"Au collège, on m’a embêté parce que j’avais les cheveux longs et parce que je dansais", se souvient Stanislas Souffoy-Rittner, ancien candidat de la Star Academy 2022. Selon lui, pour lutter contre le harcèlement, l’élève doit "oser parler" à sa famille, sans avoir peur. Un conseil qu’il a suivi lorsqu’il était adolescent.
Marion, plus connue sous le pseudo Zoé la Modeuze, est suivie par plus de 168 abonnés sur Instagram. Elle donne de nombreux conseils sur la toile en mêlant humour, mode et fitness. Maman de deux enfants, elle se dit "désorganisée". Petite, elle rêvait d'être danseuse classique, puis chanteuse. Elle est finalement devenue clerc de notaire, puis attachée de presse dans la politique avant de se lancer dans l'influence. Aux côtés de Malika Ménard, elle confie ses projets à venir et sa vision de l'école de demain.
Système plus inclusif, proximité entre prof et élève… Le système éducatif norvégien est axé sur l'empathie et la bienveillance. La réforme des lycées de 2020 repose sur la compréhension globale, explique Tristan Hauff, professeur dans un lycée public en Norvège. Il insiste sur les bénéfices de créer des ponts entre chaque matière. "Le professeur essaie vraiment d'inclure les jeunes et de faire en sorte que l'enfant se sente bien dans son milieu scolaire", ajoute Christelle Gazzotti-Lundh, professeure des écoles certifiée, spécialité FLE (français langue étrangère).
Aujourd'hui dans le "Mag", on s'envole direction la Norvège ! Le système éducatif de ce pays, le moins densément peuplé d'Europe, est aussi performant que celui ses voisins scandinaves. De la crèche au lycée, le pays porte une grande importance à l'apprentissage en plein air. Quels en sont les bienfaits ? Quelle est la place de la pratique à l'école ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Christelle Gazzotti-Lundh, professeure des écoles certifiée, spécialité FLE (français langue étrangère) et Tristan Hauff, professeur dans un lycée public en Norvège.
Mathilde Wessels sort sa "Loupe", pour faire le point sur le système éducatif norvégien.
Enfin, dans son "Info en +", Mathilde revient sur le périple à vélo d'un jeune garçon. Il s'est lancé le défi de parcourir l'Europe en partant de Lyon pour se rendre en Norvège.
Contrairement à la France, les élèves norvégiens entretiennent une relation de proximité avec leurs professeurs. "Si on connaît la situation personnelle de l’élève, on peut être plus compréhensif", confie Tristan Hauff, professeur dans un lycée public en Norvège. Une relation qui implique aussi, selon lui, des inconvénients. Certains élèves cherchent à tisser une relation d’amitié avec leurs professeurs, en oubliant le rôle et la mission de ces derniers. Il faut dire que le vouvoiement n’existe pas en Norvège. "On arrive tout de même à créer une distance", explique Christelle Gazzotti-Lundh, professeure des écoles certifiée, spécialité FLE (français langue étrangère).
Les accompagnants des élèves en situation de handicap (AESH) sont descendus dans la rue ce mardi pour réclamer une reconnaissance de leur métier et de meilleures conditions de travail. Quand va-t-on (enfin) prendre en considération leurs requêtes ? Cécile Stassi, AESH et membre du FSU-SNUIPP (syndicat national unitaire des instituteurs, professeurs des écoles et PEGC), Chaker Brahmi et Nadia, tous deux AESH.
Retrouvez, en deuxième partie d'émission, Malika Ménard et son invitée, Zoé la Modeuze. La jeune maman revient sur son parcours, de clerc de notaire à influenceuse, suivie, aujourd'hui, pas plus de 168 000 abonnés sur Instagram.
Suite à un appel national, les accompagnants des élèves en situation de handicap (AESH) ont fait grève, ce mardi 13 juin. Ils réclament un "vrai statut" et une formation à la hauteur de leur métier. Cécile Stassi, AESH et membre du syndicat national unitaire des instituteurs, professeurs des écoles et PEGC (FSU-SNUIPP), explique concrètement pourquoi les AESH étaient dans la rue.
"Ce qui fait la différence entre une faute et une évolution, c’est la place qu’elle occupera à long terme dans l’usage majoritaire", insiste Maria Candea, l’une des autrices de l’essai qui vient de paraître "Le français va très bien", publié par le collectif "Les linguistes atterrés". La sociolinguiste et sociophonéticienne explique comment la langue française et ses usages "changent" au fil des siècles.
Ils sont linguistes et ils sont atterrés par ce qu'ils lisent et entendent sur l'état de notre langue française et de ses usages. Le collectif des linguistes atterrés vient de publier "Le français va très bien, merci !" Pour en parler, Emmanuel Davidenkoff accueille l'une de ses autrices, Maria Candea, sociolinguiste et sociophonéticienne.
Emma Guessel sort son "Antisèche", à l'occasion de l'anniversaire de la naissance d'Ernesto Guevara, figure révolutionnaire incontournable du XXᵉ siècle.
À l'"Heure de la récré", Emma vous apprend à sourire.
En fin d'émission, rendez-vous avec Marie Ollivier pour son "Cours particulier". Elle dresse le portrait de Comenius, pionnier de la pédagogie moderne.
Aujourd'hui, dans "L'école ensemble", gros plan sur les associations de parents d'enfants inadaptés (APEI) ! Quelle est l'approche utilisée dans ces centres médico-sociaux ? Quels types d'ateliers sont proposés pour favoriser la réinsertion des jeunes ? Les résultats sont-ils à la hauteur ? Les élèves réussissent-ils leur projet pédagogique ? L'APEI de Soissons a ouvert un restaurant pas comme les autres. Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit la cheffe de service de l'APEI de Soissons (Aisne), Corinne Gilormini, Patricia Guidoux, éducatrice dans le même établissement, et Marina, une jeune pensionnaire.
Quelles sont les missions des APEI ? Mathilde Wessels sort sa "Loupe", pour y répondre.
Depuis plusieurs années, l'hôpital et l'APEI de Soissons collaborent. Mathilde Wessels vous explique tout dans son "Info en +".
Éduquer à l'information, aux médias et lutter contre les fake news, c'est le principe du jeu pédagogique "Sémio city", le fruit d'un processus qui a duré trois ans et qui a mobilisé des équipes d'enseignants, de chercheurs et de concepteur de jeux vidéo. "Tout est parti d’un projet de recherches du ministère de la Culture", explique Nolwenn Trehondart, maîtresse de conférences et cocréatrice du jeu. Elle raconte comment le jeu a été conçu.
Faciliter l’accès de l’opéra et de l’art lyrique au plus grand nombre et aux jeunes, c’est l’objectif visé par le LabOpéra, un dispositif pédagogique. Les élèves sont directement intégrés sous la direction d’une équipe artistique. Ils construisent ensuite un spectacle, élaborent des costumes, des coiffures ou participent à la promotion de l’événement. Laurent Brack, directeur artistique du LabOpéra des Hauts-de-Seine et Nadège Carnelos, coordinatrice du réseau départemental arts appliqués des Hauts-de-Seine, expliquent les bénéfices de ce dispositif pédagogique.