit "Seuls les enfants changent le monde". Il est l'invité de Virginie Guilhaume pour en parler.
Relever des défis écologiques avec sa classe, c'est tout le principe du programme Ecosystem. Ambre Chrétien, porte-parole d'Ecosystem, en dit plus en deuxième partie d'émission.
En fin d'émission, Loïc Landrau sort son "Agenda" et vous propose des sorties culturelles à faire en famille.
Diagnostiquer les troubles psychiatriques plus tôt et mieux les prendre en charge, c'est l'une des missions des personnels de santé. Comment mieux accompagner les jeunes ? Et si le secret pour les aider était la pair-aidance ? Pourquoi ceux qui ont déjà traversé des situations similaires sont-ils plus à même d'aider les jeunes en souffrance ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Dominique Monchablon, psychiatre à la Fondation des étudiants de France et
Dans sa chronique "Vu sur les réseaux", Loïc Landrau évoque le fléau du "birth tourism".
En fin d'émission, Malika Ménard reçoit le journaliste et animateur Maxime Guény pour confier ses "Souvenirs d'écolier".
Faire connaître le rôle de l'avocat aux mineurs, aux familles ainsi qu'aux acteurs institutionnels du monde de l'enfance, c'est l'objectif de la campagne lancée par le Conseil national des barreaux (CNB). Pour en parler, Emmanuel Davidenkoff reçoit en plateau Arnaud de Saint Remy, avocat et élu du CNB.
Le Prix Goncourt fête son 120ᵉ anniversaire. Pour l'occasion, Cécile Fournier sort son "Antisèche" pour faire le point.
Pour son "Heure de la récré", Cécile Fournier a découvert un livre très instructif pour apprendre la langue des signes tout en s'amusant.
En fin d'émission, on retrouve Sandra Ferreira pour ses conseils "Plateau repas". Notre diététicienne-nutritionniste vous dira comment bien utiliser son congélateur.
Responsabiliser les parents et surtout sanctionner ceux dits "défaillants", c'est l'objectif de la ministre des Solidarités et des Familles Aurore Bergé. Le 10 décembre dernier, elle a annoncé la création d'une commission chargée de faire des "propositions concrètes" pour "relever les défis de la parentalité". Elle souhaite notamment instaurer des travaux d'intérêt général pour les "parents défaillants". Selon Roger Chudeau, député Rassemblement national du Loir-et-Cher (RN), "la copie d'Aurore Bergé n'est pas sérieuse. Elle est hâtive, partielle et bâclée". Il évoque notamment les démissions survenues au sein de cette nouvelle commission.
La ministre des Solidarités et des Familles, Aurore Bergé, a annoncé, le 10 décembre dernier, la création d'une commission chargée de "faire des propositions concrètes" et de "relever les défis de la parentalité". Elle a également indiqué la mise en place de travaux d'intérêt général pour les parents dits "défaillants". "60% des parents d'émeutiers sont des familles monoparentales. La plupart du temps, ce sont des mères seules", déplore Benjamin Gault, militant et créateur de contenus. Selon lui, ce type de mesures va "sanctionner" au lieu d'"accompagner", et va amener les familles "au bord d'une situation explosive".
Le retour de l'autorité semble être une priorité pour le gouvernement. La ministre des Solidarités et des Familles, Aurore Bergé, a annoncé de nouvelles mesures pour responsabiliser les parents d'enfants dits "fauteurs de troubles". Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Roger Chudeau, député Rassemblement national (RN) du Loir-et-Cher et Benjamin Gault, militant et créateur de contenus.
Représenter la diversité est un impératif dans les ouvrages jeunesse, c'est le message du livre "Le faiseur de nuages". Damien Deville, son auteur, en parle en deuxième partie.
En fin d'émission, le journaliste et animateur Maxime Guény est l'invité de Malika Ménard. Il raconte ses "Souvenirs d'écolier".
Le doudou est un cadeau de Noël idéal si vous souhaitez faire plaisir à vos enfants. Mais que révèle-t-il, au juste, de la personnalité des tout-petits ? Pourquoi devient-il un objet transitionnel ? Pour en parler, Emmanuel Davidenkoff reçoit en plateau Adrien Blanc, psychologue clinicien en centre médico-psychologique.
Gabriel Attal, le ministre de l'Éducation nationale, a annoncé une série de mesures pour renforcer la pratique sportive à l'école. Cécile Fournier fait le point dans son "Antisèche".
À l'"Heure de la récré", Cécile nous emmène en Belgique pour découvrir le parcours inspirant de @Jeremteach sur les réseaux sociaux.
En fin d'émission, on retrouve Marie Ollivier pour son "Cours particulier". Elle dresse le portrait d'Élise et Célestin Freinet, deux pédagogues français qui ont fondé le mouvement Freinet de l'école moderne.
"Tout ce qui pèse sur la sexualité des filles est critiqué alors que c'est valorisé chez les garçons", dénonce Ghada Hatem-Gantzer, gynécologue-obstétricienne. La fondatrice de la Maison des femmes évoque notamment les nombreuses idées reçues sur la sexualité qui sont véhiculées dans notre société. Douleurs liées à la première fois, pureté de la jeune fille, maternité, vêtements portés par la fille… Des stéréotypes "ancrés", explique Ghada Hatem-Gantzer.
L'Éducation nationale prévoit trois séances d'éducation à la sexuelle chaque année à l'école. Dans les faits, ce n'est pas toujours le cas. Pourquoi ce sujet est-il crucial ? Comment faire en sorte que ces séances soient bien dispensées pour tous les élèves ? Pour en parler, Emmanuel Davidenkoff reçoit en plateau Ghada Hatem-Gantzer, gynécologue-obstétricienne et fondatrice de la Maison des femmes.
À l'occasion de la naissance du célèbre corsaire Robert Surcouf, né le 12 décembre 1773 à Saint-Malo (Île-et-Vilaine), Brandon Waret sort son "Antisèche".
Dans son "Heure de la récré", Brandon propose une sortie culturelle au Louvre pour découvrir une nouvelle acquisition du musée.
En fin d'émission, on retrouve Amélie Paris pour ses "Année collège". Elle fait un zoom sur l'un des accessoires phares des adolescents, la doudoune.
La soumission chimique est sur le devant de la scène depuis quelques semaines. Après l'affaire du sénateur Joël Guerriau, soupçonné d'avoir drogué une députée, pour abuser d'elle, l'équipe du "Grand JT de l'Éducation" se penche sur ce fléau, de plus en plus courant, mais beaucoup trop méconnu. Comment alerter et sensibiliser les jeunes ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Catherine Delorme, vice-présidente de la Fédération "Addiction" et Flore Grèze, vice-présidente chargée des affaires à la santé à la Fage (Fédération des associations générales étudiantes).
Pour éclairer les élèves sur leur orientation et sur les métiers de leurs rêves, le programme "Like ton job" apporte des éléments de réponse. Carole Grillot, fondatrice de la plateforme, en parle en deuxième partie.
En fin d'émission, Malika Ménard reçoit l'ancienne candidate de la Star Academy, Carla Dona. Elle évoque ses "Souvenirs d'écolier" et sa vision de l'école.
Selon une enquête du cabinet d'études George(s) pour The Conversation France, menée auprès des 18-25 ans, en octobre 2023, 71% des jeunes interrogés se disent optimistes pour l'avenir, explique Fabrice Rousselot, directeur de la rédaction de "The Conversation". Il rappelle que les jeunes sont engagés et "font beaucoup de choses à leur niveau". En revanche, ils se méfient de la sphère publique.