Garantir à chacune et chacun un épanouissement individuel et collectif et permettre à tous de devenir un citoyen, c'est ce que prône l'éducation populaire. Mais est-elle en danger ? En quoi est-elle complémentaire du temps scolaire ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit David Cluzeau, délégué général d'Hexopée, et Vincent Niqueux, directeur général des jeunesses musicales de France (JM France).
Comment donner aux jeunes l'envie d'entreprendre leur vie ? C'est l'une des raisons pour laquelle la Fondation "entreprendre pour apprendre" agit. Raphaël Prévot, directeur national d'"entreprendre pour apprendre France" en parle en deuxième partie.
Retrouvez en fin d'émission "L'agenda" de Loïc Landrau. Il vous propose quelques activités à faire en famille.
Comprendre, gérer les émotions et les conflits, c’est l’objectif de la méthode danoise du "Fri for Mobberi" (qui peut être traduit par "libéré du harcèlement" en danois), pour prévenir le harcèlement scolaire, de la crèche jusqu’à l’âge de neuf ans. Le programme Vivre-ensemble – Fri for Mobberi – permet à l’enfant de "grandir avec des outils", et développer des compétences psychosociales, comme l'explique Margot Neuvialle, coordinatrice du programme Vivre-ensemble. Outre le Danemark, cette approche a été expérimentée dans plusieurs pays et notamment en France. Une formation de six heures et des ateliers pédagogiques sont également proposés aux membres de la communauté éducative.
Comment les enfants peuvent-ils gérer leurs émotions ? Comment leur apprendre à désamorcer des conflits pour prévenir le harcèlement scolaire ? Les Danois ont peut-être la solution grâce au programme visionnaire "Fri for Mobberi". Qu'en est-il exactement ? Que contient-il ? Dans quel établissement est-il déployé ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Margot Neuvialle, coordinatrice du programme Vivre-ensemble – Fri for Mobberi.
Dans sa "Loupe", Adrien Fonteneau évoque le programme "Aide-moi à apprendre avec mes émotions", mis en place au sein d'une école du 19ᵉ arrondissement de Paris.
58% des élèves décrocheurs viennent de la voie professionnelle, souligne Youssef Hamdane, vice-président de l’association "Une voie pour tous". Un élève mal orienté, ou qui rencontre des difficultés à l’école, peut se retrouver en situation de décrochage scolaire, explique-t-il. Un constat également partagé par Delphine Ithembela, co-fondatrice de l’École française digitale, qui rappelle que certains élèves "peinent à trouver du sens dans leur apprentissage".
Le décrochage scolaire est l'une des priorités de l'Éducation nationale. 8% des élèves sont concernés par ce fléau. Que faire concrètement ? Comment repérer un élève en décrochage scolaire ? Faut-il revoir les pédagogies ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit Delphine Ithembela, co-fondatrice de l'École française digitale et Youssef Hamdane, vice-président de l'association "Une voie pour tous".
Comprendre et aimer les maths, c'est la mission des jeux Mathador. Eric Trouillot, professeur de mathématiques et créateur de cet outil, en parle en deuxième partie.
En fin d'émission, retrouvez Malika Ménard et son invitée sur le plateau de "Souvenirs d'écolier". Cette semaine, elle reçoit Lilia Benchabane, humoriste malvoyante. Elle évoque son handicap.
D'un côté, les entreprises recherchent de nouveaux profils pour créer des applications performantes et innovantes. De l'autre, la pénurie de main d'œuvre dans le domaine du code et de la programmation informatique se fait ressentir. Comment résoudre cette équation ? Comment attirer de nouveaux talents ? Faut-il apprendre le code aux enfants dès le plus jeune âge ? Pour en parler, Philippine Dolbeau reçoit Paul de Maupeou, directeur général de Magic Makers.
Prof de maths le jour, tiktokeuse la nuit ! Elle cumule plus de 400 000 abonnés sur les réseaux sociaux. Dans son "Focus", Xavier Terrade dresse le portrait d'Estelle Kollar, alias Wonderwomath.
Comment booster le potentiel des enfants grâce aux intelligences multiples ? Milly Addaé vous en dit plus dans son "Idée derrière la tech".
Dans une tribune publiée dans "Le Monde", le 5 septembre dernier, un collectif d'écrivains et d'artistes interpelle le ministre de l'Éducation nationale. Les signataires déplorent la baisse du niveau des élèves à l’écrit. Cécile Ladjali, enseignante, femme de lettres et signataire de la tribune, apporte son analyse. Selon elle, la salle de classe devrait être un lieu de "silence" et de "lenteur", pour permettre aux élèves d’écrire correctement.
L’assemblage de briques dès le CM1 pour apprendre le code, c’est ce que propose l’école informatique Magic Makers. Selon Paul de Maupeou, son directeur, il ne faut pas être spécialement bon en maths pour apprendre à coder. "Les bons développeurs sont de bons littéraires", explique-t-il. Maîtriser la langue française requiert de la finesse et de l’agilité, des compétences nécessaires pour "une belle page de code".
Redonner goût et vie à la pratique de l'écrit à l'école, c'est le cri du cœur de plusieurs personnalités du monde culturel. Dans une tribune publiée dans "Le Monde", le 5 septembre dernier, un collectif d'écrivains et d'artistes interpelle le ministre de l'Éducation nationale, pour que l'écrit retrouve ses lettres de noblesse. Quel lien les élèves entretiennent-ils avec l'écriture ? Quelle importance cette discipline a-t-elle pour les élèves ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Cécile Ladjali, enseignante, femme de lettres et signataire de la tribune publiée dans "Le Monde" et par téléphone Delphine Saubaber, journaliste et signataire de cette même tribune.
Raconter l'histoire des châteaux de France aux jeunes, c'est ce que propose Sandrine Andrews, dans son livre. Elle en parle en deuxième partie.
En fin d'émission, retrouvez Loïc Landrau dans sa chronique "Lumière sur ". Il évoque l'importance des devoirs à la maison.
Développer l’empathie, l’adaptabilité, l’écoute… Tous ces points sont mis en avant dans la pédagogie Montessori, qui place "l'enfant au centre", insiste Maud Fridman, psychopédagogue. Dans cette pédagogie alternative, théorisée par Maria Montessori en 1907, les apprentissages sont basés sur l'autonomie, la créativité de l'enfant ou encore la confiance en soi. Les écoles publiques ou privées, sous contrat avec l'État, ont d'ailleurs tendance à s'inspirer des pédagogies alternatives, comme l'explique Maud Fridman.
"On est dans le règne des soft skills, du bien-être, du développement personnel", souligne Anne Coffinier, fondatrice de l'association "Créer son école". Selon elle, le professeur transmet des connaissances en fonction de sa personnalité. "On enseigne l'empathie en étant empathique. On enseigne le respect en étant respectueux". C'est toute la force de la pédagogie de l'incarnation.
Repenser l'école est au cœur de toutes les discussions. À quoi doit-on s'attendre ? Faut-il changer de pédagogie et revoir les matières enseignées ? Faut-il s'inspirer des écoles alternatives ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit Maud Fridman, psychopédagogue et Anne Coffinier, fondatrice de l'association "Créer son école".
Choisir son orientation et réfléchir à un futur métier n'est pas évident pour de nombreux élèves. Pour accompagner au mieux les jeunes, Édouard Jomier a cofondé l'application "Olecio". Il en parle en deuxième partie d'émission.
En fin d'émission, on retrouve Loïc Landrau pour découvrir "L'agenda" du week-end. Il a listé de nombreuses activités à faire en famille pour les Journées du patrimoine.