Lutter contre la précarité alimentaire des étudiants, c'est l'objectif de la proposition de loi de Pierre-Antoine Levi, sénateur de Tarn-et-Garonne. Elle vient d'être adoptée à l'unanimité par le Sénat la semaine dernière. Le texte permet à tous les étudiants de bénéficier d’une offre de restauration à tarif modéré. Il est l'invité de Virginie Guilhaume pour en parler.
Salaires en hausse pour les enseignants en septembre, changement d'école pour les élèves harceleurs, polémique autour de l'éducation à la sexualité, interpellation musclée dans un lycée de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines), une choucroute pour fêter Pâques en Bretagne... Guillaume Ouattara fait le tour de "L'actu en bref".
Vous souhaitez ouvrir votre restaurant et devenir chef ? Pour vous donner de l'inspiration et de la motivation, le podcast des écoles du "Cordon Bleu" propose de nombreux épisodes à écouter sans modération. Huit anciens étudiants racontent leurs parcours dans "A tasteful story". Flora Marchetto, responsable marketing au sein du "Cordon bleu Paris", nous en parle en deuxième partie d'émission.
Dans sa chronique "Vu à l'étranger", Guillaume Ouattara nous emmène au Maroc. Les écoles françaises font face à de nombreuses critiques. Il nous explique pourquoi en fin d'émission.
Le 5 avril dernier, le Parlement a validé le texte de Pierre-Antoine Levi, sénateur de Tarn-et-Garonne, qui permet à tous les étudiants de bénéficier d’une offre de restauration à tarif modéré. À l’origine, le texte de loi prévoyait la mise en place d’un ticket restaurant étudiant pour lutter contre la précarité. Pierre-Antoine Levi explique pourquoi le projet initial a évolué.
Problèmes de vue, brûlures, fatigue importante, fourmillements… Autant de symptômes qui accompagnent la sclérose en plaques (SEP) et qui altèrent la qualité de vie des malades. Affectant le système nerveux et la moelle épinière, cette maladie touche plus de 115 000 personnes en France. Armand Thoinet, aventurier et conférencier atteint d'une SEP, rappelle que cette pathologie est "invisible" et qu’elle entraîne de multiples symptômes. Arnaud Gautelier, fondateur et directeur de l'association "Notre sclérose", souligne d'ailleurs qu’il est difficile d’expliquer à son entourage ce qu’est concrètement la SEP.
Imaginez qu'une puce cérébrale nous permette d'avoir un moteur de recherche dans la tête... C'est ce qu'ont envisagé Aurélie Jean et Amanda Sthers dans leur roman d'anticipation "Résistance 2050". Dans ce récit, elles abordent la disparition possible de l'école après l'implantation de connaissances infinies dans le cerveau des jeunes. Cette fiction est-elle en train de devenir réalité ? L'utilisation de ChatGPT par les élèves a en tout cas modifié leur rapport à l'apprentissage. Selon l’autrice Amanda Sthers, l’école nous permet d’apprendre à travailler pour réussir et à vivre en société. L’objectif, d’après elle, c’est aussi d’inciter les jeunes à s’émerveiller malgré le développement de l’intelligence artificielle.
Symptômes, soins médicaux et paramédicaux, questions taboues, grossesse, répercussions sur la vie sociale… L'application "Ma vie avec la sclérose en plaques", permet aux patients d’être mieux accompagnés et à leur famille de mieux comprendre la sclérose en plaques (SEP). Arnaud Gautelier, fondateur et directeur de l'association "Notre sclérose", explique comment il a eu l’idée de développer cette application. Conçue comme un roman graphique, cet outil apporte toutes les informations nécessaires pour lever le voile sur cette maladie neurodégénérative qui concerne plus de 115 000 personnes en France.
En 2023, 120 000 personnes sont atteintes de sclérose en plaques en France, selon le ministère de la Santé et de la Prévention. Cette maladie neurodégénérative est fréquente, mais mal connue. Pour quelles raisons ? Quels sont les symptômes ? Comment mieux prévenir cette pathologie ? Comment faire évoluer les traitements médicaux ? Vers qui peut-on se tourner ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Arnaud Gautelier, fondateur et directeur de l'association "Notre sclérose". Pour mieux appréhender, il a développé une application intitulée "Ma vie avec la sclérose en plaques". Armand Thoinet, aventurier, conférencier et atteint d'une SEP en parle également tout au long de l'émission.
Irina Capron sort sa "Loupe" pour faire le point sur la sclérose en plaques.
