Lancé début 2024, le podcast "La Chose étrange" s'adresse aux jeunes pour lever les tabous autour de la sexualité. Sur le plateau de "La Quotidienne", Quitterie Chadefaux, autrice et animatrice du podcast, explique ce qu'est le coming in, à l'occasion du mois des fiertés LGBTQ+. Si elle rappelle que le coming out est un terme connu, le coming in désigne un "processus d'acceptation de son orientation sexuelle".
Moins d'un élève sur cinq suit les trois séances annuelles d'éducation à la sexualité prévues par la loi de 2001. Pourtant obligatoires, ces cours ne sont pas toujours dispensés dans les établissements scolaires. Notre invitée, elle, a décidé de s'emparer de ce sujet et de lancer "La chose étrange", un podcast pour éduquer les jeunes. Quitterie Chadefaux, consultante en vie affective et sexuelle en milieu scolaire, est l'invitée d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
La Villa Windsor va bientôt rouvrir ses portes au grand public à Paris, dès cet été. Pour l'occasion, Brandon Waret sort son "Antisèche" pour revenir sur l'histoire de la famille royale britannique.
Dans son "Heure de la récré", Brandon nous emmène au cinéma pour la sortie du film d'animation "Vice-Versa 2".
En fin d'émission, on retrouve Candice Anzel pour son "Conseil de famille". Notre coach en parentalité se penche sur les changements psychologiques à l'adolescence et livre ses conseils pour bien appréhender cette période.
C'est un secteur d'innovation "très inclusif", considère Christel Bony, fondatrice de l'association "Sextech for good". Elle estime notamment que ce secteur d'activité, la sextech, peut permettre aux femmes d'être mieux accompagnées, notamment sur l'endométriose.
Pourquoi la France ne délivre-t-elle pas les trois séances annuelles d'éducation à la sexualité à l'école, comme le prévoit la loi de 2001 ? Moins de 20% des collégiens et 15% des lycéens y ont accès. Comment expliquer ce phénomène ? Pour en parler, Philippine Dolbeau reçoit en duplex Christel Bony, fondatrice et présidente du collectif "Sextech for good".
Elle est mondialement connue pour avoir transformé le domaine de la génétique moléculaire, et elle a reçu le premier prix Nobel de Sciences. Jean Martinho retrace le parcours d'Emmanuelle Charpentier dans le "Focus" du jour.
Les livres jeunesse permettent d'améliorer la lecture, mais aussi d'aborder des sujets sensibles. Milly Addaé fait le point dans son "Idée derrière la tech".
Ce sont des termes qui sont apparus dans le débat public depuis peu. L'aromantisme, comme l'asexualité, sont des orientations sexuelles encore peu connues. Si les aromantiques ne ressentent aucune attirance romantique pour leur partenaire, les asexuels, eux, n'ont pas d'envies sexuelles. "On a tendance à penser que, toute personne normalement constituée, doit et peut être amoureuse", constate Aline Laurent-Mayard, journaliste et auteure du livre "Post-romantique : comment moins de romance pourrait sauver l'amour (et la société)". Or, elle explique qu'il existe d'autres schémas relationnels.
28% des 18-24 ans déclarent ne pas avoir eu de rapport sexuel depuis un an. En 2006, ils étaient seulement 5%. C'est ce que révèle une enquête de l'Ifop intitulée "La sex recession" : les Français font-ils moins l'amour ?". Pour Janine Mossuz-Lavau, politologue et sociologue, spécialiste de la sexualité, les mentalités ont changé. Elle explique que la notion de consentement est désormais "au centre de tout".
Dans sa dernière enquête intitulée "La sex recession" : les Français font-ils moins l'amour ?", l'Ifop constate un net recul de la sexualité en France. 28% des 18-24 ans affirment même ne pas avoir eu de rapport depuis un an, contre seulement 5% en 2006. Comment expliquer ce phénomène ? Est-ce une abstinence volontaire ? Est-ce réellement une mauvaise nouvelle ? La prise de conscience de la notion de consentement est-elle aussi à l'origine de cette "sex recession" ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Janine Mossuz-Lavau, politologue et sociologue, spécialiste de la sexualité.
