Réfléchir "en dehors des cadres communs", accepter de "prendre des initiatives", "ne pas se conformer"… Pour Anne Coffinier, présidente de l'association "Créer son école", la question de la créativité et de sa place à l'école est "un sujet très polémique et qui fait l'objet de débats". Pour ses opposants, la créativité peut s'opposer "à la transmission" des savoirs.
Si les enseignants et les dirigeants politiques considèrent la créativité et l'esprit critique comme des objectifs importants à atteindre, beaucoup rencontrent des difficultés à y parvenir. Comment développer ce type de compétences dans le cadre scolaire ? Quelle est la place de la créativité à l'école ? Pourquoi ce sujet fait-il tant débat ? Pour en parler, Philippine Dolbeau reçoit en plateau Anne Coffinier, fondatrice de l'association "Créer son école".
Comment apprendre à maîtriser les outils numériques de façon raisonnée ? Le Centre pour l'éducation aux médias et à l'information (CLEMI) livre ses recommandations dans le "Focus" du jour.
Comment déjouer ses croyances limitantes ? Dorith Naon en dit plus dans son "Idée derrière la tech".
Le conseil scientifique de l'Éducation nationale lui a consacré un colloque en mai dernier. L'enseignement explicite se fait progressivement une place dans les esprits et les mœurs éducatives. Marie Bocquillon, scientifique permanente à l'Université de Mons (Belgique), a d'ailleurs dédié un ouvrage à ce sujet, "Enseignement explicite : pratiques et stratégies". Elle est l'invitée d'Emmanuel Davidenkoff pour en parler.
Mélinée et Missak Manouchian entrent au Panthéon aujourd'hui. L'occasion pour Brandon Waret de sortir son "Antisèche" pour se plonger dans les programmes d'histoire.
Pour son "Heure de la récré", Brandon nous emmène au cinéma découvrir "Les derniers hommes", film réalisé par David Oelhoffen.
En fin d'émission, on retrouve Candice Anzel pour son "Conseil de famille". Notre coach en parentalité nous livre ses conseils pour apprendre la notion de consentement aux enfants.
Rendre l'histoire, la géopolitique et la culture accessible aux élèves, c'est ce que propose le lycée international français situé au Caire, qui se transforme en musée. Myriam Pannetrat, professeure au lycée international français Concordia au Caire, explique comment est né ce projet.
Aujourd'hui, on part à la découverte de l'Égypte pour se pencher sur une initiative éducative originale. Le lycée international français, au Caire, s'est transformé en musée géant. Comment est né ce projet intitulé "Harmonia" ? Quel est l'enseignement proposé ? Comment les élèves ont-ils accueilli ce dispositif ? Quelles sont les différences entre l'école française et l'école égyptienne ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Myriam Pannetrat, professeure au lycée international français Concordia au Caire.
Dans sa "Loupe", Alix Nguyen met en lumière les sorties culturelles qui permettent aux élèves de s'ouvrir au monde.
Doubler les heures d'enseignement moral et civique (EMC) au collège pour la rentrée 2024, c'est ce que souhaite Emmanuel Macron. En quoi cela consiste-t-il ? Pourquoi a-t-il fait cette annonce ? Comment est-elle perçue par le corps enseignant ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau
Déborah Caquet, professeure d'histoire-géographie et présidente des Clionautes et Andrée Sfeir, présidente d'honneur du Conseil français des associations pour les droits de l'Enfant (COFRADE).
Comment grandir avec un parent toxique, et surtout comment s'en détacher ? Alexandra Sojfer livre son témoignage dans un récit autobiographique, "Verticale". Elle en parle en deuxième partie.
En fin d'émission, Loïc Landrau fait la "Lumière sur" l'histoire du droit de grève en France.
"Élève très bavarde" mais "très studieuse", Ève Gilles reconnaît qu'elle avait des facilités en classe pour apprendre. Sur le plateau de "Souvenirs d'écolier", Miss France 2024 avoue, aux côtés de Malika Ménard, qu'elle était une "très bonne élève". Elle avait d'ailleurs 10 heures d'option par semaine, dont grec, latin, langues des signes ou encore mathématiques, pour nourrir sa "soif d'apprendre", explique-t-elle.
Elle a été élue Miss France 2024 en décembre dernier. Ève Gilles est l'invitée de Malika Ménard. Sur le plateau de "Souvenirs d'écolier", Ève Gilles retrace son enfance "géniale" dans le petit village de Quaëdypre, près de Dunkerque, dans les Hauts-de-France. Élève "très bavarde" mais "studieuse", Ève Gilles explique comment elle a intégré une licence de mathématiques, après avoir effectué une année de médecine. Son actualité est très remplie. Ève Gilles a été choisie pour faire partie du relais et porter la flamme olympique des JO 2024.
Compréhension du bien-être, identification de l'émotion… Malene Rydahl, consultante en bien-être et performance et autrice, a proposé deux expérimentations dans des collèges parisiens. À raison d'une heure par semaine en sixième, elle propose de développer les compétences psychosociales des collégiens pour comprendre la naissance et la gestion des émotions.
Le 16 janvier dernier, Emmanuel Macron a annoncé l'expérimentation de l'uniforme dans une centaine d'établissements scolaires, dès la rentrée 2024. Plusieurs villes se sont portées volontaires, dont Coubron, en Seine-Saint-Denis. Pour son maire, Ludovic Toro, qui a lui-même porté "une blouse" pendant sa scolarité, ce dispositif permet d'être "tous égaux". Il estime d'ailleurs que ce n'est pas aux parents de financer l'uniforme, mais à la commune, car il constate une hausse de la pauvreté à Coubron.
En France, environ 24 000 mineurs résident dans des lieux de privation de liberté (établissements pénitentiaires et psychiatriques, centres éducatifs fermés). Dominique Simonnot, la contrôleuse générale des lieux de privation de liberté (CGLPL), dénonce le manque de cours dispensés pour ces mineurs. Elle trouve "dommage qu'on ne saisisse pas" le temps de la prison pour proposer un temps d'apprentissage, "même s'il est court". Elle estime d'ailleurs que ces mineurs sont "laissés à l'abandon".
Expérimentés depuis janvier 2024 dans 1 200 écoles, de la maternelle au CM2, en France, les cours d'empathie seront généralisés à l'ensemble des écoles primaires dès septembre. Ce type d'enseignement doit notamment permettre de lutter contre le harcèlement scolaire. Malene Rydahl, consultante en bien-être et performance et autrice, rappelle que cela permet "de comprendre l'empathie émotionnelle, celle de comprendre les émotions de l'autre". Les enfants peuvent apprendre également comment les émotions naissent. Selon elle, les cours d'empathie sont bénéfiques pour "réduire les tensions", notamment en entreprise.