81% des parents considèrent que la mobilité active permet de prévenir à long terme les maladies cardio-vasculaires selon un sondage IFOP réalisé pour Eco CO2. Limiter le recours à la "voiture solo", privilégier les transports en commun ou encore le vélo et la marche… Nombreux sont les bienfaits de l’écomobilité scolaire pour les familles. Selon Pauline Tartarin, cheffe du programme Moby, créé à l’initiative du ministère de la Transition écologique, l’écomobilité a un impact positif sur l’apprentissage puisque les élèves sont plus attentifs en cours après une activité physique. Claudine Ciglia, adjointe au maire de Saint-Sébastien-sur-Loire (Loire-Atlantique), insiste sur l’apaisement et la joie que procurent ces moments de convivialité.
56% des étudiants ne mangent pas à leur faim selon une étude de COP1-Solidarités étudiantes. Jeudi, l’Assemblée nationale a rejeté à une voix près, une proposition de loi visant à assurer un repas à 1 euro à tous les étudiants, quelle que soit leur situation financière. Si la précarité étudiante n’est pas une nouveauté, la crise post-Covid n’a fait qu’empirer la situation. Pour Giuseppe Aviges, étudiant en droit, les arguments avancés par les députés Renaissance qui ont voté "non", sont révoltants.
Plus de 26 millions de trajets domicile-établissement scolaire sont réalisés chaque jour en France par les élèves, les enseignants et le personnel des écoles selon un sondage IFOP pour Eco CO2. Le programme Moby aide les collectivités et les établissements scolaire à améliorer l’écomobilité scolaire. Le but ? Limiter le recours à la voiture individualisée grâce à des modes de déplacement actifs ou partagés. Pauline Tartarin, cheffe du programme Moby créé à l’initiative du ministère de la transition écologique et Claudine Ciglia, adjointe au maire de Saint-Sébastien-sur-Loire (Loire-Atlantique) insistent sur l’importance de la concertation citoyenne. Selon elles, il est nécessaire de mettre en place des initiatives adaptées à chaque collectivité.
À une voix près, l'Assemblée nationale a voté contre le projet de loi qui proposait le repas à 1 euro pour tous les étudiants. Comment analyser cette décision ? Pourquoi les députés ont-ils refusé ce projet ? Comment lutter et mettre fin à la précarité étudiante ? Pour en débattre, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Guiseppe Aviges, étudiant en droit et en duplex Marion Dolisy Galzy, présidente et fondatrice de l'association "1 cabas pour 1 étudiant". Rapport de la Cour des comptes sur le concours de recrutement de professeurs des écoles (CRPE), besoins en contractuels plus nombreux, lycéens hospitalisés après avoir consommé de la drogue, un tiers des écoles privées d'eau potable dans le monde selon un rapport récent de l'UNESCO... Guillaume Ouattara fait le tour de "L'actu en bref". Aborder les maladies chroniques et en parler aux enfants, c'est l'objectif du livre illustré "Ma maman vit avec une maladie invisible mais moi je la vois !" Mathilde Baudy, son illustratrice, y revient en deuxième partie d'émission. Quelle relation les jeunes entretiennent-ils avec l'alcool ? Explications à suivre de Guillaume Ouattara dans sa chronique "Quoi de neuf sur les réseaux?" En fin d'émission, Louis Albi, finaliste de la Star Academy, est l'invité de Malika Ménard. Il se confiera sur ses "Souvenirs d'écolier".
On parle rarement d’eux alors qu’ils méritent toute notre attention. Leur cas est peu évoqué en conseil de classe. Comment mieux encadrer les bons élèves ? Pour en parler, Virginie Guilhaume reçoit en plateau Maxime Scotti, professeur agrégé d'éducation physique et sportive (EPS) et Patrice Huerre, psychiatre, et auteur de l’ouvrage "Comment l’école s’éloigne de ses enfants". Vote de l’Assemblée nationale contre le repas à 1 euro dans les Crous, généralisation du Service national universel (SNU) reportée par le gouvernement, polémique autour de l’association "Sos méditerranée", idées originales des parents face à la fermeture des écoles… Mickael Dos Santos fait le tour de "L’actu en bref" Apprendre de nouvelles langues grâce à une application ludique et gratuite, c’est ce que propose Qioz. Othman Nasrou, vice-président de la région Île-de-France, y revient en plateau en deuxième partie d’émission. Qu’est-ce qui agace les enfants ? Retrouvez leurs réponses dans leur "Regard d’enfant" en fin d’émission.
