L'éducation à la sexualité doit être largement diffusée ! C'est l'alerte lancée par le Conseil économique, social et environnemental (Cese), ce mardi. Dans son rapport, il livre un constat inquiétant concernant ce phénomène. Les jeunes sont mal informés, et les cours d'éducation à la sexualité, prévus par la loi de 2001, ne sont pas correctement dispensés dans les établissements scolaires. Pourquoi la jeunesse est-elle sous-informée ? Comment optimiser la prévention ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Evanne Jeanne-Rose, animateur pédagogique et conseiller au Cese.
Corps, amour, sexualité... Pendant l'adolescence, il peut être compliqué pour les jeunes d'appréhender cette période cruciale. Anne Bargiacchi a écrit "Adoland", un guide pour répondre aux nombreuses questions des adolescents. Médecin psychiatre et auteure, elle est l'invitée d'Emmanuel Davidenkoff.
C'est une émission qui a fait couler beaucoup d'encre. Beaucoup d'élus réclament l'interdiction du tournage de la saison 2 de "Frenchie Shore", au Cap d'Agde. Guillaume Buan fait le point sur le plateau du "Grand JT de l'Éducation".
Près d'un tiers des moins de 18 ans consultent au moins un site pornographique chaque mois. En France, 2,3 millions de mineurs sont ainsi exposés à des images à caractère pornographique. C'est ce que révèle une étude de Médiamétrie commandée par l'Arcom. Sur le plateau du "Grand JT", Dr Kpote, animateur en prévention vie affective et sexuelle et auteur, évoque aussi le fléau des images et vidéos de mineurs diffusées sur les sites pornographiques.
Les jeunes sont confrontés, de plus en plus tôt, à la pornographie. Cette industrie peut considérablement impacter leur développement, mais aussi leurs relations amoureuses et affectives. Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit Ludi Demol Defe, spécialiste de l'information de la vie affective et sexuelle des ados et Dr Kpote, animateur en prévention vie affective et sexuelle et auteur.
En deuxième partie, on retrace, à travers un livre jeunesse, l'histoire des "Justes" pendant la Seconde Guerre mondiale. Olivier Dupin, auteur de "L'Ogre d'en bas", en parle.
En fin d'émission, on se penche sur les élections législatives qui se jouent aussi sur les réseaux sociaux. Emma Férey en dit plus dans sa chronique "Quoi de neuf sur les réseaux ?".
Aujourd'hui, dans "Le Mag", on se penche sur l'éducation affective et sexuelle chez les ados. De nombreuses associations œuvrent pour informer et éduquer au mieux les jeunes. Pourquoi est-il si important de répondre à leurs questions ? Comment briser les tabous autour de ce sujet ? Pourquoi l'école n'arrive-t-elle pas à délivrer à tous les élèves les trois séances annuelles prévues par la loi de 2001 ? Qu'apprennent les jeunes à l'école ? Comment se déroulent les ateliers organisés ? Comment aborder la question de la pornographie ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Juliette Roussel, directrice de l'association Sparadrap, Sylvie Pomianek, intervenante de l'association Sésame et professeure d'anglais au collège et en skype Renaud de Tournemire, pédiatre.
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen nous parle des créateurs de contenus sur TikTok engagés sur ces questions.
Lancé début 2024, le podcast "La Chose étrange" s'adresse aux jeunes pour lever les tabous autour de la sexualité. Sur le plateau de "La Quotidienne", Quitterie Chadefaux, autrice et animatrice du podcast, explique ce qu'est le coming in, à l'occasion du mois des fiertés LGBTQ+. Si elle rappelle que le coming out est un terme connu, le coming in désigne un "processus d'acceptation de son orientation sexuelle".
Moins d'un élève sur cinq suit les trois séances annuelles d'éducation à la sexualité prévues par la loi de 2001. Pourtant obligatoires, ces cours ne sont pas toujours dispensés dans les établissements scolaires. Notre invitée, elle, a décidé de s'emparer de ce sujet et de lancer "La chose étrange", un podcast pour éduquer les jeunes. Quitterie Chadefaux, consultante en vie affective et sexuelle en milieu scolaire, est l'invitée d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
La Villa Windsor va bientôt rouvrir ses portes au grand public à Paris, dès cet été. Pour l'occasion, Brandon Waret sort son "Antisèche" pour revenir sur l'histoire de la famille royale britannique.
Dans son "Heure de la récré", Brandon nous emmène au cinéma pour la sortie du film d'animation "Vice-Versa 2".
En fin d'émission, on retrouve Candice Anzel pour son "Conseil de famille". Notre coach en parentalité se penche sur les changements psychologiques à l'adolescence et livre ses conseils pour bien appréhender cette période.
C'est un secteur d'innovation "très inclusif", considère Christel Bony, fondatrice de l'association "Sextech for good". Elle estime notamment que ce secteur d'activité, la sextech, peut permettre aux femmes d'être mieux accompagnées, notamment sur l'endométriose.
Pourquoi la France ne délivre-t-elle pas les trois séances annuelles d'éducation à la sexualité à l'école, comme le prévoit la loi de 2001 ? Moins de 20% des collégiens et 15% des lycéens y ont accès. Comment expliquer ce phénomène ? Pour en parler, Philippine Dolbeau reçoit en duplex Christel Bony, fondatrice et présidente du collectif "Sextech for good".
Elle est mondialement connue pour avoir transformé le domaine de la génétique moléculaire, et elle a reçu le premier prix Nobel de Sciences. Jean Martinho retrace le parcours d'Emmanuelle Charpentier dans le "Focus" du jour.
Les livres jeunesse permettent d'améliorer la lecture, mais aussi d'aborder des sujets sensibles. Milly Addaé fait le point dans son "Idée derrière la tech".
Ce sont des termes qui sont apparus dans le débat public depuis peu. L'aromantisme, comme l'asexualité, sont des orientations sexuelles encore peu connues. Si les aromantiques ne ressentent aucune attirance romantique pour leur partenaire, les asexuels, eux, n'ont pas d'envies sexuelles. "On a tendance à penser que, toute personne normalement constituée, doit et peut être amoureuse", constate Aline Laurent-Mayard, journaliste et auteure du livre "Post-romantique : comment moins de romance pourrait sauver l'amour (et la société)". Or, elle explique qu'il existe d'autres schémas relationnels.
28% des 18-24 ans déclarent ne pas avoir eu de rapport sexuel depuis un an. En 2006, ils étaient seulement 5%. C'est ce que révèle une enquête de l'Ifop intitulée "La sex recession" : les Français font-ils moins l'amour ?". Pour Janine Mossuz-Lavau, politologue et sociologue, spécialiste de la sexualité, les mentalités ont changé. Elle explique que la notion de consentement est désormais "au centre de tout".