"On a assisté à un superbe moment de page de publicité pendant le confinement. Tout le monde s'est remis aux activités manuelles. On a refait son pain, son jardin", insiste Frédérick Mathis, fondateur du réseau d'écoles de la transition écologique (Etre). Sur le plateau de "La Quotidienne", il estime que le travail manuel "permet de se reconnecter" mais également d'investir dans la transition écologique. Il a d'ailleurs fondé le réseau d'écoles de la transition écologique (Etre), qui s'adresse aux élèves, de 16 à 25 ans, en situation de décrochage scolaire.
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