Chaque année, elles sont des centaines à tenter l’expérience de jeune fille au pair. Pourquoi et comment partir ? Quels sont les avantages ? Combien d’années peut-on passer sur place ? Comment ces séjours sont-ils encadrés ? Ce programme d’échange linguistique, mêlant apprentissage de l’anglais, découverte d’une culture et garde d’enfants, permet de partir à moindre coût puisque les participantes sont logées dans leurs familles d’accueil. Autonne Rousseau, ancienne fille au pair dans le Nebraska (États-Unis) et Manon Brevet, responsable du programme "L’Amérique au pair", sont les invitées de Patrice Boisfer pour en parler. Quelles sont les origines historiques des séjours au pair ? Irina Capron sort sa "Loupe" pour y répondre. Zoom sur le système au pair au Royaume-Uni. Depuis le Brexit, les jeunes doivent obtenir un visa de travail pour partir. C’est "L’info en +," d’Irina Capron.
Comment construire des startups "made in Europe" en matière de technologie de l’éducation ? "Holy Owly", le leader de l’Edtech français pour l’apprentissage des langues chez les 3-12 ans, a été racheté 3,6 millions d’euros par le groupe suédois "Albert". Dans ce contexte, l’ambition des investisseurs français semble donc limitée. Pour en parler, Marjorie Paillon reçoit en plateau Julie Boucon, co-fondatrice de "Holy Owly" et de "Kids MBA" et Svénia Busson, présidente et co-fondatrice de l'European Edtech Alliance. Expliquer la science avec humour, c’est le crédo du Youtubeur aux 742 000 abonnés, Max Bird. Portrait et "Focus" signé Xavier Terrade. Quelle heure est-il ? Gaël Musquet fait le point sur les règles de mesure du temps qui passe dans son "Idée derrière la tech".
En 2021, les 500 entreprises françaises de l’Edtech affichent un chiffre d’affaires global de 1,3 milliard d’euros selon une étude de EY-Parthenon, l’un des leaders mondiaux du conseil en stratégie. Pourtant, il semble que l’ambition des investisseurs français soit limitée dans ce secteur. Selon Svénia Busson, présidente de la European Edtech Alliance, il n’y a pas assez de fonds en amorçage (fonds early-stage), c’est-à-dire de fonds apportés par les investisseurs pour financer les premières dépenses lors d’une création d’entreprise. Selon elle, "l’écosystème early stage reste à créer en Europe".
La startup "Holy Owly", leader de l’Edtech française pour l’apprentissage des langues chez les 3-12 ans, a été rachetée 3,6 millions d’euros par le groupe suédois "Albert". Créée en 2017 elle a pour but de devenir le leader européen, voire mondial, de l’EdTech. Pour parvenir à ses fins et dans un contexte économique difficile, la start-up a accepté l’offre du groupe suédois. Selon Julie Boucon, cofondatrice de "Holy Owly" et de "Kids MBA", l’application a un gros potentiel de développement grâce à ses 16 000 abonnés payants acquis en seulement quelques années.
Faut-il conserver le même système de notation pour les bons et les mauvais élèves ? Maxime Scotti, professeur agrégé d'éducation physique et sportive (EPS) estime qu'il faudrait revoir ce point. Il explique que le système actuel favorise la reproduction sociale et les inégalités scolaires.
Connu pour avoir été à l’affiche des comédies musicales "Mozart L’Opéra Rock" et "La légende du Roi Arthur", Florent Mothe est l’invité de Malika Ménard. Musicien et auteur-compositeur-interprète français, il a sorti deux albums, et depuis 2022, il s’est lancé dans une nouvelle aventure, celle de "Billy Romance". À la fois comic book et clip vidéos, il explique comment est né ce projet artistique. Enfant heureux, il a adoré la primaire mais détesté le collège. Sur le plateau de "Souvenirs d’écolier", il revient sur ses débuts dans la musique et explique comment il voit l’école d’aujourd’hui et de demain.
Encadrement, critères de sélection, accompagnement… L’expérience au pair peut fasciner autant qu’elle fait peur. Manon Brevet, responsable du programme "L’Amérique au pair", rassure les futures participantes. Des coordinateurs sont présents sur place pour informer les filles au pair et leur permettre de changer de famille ou même d’arrêter l’expérience. Elle revient notamment sur la nécessité pour les candidats de disposer d’une expérience dans la garde d’enfants : babysitting, animation…