Comment les soft skills, aussi appelées "compétences douces", peuvent-elles accompagner les jeunes dans leur réussite scolaire ? Comment influencent-elles nos méthodes d'enseignement ? Les cours d'empathie peuvent-ils permettre de rétablir un climat scolaire apaisé ? Pour y répondre, Philippine Dolbeau reçoit Caroline Prat, ingénieure pédagogique et fondatrice de la "Fresque des soft skills".
Comment mieux maîtriser les écrans à la maison ? Le Centre pour l'éducation aux médias et à l'information (CLEMI) apporte des éléments de réponse dans son "Focus" du jour.
À quelques mois des Jeux paralympiques de Paris 2024, Jeanne Dreyfus se penche sur la conception des prothèses des athlètes dans son "Idée derrière la tech".
Souhaité par l'ancien ministre de l'Éducation nationale Gabriel Attal pour lutter contre le harcèlement scolaire, les cours d'empathie doivent être généralisés en septembre 2024. Certaines écoles expérimentent déjà le dispositif. "Ils permettent de mobiliser des compétences sociales, et sont la clé pour un climat scolaire bien plus épanoui", souligne Caroline Prat, fondatrice de la "Fresque des soft skills". Pour elle, instaurer ce type d'enseignant est une initiative "géniale" pour les enfants. Cela leur permettra de développer la persévérance et d'améliorer, selon elle, les résultats scolaires.
Déchiffrage phonétique, reconnaissance graphique de mots, écoute de comptines… Pour rendre l'apprentissage de la lecture plus ludique et personnalisé, l'application "Corneille" propose aux enfants un parcours personnalisé grâce à de nombreuses activités. Ana-Maria Megelea, co-fondatrice de "Corneille", s'est notamment appuyé sur la science pour offrir cette expérience aux 3-8 ans.
Il n'y a pas que les livres pour donner l'envie et le goût de la lecture aux enfants. Les écrans sont aussi bénéfiques pour apprendre à lire. C'est ce que propose l'application "Corneille". Pour en parler, Philippine Dolbeau reçoit Ana-Maria Megelea, co-fondatrice de "Corneille".
Qu'est-ce que l'Internet des objets ? Xavier Terrade en dit plus dans son "Focus".
À quelques mois de l'ouverture de la cérémonie des Jeux olympiques de Paris 2024, Jeanne Dreyfus nous fait découvrir le travail de l'un des chorégraphes des JO dans son "Idée derrière la tech".
"La mixité sociale permet d'être pauvre parmi les riches", Milosav Botella, directeur commercial et auteur du livre "D'une classe à l'autre : les clés de l'ascension sociale". Selon lui, la mixité, au sein des classes, tire les élèves vers le haut, et leur permet de les "sortir de leur condition". Il assure même que "l'objectif de l'école, c'est de permettre aux enfants de découvrir autre chose".
"L'éducation est l'arme la plus puissante que l'on puisse utiliser pour changer le monde", déclarait Nelson Mandela. C'est aussi ce que pense notre invité. Pour lui, l'école permet de transformer sa trajectoire de vie et son destin. Pour en parler, Philippine Dolbeau reçoit en plateau Milosav Botella, directeur commercial et auteur du livre "D'une classe à l'autre : chronique d'une ascension sociale".
Comment mieux s'informer sur le numérique ? Le Centre pour l’éducation aux médias et à l’information (CLEMI) livre ses astuces dans son "Focus".
Pour son "Idée derrière la tech", Dorith Naon évoque les témoignages de jeunes qui ont décidé de parler de leur démission sur les réseaux sociaux.
Il a plus de 2,3 millions d'abonnés sur YouTube, et plus de 500 000 sur TikTok… Benjamin Brillaud, alias Nota Bene, vulgarise l'histoire sur les réseaux sociaux. Ses vidéos ludiques, très appréciées des internautes, sont même visionnées en salle de classe. "Mon boulot, ce n'est pas de remplacer les professeurs. Mais il y a une démarche qui est complémentaire. Je suis très fier qu'il y ait cette complémentarité avec les enseignants", explique-t-il.
C'est l'une des nouveautés de cette rentrée 2024. Depuis le 8 janvier, des cours d'empathie sont expérimentés dans 1200 écoles maternelles et primaires, avant d'être généralisés à l'ensemble des établissements en septembre. L'objectif du gouvernement ? Lutter contre le harcèlement scolaire. Erwan Balanant, député MoDem du Finistère, salue cette initiative, qui va inciter les élèves à "être dans l'écoute".
C'est une nouveauté. Les cours d'empathie démarrent dès le mois de janvier. D'abord expérimentés de la maternelle au CM2, ces cours seront étendus à l'ensemble des établissements scolaires en septembre. Quel est l'objectif de cette nouvelle discipline ? Ces cours vont-ils permettre de lutter contre le harcèlement scolaire ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Claire Bleton-Martin, directrice et fondatrice de "Année lumière" et Erwan Balanant, député Modem du Finistère.
Plus d'un adolescent sur dix souffre d'asthme. Cette maladie, souvent banalisée, peut avoir de graves conséquences dans leur quotidien. Francoise Pariente Ichou, responsable scientifique de la Gregory Pariente Foundation, en parle en deuxième partie.
En fin d'émission, dans sa chronique, Loïc Landrau fait la "Lumière sur" le 1ᵉʳ janvier. Il vous explique pourquoi la nouvelle année commence à ce moment-là.
Selon le dernier classement PISA paru en décembre 2023, la France est classée 22ᵉ en maths. Pour redonner le goût des mathématiques aux élèves, Marie Debuisser, professeure agrégée de mathématiques, suggère de "varier les supports". Elle conseille de se servir de la réalité augmentée, mais de ne pas délaisser le papier comme support pédagogique.
C'est un musée très original. En plein cœur de Paris, le musée Poincaré est le premier en France à se consacrer aux mathématiques, avec une mission ? Faire aimer la discipline au plus grand nombre. Comment s'y prend-il ? Pourquoi les élèves français boudent-ils les mathématiques ? Faut-il repenser l'enseignement de cette matière ? Comment expliquer le faible niveau des jeunes ? Faut-il mettre en place des laboratoires de maths en maternelle ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Sylvie Benzoni, directrice de l'Institut Henri Poincaré et Marie Debuisser, professeure agrégée de mathématiques.
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen dresse le portrait de Miss Mathématiques en Côte d'Ivoire.
Redonner le goût des mathématiques et les rendre accessibles, c'est l'objectif de la Maison Poincaré. En plein cœur de Paris, le musée propose aux visiteurs de découvrir l'influence de cette discipline dans notre quotidien, grâce à "l'interactivité", comme l'explique Sylvie Benzoni, directrice de l'Institut Henri Poincaré. Marie Debuisser, professeure agrégée de mathématiques, salue également cette initiative.