Manier le sabre laser n'est plus seulement un rêve tout droit venu de la galaxie Star Wars ! Il est possible, depuis quelques années, de s'essayer au combat en France. Plus de 130 écoles de sabre laser proposent aux jeunes de découvrir la discipline. Elle est d'ailleurs reconnue dans de nombreux pays dans le monde. Irina Capron vous en dit plus.
Vous en rêvez ? Ils en font ! En France, vous pouvez prendre des cours de sabre laser dès l'âge de 6 ans. Cette discipline, inspirée de la Saga "Star Wars", rassemble de nombreux adeptes. Adrien Koch, président et fondateur de "Saber League" propose des cours adaptés aux différents profils. Avec Manon Bascou, institutrice de combat sportif au sabre laser ludosport, ils expliquent comment se déroule l’introduction de cette discipline dans les établissements scolaires.
Aujourd'hui, dans "l'extrasqool", partons à la découverte du cécifoot, du football pratiqué par les mal-voyants et les aveugles. Sport spectaculaire, il débarque aussi à l'école pour faire accepter les différences et développer l'empathie des élèves. Au-delà des établissements scolaires, les footballeurs professionnels se préparent déjà aux Jeux olympiques de Paris 2024. Que vaut l'Équipe de France ? Va-t-elle remporter une médaille ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Yvan Wouandji, joueur international de cécifoot et ambassadeur des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. Mathilde Wessels sort sa "Loupe" pour revenir en détails sur l'histoire de la discipline. Vous verrez, en fin d'émission, que l'équipe de cécifoot de Bondy (Seine-Saint-Denis), a été filmé pour un documentaire diffusé par France 3. C'est "l'info en +" de Mathilde Wessels.
Pratiquer le foot tout en étant malvoyant ? C'est possible et même à très haut niveau ! Cette discipline, appelée le cécifoot, s'adresse aux personnes malvoyantes et aux aveugles. Yvan Wouandji, joueur international de cécifoot, est aussi ambassadeur des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. Il explique comment il vit avec son handicap au quotidien, et comment il a découvert le cécifoot. Il insiste sur la difficulté de ce sport. L'écoute et la communication sont essentiels pour pratiquer le cécifoot.
“Le cécifoot n’est pas un sport mais une version du football”, explique Yvan Wouandji, joueur international de cécifoot et ambassadeur des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. Si ce sport a une dimension internationale, pour Yvan Wouandji, il faut davantage communiquer sur le cécifoot pour sensibiliser le grand public. Il explique comment la discipline peut également améliorer les échanges entre les voyants et les non-voyants.
Unique en France, la classe "arbitres" est proposée aux élèves de quatrième au collège Jules-Verne des Mureaux (Yvelines). Au-delà de ce dispositif, le collège a également mis en place une formation de médiateurs pour les élèves. Objectif ? Apprendre aux élèves à "régler leurs problèmes" sans l'intervention d'un adulte, comme l'explique Marie-Hélène Maillet, principale du collège Jules Verne aux Mureaux Respect des règles de vie, capacité de dialogue avec autrui, anticipation des conflits... Pour Nabil Aghiouas, conseiller municipal délégué chargé de la pratique sportive des jeunes aux Mureaux (Yvelines) cette classe spécialisée permet aux élèves d'apprendre les valeurs de citoyenneté.
Il mène une double vie, celle de professeur d'histoire-géographie et d'assistant arbitre en Ligue 1. Brice Parinet, 34 ans, a crée une classe "arbitres" au collège Jules-Verne des Mureaux (Yvelines). Elle compte 12 garçons et 12 filles pour respecter la parité et féminiser la profession. Il explique le fonctionnement de ce cours très particulier.
Ancienne footballeuse internationale, Jessica Houara-D'Hommeaux a évolué au sein du PSG et de l'OL. Devenue consultante dans plusieurs médias depuis 2017, elle commente régulièrement des matchs de foot. Élève très "studieuse", son année de terminale a été l'une des meilleures. Si ses parents l'ont poussé, elle a dû combiner sa scolarité et sa passion. Mère de famille, elle offre sa vision de l'école d'aujourd'hui et de demain. Jessica Houara revient sur ses "Souvenirs d'écolier" sur le plateau de Malika Ménard.
Aujourd'hui, dans "extrasqool", zoom sur le Raqball, une nouvelle pratique sportive très innovante. A mi-chemin entre le tennis et le basket, le raqball connaît un franc succès auprès des jeunes mais aussi des adultes. Pourquoi ce sport plaît-il autant ? Quelles compétences peut-on développer ? Si la discipline est encore peu connue, elle cherche à se démocratiser et à intégrer les cours de récré. Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit en plateau Christophe Lehmann, secrétaire général de la Fédération de Raqball et Laurent Bidari, coach formateur de Raqball. Quelles sont les règles et quelle est la particularité du Raqball? Pour y répondre, Mathilde Wessels sort sa "Loupe". En fin d'émission, vous verrez que le raqball a conquis aussi le maire de Saint-Nazaire (Gard). Détails de Mathilde Wessels pour "l'info en +".
Situé à mi-chemin entre le basket et le tennis, le Raqball est un sport accessible à tous, dès l'âge de 6 ans. Nouveau sport de loisir, le Ragball peut se pratiquer également en famille, insiste Christophe Lehmann, secrétaire général de la fédération de Raqball. Les adeptes du Raqball souhaitent également faire entrer la discipline dans les écoles.
Le Raqball ne vous dit peut-être rien, et pourtant, ce sport fait de nombreux adeptes ! Sport collectif et accessible à tous, il se situe à mi-chemin entre le tennis et le basket. Christophe Lehmann, secrétaire général de la fédération de Raqball et Laurent Bidari, coach formateur de Raqball, reviennent sur les règles et la singularité de cette pratique sportive.
"Le monde du travail est impitoyable", insiste Sacha Pierre, jeune suivi par l'association Action prévention sport. S'il existe un fossé entre le monde de l'entreprise et la façon dont les jeunes perçoivent l'emploi, explique Randa Khaldoun, formatrice référente au sein d' "Action prévention sport" (APS), l'association organise de nombreux événements pour mettre en relation jeunes et employeurs. Elle accueille plus de 300 jeunes en difficulté chaque année pour leur permettre de trouver leur voie professionnelle. Guillaume Conraud, délégué général d'APS, y revient en détail.