Zoom sur "La princesse qui se prenait les pieds dans tous les tapis", un livre pour expliquer la sclérose en plaques aux enfants. Irina Capron vous détaille tout dans son "Info en +".
Impliquer les élèves et les sensibiliser au développement durable, c’est l’objectif du programme Cube.s. Ce grand concours d’économies d’énergie entre établissements scolaires est un excellent moyen pour les élèves de participer à la transition énergétique. Pour Nathalie Lederman, coordinatrice du programme Cube.s, ce type de programme permet aux jeunes de réduire leur éco-anxiété en agissant concrètement pour la planète.
Qu'est-ce qu'un préjugé ? Comment se construit-il ? Quel impact a-t-il sur notre société ? 39 historiens tentent de répondre à ces questions dans un ouvrage intitulé "Histoire des préjugés", mené sous la direction de Jeanne Guérout et Xavier Mauduit. Ils sont les invités de Virginie Guilhaume pour en parler.
Ado arrêté, soupçonné d'avoir préparé un attentat, était en contact avec Daesh, parents d'élèves enfermés de force dans une école, polémique à Beauvais (Oise) autour des fermetures de classe, questionnement autour du permis de conduire à 16 ans... Loïc Landrau fait le tour de "L'actu en bref".
Focus sur le concours Cube.s. Il récompense chaque année les établissements scolaires qui
réalisent des économies d'énergie. L'objectif ? Sensibiliser les élèves. Nathalie Lederman, coordinatrice du programme Cube.s, nous en parle en deuxième partie d'émission.
Que pensent les enfants de leurs doudous ? Retrouvez leurs réactions dans leur "Regard d'enfant".
À Mayotte, île de l’océan Indien et département d’outre-mer, le système scolaire est identique à celui de la France. Il est néanmoins très inégalitaire, car beaucoup d’écoles sont surchargées faute de moyens. Anne-Laure Salmassis, enseignante titulaire de lettres d'anglais à Mayotte, insiste également sur l’insécurité qui règne à Mayotte, mais qui n’impacte pas les relations entre les jeunes et leurs professeurs. "Les élèves sont très respectueux envers le corps enseignant", souligne-t-elle.
Redevenons ingénieux ! C'est en tout cas ce que souhaitent nos invités. La méthode "Jugaad", théorisée en Inde, nous permettrait de faire un grand bond en avant. Pourquoi ce mode de pensée est-il ingénieux ? De quoi s'agit-il concrètement ? Pourquoi les pays occidentaux devraient-ils s'inspirer de cette méthode ? Pour en parler, Marjorie Paillon reçoit en plateau Navi Radjou, chercheur, auteur et théoricien de la méthode "Jugaad", Paul Benoit, CEO et co-fondateur de Qarnot computing, et en duplex Tiphaine Deheunynck, co-fondatrice de Metacar Mobility Systems et Katia Tardy, co-fondatrice de Handi-gaspi.
Elle peut transformer une nouvelle matière en biocarburant. Dans son "Focus", Xavier Terrade dresse le portrait d'Alexandra Colin, jeune doctorante mise à l'honneur par la Fondation L'Oréal-Unesco pour les femmes et la science.
La TNT vient de fêter ses 18 ans. Dans son "Idée derrière la tech", Gaël Musquet revient sur les évolutions du paysage audiovisuel français.
Aujourd'hui, l'équipe du "Mag" boucle ses valises direction Mayotte, au cœur de l'océan Indien. À quoi ressemble l'école à plus de 8000 kilomètres de la France ? Quelles réformes faut-il mettre en place pour améliorer le système scolaire ? Comment accompagner au mieux les élèves dans leur apprentissage de la langue française ? Comment réduire les inégalités entre élèves ? Pour en parler, Patrice Boisfer reçoit Anne-Laure Salmassis, enseignante titulaire de lettres d'anglais à Mayotte et Thierry Denoyelle, directeur académique adjoint des services de l’Éducation nationale.
Quelles sont les particularités du système éducatif à Mayotte ? Irina Capron sort sa "Loupe" pour y répondre.
En fin d'émission, Irina Capron fait le point sur la scolarisation des mineurs isolés à Mayotte dans son "Info en +".
À Mayotte, le shimaoré et le kibushi sont les deux langues majoritairement parlées. "Bon nombre d’élèves découvrent donc le français lorsqu’ils arrivent à l’école", explique Thierry Denoyelle, directeur académique adjoint des services de l’Éducation nationale. Si le shimaoré et le kibushi sont des langues régionales, "il est clair qu’il faut leur réserver une place particulière à l’école", poursuit-il. Il dresse également un bilan de la situation scolaire des jeunes à Mayotte.