Depuis 2012, le Gorafi nous amuse avec ses articles parodiques. Mais qu'en est-il de la place de la presse satirique à l'heure où les fake news restent très présentes ? Sébastien Liebus, directeur de la rédaction du Gorafi, en parle en deuxième partie.
En fin d'émission, Loïc Landrau sort son "Agenda" et vous partage ses idées de sorties culturelles à faire en famille.
30% des 15-24 ans pensent que le virus du Sida peut se transmettre en embrassant une personne séropositive. C'est ce que révèle un sondage mené par le Sidaction en partenariat avec l'Ifop. Pour casser les stéréotypes, Carla Lonqueur, chargée de prévention au sein de Solidarité Sida, sensibilise les jeunes au quotidien. Elle reconnaît qu'il existe une "méconnaissance autour des modes de transmission du VIH et du traitement". Elle rappelle que lorsqu'on a accès au traitement pour le VIH, "on ne le transmet plus".
Aujourd'hui, dans "Le Mag", on s'intéresse à la vie affective et sexuelle des jeunes. En déplacement dans le Rhône, le 20 janvier dernier, le premier ministre Gabriel Attal a annoncé l'arrivée d'un nouvel enseignement "à la vie affective, relationnelle et sexuelle", pour la rentrée 2024. Quels sont les contenus proposés ? Quelle est la prévention menée en France autour du Sida et des infections sexuellement transmissibles ? Comment briser les tabous autour de ce sujet très important ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Carla Lonqueur, chargée de prévention et Aymeric De Chezelles, responsable prévention au sein de l'association Solidarité sida.
C'est un média qui s'adresse aux adolescents. Dans sa "Loupe", Alix Nguyen met en lumière "Brio Ados", qui informe les jeunes sur la sexualité.
"Tout ce qui pèse sur la sexualité des filles est critiqué alors que c'est valorisé chez les garçons", dénonce Ghada Hatem-Gantzer, gynécologue-obstétricienne. La fondatrice de la Maison des femmes évoque notamment les nombreuses idées reçues sur la sexualité qui sont véhiculées dans notre société. Douleurs liées à la première fois, pureté de la jeune fille, maternité, vêtements portés par la fille… Des stéréotypes "ancrés", explique Ghada Hatem-Gantzer.
L'Éducation nationale prévoit trois séances d'éducation à la sexuelle chaque année à l'école. Dans les faits, ce n'est pas toujours le cas. Pourquoi ce sujet est-il crucial ? Comment faire en sorte que ces séances soient bien dispensées pour tous les élèves ? Pour en parler, Emmanuel Davidenkoff reçoit en plateau Ghada Hatem-Gantzer, gynécologue-obstétricienne et fondatrice de la Maison des femmes.
À l'occasion de la naissance du célèbre corsaire Robert Surcouf, né le 12 décembre 1773 à Saint-Malo (Île-et-Vilaine), Brandon Waret sort son "Antisèche".
Dans son "Heure de la récré", Brandon propose une sortie culturelle au Louvre pour découvrir une nouvelle acquisition du musée.
En fin d'émission, on retrouve Amélie Paris pour ses "Année collège". Elle fait un zoom sur l'un des accessoires phares des adolescents, la doudoune.
Depuis 2011, la natalité française connaît une baisse presque continue, selon les chiffres de l'Insee publiés fin septembre 2023. Au premier semestre 2023, il y a eu 25 000 bébés de moins qu'à la même période, en 2022. Plusieurs facteurs expliquent cette baisse, explique Laurent Toulemon, chercheur à l'Institut national d'études démographiques (INED). Selon lui, "il y a une fragilisation économique, et un retard de la venue du premier enfant". Il rappelle également que la contraception permet aux Français "d'éviter les grossesses non souhaitées".