Ancien ministre de l'Éducation nationale de 2017 à 2022, avocat et professeur agrégé de droit public, Jean-Michel Blanquer vient de sortir un livre, "La Citadelle : Au cœur du gouvernement". Il est l'invité de Virginie Guilhaume pour en parler.
En deuxième partie, on se plonge dans l'orientation, sujet crucial pour les jeunes. Jérémy Plasseraud, directeur général de la plateforme "Diplomeo", en dit plus en deuxième partie.
La laïcité représente l'un des enjeux du vivre-ensemble, mais ce sujet fait encore polémique à l'école. Pour quelles raisons ? Charles Mercier, professeur d'histoire contemporaine et membre du laboratoire Cultures, éducations, sociétés et Nicolas Cadène, co-fondateur de l'organisme indépendant "Vigie de la laïcité", sont les invités de Virginie Guilhaume pour en parler.
Mobiliser et alerter sur le besoin de don de moelle osseuse, c'est le cri du cœur de la docteure et chercheuse Catherine Faucher. Elle en parle en deuxième partie d'émission.
Invités du "Grand JT de l'Éducation" ce 17 septembre, Yannick Trigance, secrétaire national du Parti socialiste (PS) et Alexandre Portier, député Les Républicains (LR) du Rhône, ont dressé un bilan des politiques menées pour l'école depuis 2017. Yannick Trigance estime que les ministres précédents ont contribué "au démantèlement progressif de l'école de la République" et qu'elle "est en extrême difficulté" actuellement. Alexandre Portier, lui, parle de "politique désordonnée" et évoque le "mauvais bilan" des politiques menées en matière d'éducation.
Il aura fallu 51 jours pour nommer Michel Barnier à Matignon. Plus de dix jours après sa nomination, le Premier ministre n’a toujours pas dévoilé la composition de son gouvernement. Quelles seront les options de dialogue ? Comment envisager et travailler sur les grandes réformes pour l'éducation ? Qui pour prendre la tête du ministère de l'Éducation nationale rue de Grenelle ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Alexandre Portier, député Les Républicains (LR) du Rhône, et Yannick Trigance, secrétaire national du Parti socialiste (PS).
En deuxième partie, on vous fait découvrir des ateliers artistiques pour les ados. Daphné Kauffmann, fondatrice et directrice des "Ateliers 62" en dit plus.
Depuis le 9 juin dernier, date de la dissolution de l’Assemblée nationale annoncée par Emmanuel Macron, la France traverse une période d'instabilité politique. Si le Nouveau Front populaire (NFP) est arrivé en tête lors des élections législatives anticipées, le président de la République a nommé Michel Barnier, homme politique de droite, au poste de Premier ministre. Rodrigo Arenas, député LFI, estime que la France devrait être gouvernée par le NFP. Il explique pourquoi, dans "Le Grand JT de l’Éducation".
Après la nomination du Premier ministre vient celle du gouvernement. Quand connaîtrons-nous la composition du gouvernement de Michel Barnier ? Qui pour succéder à Nicole Belloubet à l'Éducation nationale ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Rodrigo Arenas, député LFI et en duplex Jérôme Fournier, secrétaire national SE-UNSA.
En deuxième partie, on se penche sur la plateforme "Sos dépannage profs". Marie Soulié, professeure à l'origine de cette initiative, en dit plus en plateau.
La généralisation des plateformes d'échange numérique a-t-elle permis d'améliorer la relation entre l'école et les familles ? C'est la question que posent les chercheurs Aksel Kilic et Jean-Paul Payet dans leur ouvrage "L'école du like". Aksel Kilic, maîtresse de conférence en sociologie à l'Université Paris-Est Créteil (UPEC), est l'invitée d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
Michel Barnier, le nouveau Premier ministre, issu de la droite, doit maintenant composer son futur gouvernement. Qu'attendre du futur ministre de l'Éducation nationale ? Mixité sociale, réforme du lycée professionnel, apprentissage professionnel... Sur le plateau du "Grand JT de l'Éducation", Guillaume Prévost, délégué général du think tank "Vers le Haut", apporte son analyse.
Journaliste et réalisateur de documentaires, Martin Meissonnier vient de publier un livre intitulé "Le bonheur à l'école en 50 initiatives". Sur le plateau de "La Quotidienne", il revient sur la situation des professeurs français et considère qu'ils "sont plus malheureux que les allemands ou les estoniens et sont extrêmement maltraités". Aux côtés d'Emmanuel Davidenkoff, il donne quelques pistes de réflexion pour améliorer leur situation.
Le 16 octobre 2020, Samuel Paty, professeur d'histoire-géographie dans un collège de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), est assassiné. Fred Leclerc, directeur artistique, au chômage depuis cinq mois, se souvient du "choc" et de la "violence" de cet acte. Sur le plateau de "La Quotidienne", il explique avoir "ressenti le besoin d'agir". Deux ans plus tard, il est professeur d'arts plastiques dans un établissement parisien. Il raconte son expérience dans une bande dessinée, "Journal d'un prof à la gomme".
Ému par l'assassinat de Samuel Paty, le 16 octobre 2020, Fred Leclerc, ancien directeur artistique dans la publicité, au chômage depuis cinq mois, souhaite devenir professeur. Deux ans plus tard, il donne ses premiers cours dans un établissement parisien. Il décide de raconter son histoire en tant que prof d'arts plastiques dans une bande dessinée, "Journal d'un prof à la gomme". Il est l'invité d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
À l'occasion des Jeux paralympiques, qui se tiennent du 28 août au 8 septembre, Guillaume Buan retrace l'histoire de cet événement planétaire dans son "Antisèche".
Dans son "Heure de la récré", Guillaume évoque le parcours atypique d'un skippeur né sans main gauche.
En fin d'émission, on retrouve Marie Ollivier pour son "Cours particulier". Elle se penche sur Françoise Dolto, une psychologue hors pair.
En cette rentrée scolaire particulière, sans gouvernement, Nicole Belloubet, l’ancienne ministre de l’Éducation nationale, ne peut pas "donner de cap" estime Norman Gourrier, secrétaire général du Syndicat national des collèges et des lycées (SNLC). Sur le plateau du "Grand JT", il rappelle néanmoins que "le système éducatif peut fonctionner sans ministre".