"Une émotion est liée à une situation ou à un déclencheur. Il faut commencer à identifier ce déclencheur", souligne Céline Attali, sophrologue certifiée RNCP (Répertoire national des certifications professionnelles). Elle livre ses conseils pour établir le contact avec son enfant lorsque celui-ci est en colère.
"Victoire se bat contre une maladie invisible : l'endométriose. Elle décide de s'isoler du monde et peut-être même de mettre fin à ses jours." Dans son roman "Quelque part au-dessus du ciel", Ludivine Delaune raconte comment l'endométriose, maladie invisible, vient bouleverser le quotidien de Victoire. L'auteure, elle-même atteinte de cette pathologie, explique comment elle a été diagnostiquée. Elle évoque également les impacts de cette maladie sur son quotidien, et celui de son personnage, Victoire.
Les adeptes de l'éducation positive sont de plus en plus nombreux en France. Elle vise à encourager l'enfant sans le punir et à l'aider à grandir dans un environnement bienveillant. Qu'en est-il en réalité ? Comment écouter son enfant ? Comment les accompagner dans la gestion de ses émotions ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Élodie Calvet, maman adepte de l'éducation positive et Céline Attali, sophrologue certifiée RNCP.
Alix Nguyen sort sa "Loupe" en fin d'émission pour évoquer le "Pink Shirt day", pour lutter contre le harcèlement.
Un enfant est agressé sexuellement en France toutes les trois minutes. Pour agir contre ce fléau et mettre fin au silence autour des violences sexuelles, le gouvernement a lancé une campagne de communication nationale. Pour signaler les faits, un numéro d'appel national, le 119, a été ouvert 24h sur 24 et 7 jours sur 7. Selon la députée PS Isabelle Santiago, il ne s'agit pas seulement d'ouvrir une ligne téléphonique pour recueillir la parole de l'enfant, il faut également proposer un accompagnement à la victime. Elle suggère de mettre en place un "plan global. Il faut identifier tout ce qui se passe derrière la prise de conscience."
Chaque année, en France, 160 000 enfants sont victimes de violences sexuelles, selon la Ciivise (Commission indépendante sur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants). Pour Arnaud Gallais, victime de viols durant son enfance, il ne faut pas seulement écouter les témoignages, "il est temps d'agir". Selon le co-fondateur de "Mouv'enfants", notre pays reste passif et ne met pas assez de moyens pour stopper ce fléau.
Aujourd'hui, en France, 1 enfant est agressé sexuellement toutes les trois minutes, et 160 000 sont victimes d'inceste et de violences sexuelles chaque année, selon la Ciivise (commission indépendante sur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants). Des chiffres glaçants qui ont fait réagir le gouvernement. La secrétaire d'État auprès de la Première ministre, chargée de l'Enfance, Charlotte Caubel, a donc lancé, le 12 septembre dernier, une campagne de communication nationale. Cette initiative va-t-elle enfin permettre de stopper ce fléau ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Isabelle Santiago, députée PS (Parti socialiste) et Arnaud Gallais, co-fondateur de "Mouv'enfants", ancienne victime d'inceste et auteur du livre "J'étais un enfant".
Après Miami, Stockholm ou encore Barcelone, le Paradox Museum s'installe à Paris. Son directeur général, Julien Teyssandier, en parle en deuxième partie.
En fin d'émission, dans son "Agenda", Loïc Landrau vous propose des idées de sorties à faire en famille.
Chaque année, dans le monde, 12 millions de filles sont mariées de force avant l'âge de 18 ans, selon l'UNICEF. En France, c'est près de 200 000 jeunes filles qui sont concernées. Les 16-22 ans sont les plus touchées par ce fléau, explique Sarah, membre de l'association "Voix de femmes". "Certains parents attendent que leur fille soit majeure pour la marier de force (…) et quatre mariages sur cinq sont célébrés à l'étranger".
En cette Journée internationale de la fille, le 11 octobre, l'équipe du "Grand JT de l'Éducation", se penche sur un fléau mondial. Douze millions de filles dans le monde sont mariées de force avant l'âge de 18 ans, selon l'UNICEF. En France, elles sont près de 200 000 à en être victimes. Comment lutter contre ? Quelles sont les solutions pour accompagner ces jeunes filles ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit Sarah, membre de l'association "Voix de femmes".
Un étudiant sur deux a déjà sauté un repas, selon une étude réalisée par l'association Cop1 et l'institut de sondage Ifop. Pour venir en aide à ces étudiants précaires, l'association "1 Cabas pour 1 étudiant", s'active au quotidien. Marion Dolisy-Galzy, présidente de l'association, en parle en deuxième partie.
En fin d'émission, Malika Ménard reçoit Yann Bouvier, alias Yanntoutcourt. Le professeur d'histoire et Tiktokeur revient sur sa scolarité sur le plateau de "Souvenirs d'écolier".
Si 50% des enfants de 10 à 15 ans reçoivent de l'argent de poche de la part de leurs parents, les garçons touchent plus d'argent que les filles. C'est ce que révèle une étude menée par l'Institut CSA pour le magazine pour ados "Julie" et le média "ViveS". Selon Valérie Lion, rédactrice en chef de Vives Média, les garçons ont "tendance à toucher de l'argent de poche plus tôt que les filles". Alors que les filles reçoivent 38 euros en moyenne par mois, les garçons, eux, en reçoivent 44. Valérie Lion explique pourquoi ces inégalités existent.
Ils sont entre 8 à 11 millions de personnes en France à soutenir un proche malade ou en situation de handicap. Pour soulager ces aidants, la ministre des Solidarités Aurore Bergé a annoncé la création de "6000 places supplémentaires de répit" pour les personnes âgées et handicapées. Cette mesure s’inscrit dans la nouvelle stratégie "Agir pour les aidants 2023-2027". Si cette nouvelle est bien accueillie, Nadine Maudet, vice-présidente de l’UNAPEI (Union nationale des associations de parents d'enfants inadaptés), explique que "le répit n’est pas la solution". Elle rappelle que la priorité, pour 91% des parents, reste la qualité de l’accompagnement de leurs enfants.
L'équipe de "La Quotidienne" fredonne la mélodie du bonheur à l'occasion de la parution d'une bande dessinée, "Les aventuriers du bonheur perdu". Un livre pédagogique qui explore le bonheur et l'harmonie. Rebecca Shankland, l'une des autrices, est l'invitée d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
Dans son "Antisèche", Brandon Waret célèbre l'anniversaire de la naissance du cinéma parlant.
Le 7 octobre, pour la Journée internationale du sourire, Brandon évoque les origines de cet événement.
En fin d'émission, on pousse les portes de la "Librairie" pour retrouver les conseils de lecture de Célie Lutton.
En psychologie positive, le journal de gratitude consiste à noter chaque soir cinq éléments satisfaisants ou heureux qui se sont déroulés au cours de la journée. Au bout de quinze jours, "il y a des effets sur la réduction des symptômes anxieux et dépressifs, une amélioration de la satisfaction par rapport à la vie", explique Rebecca Shankland, professeure des universités en psychologie et développement. Elle vient de publier une bande dessinée intitulée "Les aventuriers du bonheur perdu : être heureux, ça s'apprend ?".